Le Nouvel Ordre Mondial et la table de mixage
Le N.O.M. à la table de mixage
Le Nouvel Ordre Mondial veut faire de l’humanité une masse indifférenciée de consommateurs compulsifs. Générer des profits à courts termes pour une élite financière, dans une fuite en avant suicidaire à long terme pour la planète.
Le N.O.M vient encore de se prendre une énorme trempe. Il s’est trompé. Trump l’a remporté.
Son « champion » Hillary ne rit plus.
Pourtant, le pouvoir de la finance internationale a une puissance colossale, celle du « fric » qui achète TOUT, les politiques qui nous gouvernent, jusqu’à notre cerveau ! Les actionnaires, ceux qui font gagner de l’argent à leur argent, veulent une société ouverte. Anéantir les nations par la submersion migratoire, lisser les cultures identitaires. Bref, faire de nous des consommateurs universels lobotomisés.
Du conseil d’administration de la Golden Sachs au Groupe Bilderberg, de Open Society aux ONG, la puissance de feu de ces maîtres du monde est énorme.
Les candidats de ce Système, Clinton aux USA, l’LRPS en France (Juppé ou Hollande, peu importe) bénéficient de tous les moyens de cette force de destruction des peuples.
Le N.O.M. a une grande table de mixage, devant laquelle il pousse les curseurs pour arriver à ses fins. Sa planche à Eurodollars-dette fonctionne à plein. C’est lui qui crée la monnaie.
Listons un peu ces curseurs :
• La presse (propriété de grands groupes industriels). Avec ses comités de rédaction aux ordres de leur mécène. Il arrive que, ils se révoltent, comme sur I‑Télé.
• La télévision et son armée de journalistes asservis, de chroniqueurs crétinisés, largement payés.
• La manipulation des sondages. On fait parler les chiffres, valser les pourcentages. Comme si un échantillon de quelques sondés choisis avait valeur d’universalité.
• Les pipoles pour valider. Artistes « intellos » mode Noah, ou acteurs engagés mode George Clooney. On fait parler la personnalité préférée des Français : Debouze ou Sy. Leur carrière dépend de leur allégeance au système.
• Le micro-trottoir, il suffit de garder celui qui passe le « bon message ». Le sympathique jeune. Et faire dire le « mauvais message » au vieux beauf de service, un peu abruti.
• Les œuvres de fiction, le cinéma passe les messages à travers les fictions orientées. La liste est longue. Quant aux téléfilms, on est dans la propagande de nos heures les plus sombres.…
• Les coups bas, rumeurs, photos truquées. Qui couche avec qui ? passionnant. Le rôle est dévolu à Closer, ONPC. Presse à scandale et autres tabloïds diffusent largement.
• Les pubs, même les pubs sont chargées de messages : on y met en scène des couples mixtes, issus de la diversités… Le message est subliminal.
• Le lobbying : des cabinets de salariés qui intriguent, contactent, arrosent. Ils forcent la main aux politiques pour les remettre dans le droit chemin, s’ils s’égarent.
• Les ONG. Toutes ces organisations largement financées par les Etats et les groupes financiers. Sous couvert d’humanisme, ils soutiennent le déferlement migratoire.
• Les réseaux sociaux : pages Facebook, Twitter…
Enfin, en joker :
• La triche sur les résultats. Comme en Autriche. Pour le petit coup de pouce, si besoin.
Depuis quelques semaines, la finance a mis tous ces curseurs au taquet pour Clinton.
Et pourtant : grosse gamelle ! La gifle ! la claque ! La trempe ! Et oui, le pognon ne fait pas tout. Le lavage de cerveau médiatique a échoué, les sans dents ont mal voté. Cataclysme.
Hier, il en a été de même pour le Brexit, Soros a senti le vent du boulet Viktor Orbán. Ça gronde en Europe… Norvège, Italie, Hongrie. Le populiste ; ce soi-disant beauf de comptoir et la ménagère de 50 ans, reprendraient-ils le pouvoir ?
Et en France ?
Le Système essaye désespérément de nous imposer un débat droite-gauche. Autrement dit, PS vs LR. On est gavé de primaires, de débats, d’émissions de pseudo démocratie en faillite. Faisant mine d’ignorer la réalité. En effet, cette dichotomie que les médias mainstreams essaient pathétiquement d’entrenir n’a plus aucune substance aujourd’hui. La classe ouvrière a disparu. Le capitalisme national aussi.
L’enjeu de 2017 sera souverainisme ou mondialisme et non plus droite ou gauche.
Pour les mondialistes, tous les curseurs vont encore être poussés au taquet. Ne vous faites pas manipuler, jugez en conscience. La vraie et unique question est posée : conserver une identité ou se diluer dans un magma humanoïde ?
Pour le(la) candidat(e) souverainiste, identitaire, attaché à sa culture et son Histoire, il reste les réseaux sociaux pour s’exprimer et la presse de réinformation, de qualité, libre, visionnaire. Nice Provence Info, par exemple.
Michel Lebon
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