Les preuves que l’urgence climatique est un leurre
Dans notre premier article « Et si le CO2 produit par l’Homme n’influençait pas le climat ? » (publié hier, le lundi 7 décembre 2020), nous relations le travail remarquable effectué par Jérôme Gontier publié sur le site « Attention aux mythes contemporains ! ». L’auteur posait un certain nombre de questions auxquelles il apportait des réponses globales.
Aujourd’hui, nous publions une large partie des arguments qu’il avance, fondés sur des apports scientifiques divers, pour apporter la preuve que le réchauffement climatique est un miroir aux alouettes créé de toute pièce.
Réchauffement de l’Arctique et de l’Antarctique, vraiment ?
En vérité, l’Arctique et l’Antarctique ne changent guère. Quelle que soit l’année, la superficie des calottes glaciaires est presque la même à une date donnée. Par ailleurs, la somme des superficies des banquises arctique et antarctique est quasiment constante en fonction du temps (source) :
À une époque quelconque de l’année, l’épaisseur de la banquise est à peu près toujours identique à celle des autres années (source) :
Dans ces conditions, quelle valeur accorder aux prédictions de disparition de la banquise dont l’échéance varie d’un média à l’autre ?
Le futur est-il aussi menaçant qu’on le dit ?
Météo-France ne montre aucun accroissement de la fréquence des tempêtes en France depuis 1980. Au contraire, il fait apparaître une baisse de la fréquence des tempêtes dans un peu moins de la moitié de la France de 1980 à 2019 (source) :
Le recul des glaciers est-il exceptionnel et dramatique ?
Le glaciologue Robert Vivian, décédé en 2005, a montré que les glaciers ont toujours évolué en fonction de la température du globe (source).
Les universitaires Christian Schlüchter et Ueli Jorin ont prouvé que les glaciers alpins avaient totalement disparu il y a 7 000 ans quand l’homme ne rejetait pas encore de CO2 dans l’atmosphère (source). Confirmé par Sylvain Coutterand (CNRS) et François Amelot (CNM) (source). On a d’ailleurs trouvé des vestiges archéologiques témoignant d’une occupation humaine, là où se trouvent les glaciers actuels. Preuve que les reculs ne sont pas inédits et que l’Homme en a même profité.
À cette époque, le taux de CO2 était minimal, 260 ppm, alors qu’il était de 280 ppm il y a 1 000 ans ! La teneur en CO2 n’a donc aucun rapport avec la taille des glaciers sur les 11 000 dernières années.
Peut-on invalider la thèse du réchauffement climatique anthropique ?
• Oui car l’urgence climatique est un leurre :
François Gervais, professeur émérite de l’université François Rabelais de Tours, et examinateur du rapport AR5 du GIEC entre 2011 et 2012, vient de publier un livre intitulé, « L’urgence climatique est un leurre » et montre que, s’il y a consensus, il est plus certainement médiatique et politique que scientifique. Il l’explique clairement, documents officiels à l’appui, dans cette conférence (durée 59 minutes) :
• Oui car le réchauffement global n’existe pas :
Marcel Leroux, professeur émérite en climatologie explique l’arnaque du réchauffement climatique global. Cela n’a jamais été démontré, dit-il, et comme il n’y a pas de climat global, il n’y a pas de réchauffement global. Les tenants de cette théorie sont les écologistes, les journalistes et les politiciens. Leur formation scientifique en climatologie est nulle.
• Oui car l’examen logique des évolutions de la température, de la teneur en CO2 et de la constellation astrale invalident tous les modèles de réchauffement : depuis le milieu du précambrien (environ 3 milliards d’années), la teneur en CO2 ne varie pas comme la température.
Depuis 800 000 ans, les variations sont périodiques. L’étude restreinte aux derniers 400 000 ans montre que les courbes des teneurs en CO2 et CH4 (méthane) et la température croissent en même temps. Les rapporteurs du GIEC ont dû accepter les analyses montrant que la température a d’abord crû entraînant une hausse de la teneur en CO2.
R.B. Bacastow puis O. Humlum & co-auteurs avaient effectué des analyses minutieuses des courbes de la température et de la teneur en CO2 et montré que l’évolution de la première précède l’évolution de la seconde d’environ 800 ans (source payante).
