Garçon, la carte s’il vous plaît !
Le retour à la vie normale, comme avant ? Non, rien ne sera plus jamais comme avant.
La dictature sanitaire s’installe à tous les coins de table
Avant, attablé en bonne compagnie, le rituel de la lecture commentée du menu alimentait la conversation de mise en bouche. Maintenant, chaque convive aura le nez rivé sur son téléphone portable. Terminée la carte des entrées, des plats et des vins. On passe au QR code, Quick Response code.
Les codes QR, ou QR codes, pour « Quick Response » ne sont pas une invention récente. Leur origine remonte à 1994, avec la création du premier système de code QR. Son invention revient à un industriel japonais, Denso Wave, filiale de Toyota.
À la différence des codes-barres traditionnels, le QR code permet donc de stocker une plus grande quantité d’informations. La raison est simple. Le premier se lit dans un sens unique (haut en bas). Le QR code est quant à lui bidimensionnel, ce qui lui vaut cette appellation de code-barre bidimensionnel, et une capacité plus grande à encoder des données. [source : ZDnet]
Ce lundi, sortant du cinéma, je décide de m’attabler dans un restaurant niçois. Je demande bêtement la carte. Le serveur m’invite à saisir le QR code sérigraphié sur la table bistrot. Je refuse indiquant que je ne souhaite pas être pisté sur mon téléphone. (Déjeunant avec ma maîtresse, je ne souhaite pas avoir d’explications à donner. Par exemple, bien sûr). Le serveur insiste, lourdement. Je ne cède pas et menace de partir. Maugréant, il m’apporte ronchonnant la relique cartonnée d’un fond de tiroir… caisse.
Arrivé chez moi, par curiosité, je scanne ce QR code : https://app.aji-code.com/place/11757?slugged=1Il m’aurait donc fallu renseigner ce document avant d’accéder au menu : https://app.aji-code.com/place/11757?slugged=1
Mais puisqu’on vous dit que « c’est le Progrès ».
Il ne s’agit là, vous l’aurez compris, ni plus ni moins que d’un « pass sanitaire » avec flicage
Pour aller au troquet, prendre l’avion, utiliser les pissotières, etc.
Vous ne pourrez plus rien faire sans votre téléphone mouchard.
Géolocalisation permanente et intrusive, paiement sans contact, disparition des espèces, etc.
Cette dictature prétendument sanitaire se met en place, pied à pied
Rappel à lire : Le jour d’après se dévoile peu à peu du 15 avril 2020. Oui, 2020 ! On a vous avait prévenus.
Et si vous pouvez encore sortir aujourd’hui sans votre smart-phone cafteur, demain le QR code tatoué sur le front et la puce RFID sous la peau achèveront votre résidu de liberté.
Michel Lebon
QR Code Tattoo : 3 things to know before you get one https://t.co/9lQBscscXu #qrcodetattoo #bodyart #marketing pic.twitter.com/8klw72w54c
— Scanova (@scanovatech) November 19, 2016
Il suffit de bouder tous ces collabos du système et ils perdront un maximum de clients.
Appelons massivement au boycott des restaurants qui demandent ce QR code !
Je vois que personne ne lit ce qui est écrit : le QR code sert uniquement à afficher les menus du restaurant.
Ce qui est affiché là haut est le CARNET DE RAPPEL, c’est le même que la feuille de papier que vous remplissez dans d’autres « établissements en partageant le même stylo à plusieurs.… ici l’hygiène est la priorité de l’établissement.
Vous verrez que en haut à gauche de la page CARNET DE RAPPEL il y a marqué FERMER donc vous pouvez ne pas le renseigner et fermer le carnet pour consulter las menus si vous ne souhaitez pas êtes « fliqués » par les services sanitaires de l’Assurance Maladie en cas de cas Covid dans cet établissement.
Le restaurant et l’application AJI Code ne font qu’appliquer les consignes du protocole sanitaire.
Si en plus vous préférez toujours partager la bonne veille carte papier dont vous ne savez pas si l’utilisateur précédant qui l’a feuilletée avant vous, s” »était lavé les mains après son passage aux toilettes… libre à vous…
N’allons plus ou pas manger chez les collabos !
Il serait bien de savoir si ces pourris sont rémunérés pour servir le crime.
Ne fréquentez pas les restaurants qui vous demandent votre QR code !
Ne fréquentez plus les restaurants tout court. Ils sont la devanture d’une industrie polluante et d’abattage sans merci.