Je ne sais ni lire, ni écrire, mais…
… je ne suis pas raciste.
L’objectif de l’Éducation Nationale n’est plus d’instruire comme ce fut son rôle pendant un siècle, mais d’é-duquer (étymologie : ex-ducere, conduire dehors). Du reste l’Instruction publique a cédé la place à l’Éducation nationale.
Le temps est loin où les fils de paysans devenaient ingénieurs, avocats, médecins à l’issue d’un parcours scolaire exigeant et sélectif. À présent seuls les fils, ou les filles, des catégories financièrement très aisées, sont ingénieurs, avocats, médecins et, summum d’une scolarité réussie et entrée par la grande porte, énarques !
L’école ne sert plus à identifier les talents, les capacités, les aptitudes. Non ! L’école sert à modeler les enfants pour les faire entrer sans douleurs dans le brouet du mondialisme. La seule leçon qu’il faut retenir, c’est : les races n’existent pas. Tout le reste n’est que de peu d’importance pour se préparer à livrer des pizzas en mobylette pour Deliveroo ou, pour les meilleurs, des colis en camionnette pour Amazon parce-qu’ils auront pu passer le permis de conduire. Les livres scolaires inculquent aux jeunes enfants que le Français est d’abord noir. Le mot identité, qui par ailleurs est un gros mot notamment dans sa déclinaison qualificative « identitaire », n’est compris que dans l’acception « carte d’identité » sur laquelle on peut être blanc ou noir, mais de préférence noire, comme ci-dessous : Si l’élève est blanc, c’est par pur hasard, car il aurait pu tout aussi bien être noir, comme dans l’exemple du livre. Qu’on se le dise.
Du reste les bons parents se mélangent et le métissage est la norme : Les prénoms enracinés et porteurs d’identité comme Caroline, Paul, Manon (chrétiens), Aïcha, Kader, Mehdi (musulmans), laissent la place à des prénoms sans histoire et globalisé : Léa et Loris. Des prénoms passe-partout afin de pouvoir plus facilement émigrer, puisque la France n’est plus qu’un hôtel(1). Pas sûr toutefois que Léa et Loris facilitent l’intégration dans un pays musulman. Mais déjà l’identité française et chrétienne est brisée, et ça, c’est important.
Je ne sais ni lire, ni écrire…
… je ne sais pas si je suis un garçon ou une fille.
Si l’élève est un garçon, ou une fille, c’est par pur hasard également, car il aurait pu tout aussi bien être une fille ou un garçon. Qu’on se le dise.
La théorie ravageuse du transgenre est entrée à l’école et elle est inculquée aux enfants. La preuve :
Dès le plus jeune âge, après le doute sur son identité ethnique et culturelle, l’école sème le doute sur l’identité sexuelle de l’élève. Du reste la sexualité n’est qu’une affaire de jouissance hédoniste et individuelle. Les bébés pourront être fabriqués sur commande puisque la GPA, sans père ni mère, se met en place.

Illustration du Meilleur des Mondes de Aldous Huxley
Mais ce n’est pas tout !
Je ne sais ni lire, ni écrire…
… mais je sais que le loup est gentil !
Là, on se demande bien pourquoi l’Éducation nationale inculque à nos jeunes enfants que le loup est gentil et herbivore. Pourquoi pas végan ? Qu’est-ce que cela vient faire dans les programmes ? Mais si « le loup ne dévore pas que des histoires » et qu’il « n’aime pas la viande », alors qu’est-ce qu’il mange ? Réponse : du chou ! Si, si ! Comme ici à l’école primaire de Tende :
Le loup est sympa ! Pourquoi a‑t-on peur de lui puisqu’il mange du chou ?
L’école de la République n’a plus pour mission d’orienter ses enfants en fonction de leurs aptitudes, mais de les désorienter afin de les faire entrer dans le monde « moderne », globalisé, uniformisé, amnésié et ubérisé.
Les fils et les filles à papa connaissent le chemin qui mène à l’ENA, aux grandes écoles et aux doctorats. Ces chemins ne passent plus par l’école publique mais par l’école privée, payante, et c’est tant mieux pour les riches qui se retrouvent ainsi entre eux sans passer par la douloureuse sélection aux réels talents et aux vraies aptitudes.
Les milliards engloutis par le ministère de l’Éducation nationale ne servent qu’à massifier, anesthésier et décérébrer nos enfants. Si vous avez des ambitions pour vos enfants, préparez vous à payer deux fois : l’école publique pour les pauvres et l’école privée pour vos enfants. Si vous n’êtes pas riches, c’est que vous n’êtes rien et vos enfants aussi. Tant pis pour vous !
Georges Gourdin
Fils et petit-fils d’instituteurs
Tous ces enseignements sont tirés du livre dit d”«apprentissage de la lecture » du Cours Préparatoire intitulé « Chut… Je lis !»
(1) Pour Jacques Attali, conseiller de tous nos présidents depuis François Mitterrand : la France doit être considérée comme un hôtel.
Vous avez malheureusement raison : j’aurais préféré une dérive paranoïaque mais ce n’est pas le cas. D’ailleurs des manipulations complémentaires à l’école peuvent se découvrir chaque jour dans tous les domaines : regardez les publicités, quelles soient sous forme d’affiches, de photos ou de vidéos, c’est toujours le même leitmotiv à savoir un mélange des couleurs avec en principe l’Africain au premier plan et souvent en compagnie d’une blonde. Une fois passe, mais systématiquement, ce n’est plus du hasard !
Cette description est une photo des graves dérives actuelles, mais que faut-il faire pour essayer de faire dérailler cette machine infernale ?
Il m’arrive de regarder des feuilletons russes l’été quand je suis dans une ancienne république de la défunte URSS : Bizarrement les acteurs sont tous des RDS (russes de souche) et il n’y a jamais d’homos !!
Même si je n’y comprends pas grand chose… ça fait du bien!… étrange… non ?
Beaucoup d’enseignants sont des enseignantes, plutôt féministes que féminines, plutôt gauchistes. Leurs collègues (encore un peu) mâles sont plutôt des syndicalistes grandes gueules. Les autres collègues, en majorité, pour rester peinards et sans soucis, suivent le mouvement, bien qu’en désaccord avec ces meneurs.
Il faut bien du courage pour s’opposer (tout seul) à un livre qui est « imposé » par tous les intervenants de l’institution : Académie, Associations de parents d’élèves, Conseil d’école, directeur, mairie, etc. et même toute la propagande sociétale.
Le matraquage des cerveaux à l’école trouve son écho jusqu’au soir à « Plus belle la vie », sous « Un Si grand soleil ».
Il y a quelques jours, j’allume la télé par hasard sur une de ces chaînes de propagande, vers 20:50 et je tombe sur deux mecs qui se roulaient goulûment une pelle. Les nouveaux premiers de la classe.
Ceci-dit, c’est aussi aux parents d’aller trouver l’institutrice et de lui signifier son obligation de « neutralité politique » en refusant que l’enfant ramène ce livre à la maison. Mieux encore, en organisant une pétition avec un collectif d’autres parents, mais là on rêve.
La sanction est immédiate, vous devenez des parents racistes et homophobes.