Les cycles de Milankovitch indiquent que les périodes des rotations de la Terre ont déterminé celles des glaciations et déglaciation. La température de la Terre est donc définie par les caractéristiques de ses mouvements. Que les teneurs en CO2 et CH4 aient évolué comme la température prouve bien que c’est celle-ci qui définissait les teneurs de ces gaz. Et c’est toujours le cas car les lois de la physique ne changent pas, même si l’homme rajoute sa petite dose de CO2.
Miklós Zágoni – physicien et chercheur en science de l’environnement, d’abord tenant de la théorie de l’origine humaine du réchauffement climatique et depuis opposé fortement à cette thèse sur le fondement des nouveaux travaux de Ferenc Miskolczi de la NASA — montre que le réchauffement général observé sur la Terre au cours du 20e siècle est principalement dû au soleil (incluant les effets du soleil sur les nuages dûs aux rayonnements cosmiques) (source 1)(source 2). La croissance de l’activité solaire ajoute à l’effet de serre en accroissant l’humidité spécifique. L’accroissement de la teneur en CO2 dans l’atmosphère ne produit pas cet effet.
Jean-Marc Bonnamy — ingénieur, climatologue, consultant — explique que le CO2 absorbe une bonne partie du rayonnement émis par la Terre. Quand il est à saturation, quelle que soit la quantité de CO2 ajoutée, il n’y a pas plus de rayonnement absorbé. Ainsi, la Terre n’est pas plus chauffée (source 1)(source 2).
Georges Geuskens — professeur de chimie — a explicité le raisonnement (source). Il montre que la proportion maximale d’énergie absorbée par le CO2 sous forme de rayons émis par la Terre est entre 0,4 et 2 % de l’énergie totale fournie par le soleil et qu’une variation de la teneur en CO2 ne peut qu’influer sur la proportion d’énergie des rayons thermiques transformée en énergie de convection d’air.
G. Gerlich — professeur de mathématique physique — et R. D. Tscheuschner — théoricien en physique — montrent dans leur publication « Falsification Of The Atmospheric CO2 Greenhouse Effects Within The Frame Of Physics » que la chaleur provenant de la stratosphère ne peut pas être transférée à la Terre qui est plus chaude sans contrevenir au 2e principe de la thermodynamique (source). En gros : la terre a une température de surface moyenne de 15° C ; l’atmosphère est environ à ‑30° C à 10 km d’altitude. Qu’elle réchauffe la Terre, qui est bien plus chaude qu’elle, est une aberration car totalement contraire aux lois de la thermodynamique.
Jacques Duran — chercheur au CNRS, directeur de l’ESPCI, vice-président de l’université Pierre et Marie Curie — fournit une description de cette preuve (source).
Enfin, les relevés de température et de concentration en CO2 et CH4 effectuées sur la carotte de glace de Vostok (celle sur laquelle se fondent les alarmistes) montrent que depuis les 400 mille dernières années l’évolution de la température a lieu avant celles des teneurs en CO2 et CH4, et qu’une rétroaction mesurable ne peut exister.
Dans le chapitre suivant, Jérôme Gontier décortique les conséquences délétères des politiques anti-CO2, menant croisade pour la « transition énergétique » et montre combien elles sont absurdes, coûteuses et inutiles. C’est très fourni et nécessite d’y consacrer un nouvel article que nous publierons demain mercredi 9 décembre 2020.
Charles ANDRÉ
Ce qui est terrible c’est que les Politiques n’ont de cesse, dans tout domaine, de se servir à leurs comptes, des données terrestres et civilisationnelles liant l’Humanité à son destin.
Même Jules César ou Charlemagne ou Napoléon Bonaparte n’ont pu modeler durablement le Monde.
Mais la Politique servant à assouvir l’Homme restera toujours le miroir aux alouettes des démiurges en carton-pâte.
Tout est cycle ! Le climat aussi !
Décidément nos dirigeants ne nous épargnent pas de leurs mensonges : climat, pandémie, etc.
C’est quoi la suite ?
C’est pour mieux vous asservir mon enfant !