
Le Professeur Yves Buisson guère convaincant sur la vaccination
Le Professeur Yves Buisson, Président du groupe Covid-19 à l’Académie nationale de médecine, était interrogé, à la mi-journée par la journaliste Christelle Rebière dans RTL midi. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ses propos n’ont guère été rassurants dans le climat de suspicion qui plane aujourd’hui sur les vaccins dans l’opinion. Voici, en intégralité, les réponses qu’il a apportées aux questions dérangeantes que les citoyens se posent :
Christelle Rebière : Quand on est vacciné, est-ce qu’on ne contracte pas le virus ?
Un « a priori » qui en dit long sur le taux de certitude quant à la protection contre la contamination. On constate qu’un seul des deux laboratoires s’est livré à des tests en ce sens pour un résultat flottant : « il y a moins de ». Convenons que c’est un peu léger comme assurance.
C.R. : Est-ce qu’on peut être vacciné et contaminant (Olivier Véran a avoué qu’on n’en était pas très sûr dans la matinale RTL) ?
À nouveau, des réponses peu rassurantes : « c’est probable », « on peut imaginer », « les études n’ont pas encore été faites »… Avec de tels arguments, les zélateurs de la vaccination perdent en crédibilité et la population est en droit de se poser des questions, voire de douter.
C.R. : Si on a été malade, peut-on et doit-on se faire vacciner ?
C.R. : Au Royaume Uni, débordé par les cas de Covid, on va dans l’immédiat n’injecter qu’une seule dose. BioNtech affirme que l’efficacité du vaccin ne sera plus garantie. C’est un risque ?
C.R. : Est-ce qu’on est sûr aujourd’hui que les vaccins peuvent faire face à la mutation du virus, celle dont on parle notamment en Grande Bretagne ?
Yves Buisson et ses confrères devrait pourtant « redouter » la résistance des virus mutants à la vaccination et se préparer à y répondre. C’est le propre de la démarche scientifique telle que l’a rappelé Albert Jacquard : « La démarche scientifique n’utilise pas le verbe croire ; la science se contente de proposer des modèles explicatifs provisoires de la réalité ; et elle doit être prête à les modifier dès qu’une information nouvelle apporte une contradiction. » (Petite philosophie à l’usage des non-philosophes ; 1997)
C.R. : Sait-on combien de temps va durer l’immunité procurée par le vaccin ?
Le principal intérêt d’un vaccin, c’est l’immunité à long terme. On vaccine les nourrissons pour les protéger à vie, à quelques rappels près. Une immunité à 6 mois n’a aucun intérêt. Ce que Christelle Rebière s’est empressée de faire observer.
C.R. : Si c’est 6 mois, ce qui est extrêmement court, on ne va jamais en sortir. Va-t-on devoir se faire vacciner tout le temps ?
En résumé : même vacciné,
1) il est probable qu’on soit contaminant,
2) que l’immunité procurée par le vaccin n’excèdera pas 6 mois à 1 an et
3) qu’il y a risque que les vaccins ne soient pas efficaces sur les virus mutants.
Ça fait quand même beaucoup d’incertitudes et autant de handicaps pour ces vaccins !
Surtout que la maladie peut être traitée très facilement et efficacement. L’Institut des sciences biomédicales de la Georgia State University propose l’antiviral, MK-4482 /EIDD-2801 ou Molnupiravir, capable de supprimer complètement la transmission du virus dans les 24 heures et l’Agence Fédérale Médicale et Biologique en, Russie, annonce un médicament dont les essais pré-cliniques ont démontré une efficacité à 99 %. C’est le premier médicament qui attaque directement le virus. Sans oublier, bien sûr, l’hydroxychloroquine… interdite en France depuis janvier 2020.
Alors, plutôt que de se précipiter tête baissée sur des vaccins à l’efficacité douteuse, n’est-il pas plus raisonnable d’attendre et, si contamination il y a, de se soigner avec des médicaments dont l’efficacité est démontrée ?
Charles André
Pour avoir travaillé pour le Pr Yves Buisson ( il y a 30 ans), je remarque que sa sagesse continue à croître avec le temps… Plus sérieusement le Pr ne donne que des informations sur ce qu’il connait (ce n’est pas un homme politique avec des effets d’annonces) de la prudence et une expérience de terrain (qu’il a connu pour d’autres épidémies ) .
Donc merci à lui de vous avoir donné des informations sûres et fiables.
Pour résumer, on a autant de certitude que le SEXE DES ANGES (sourire agacé)
J’espère qu’un jour la justice sera saisie sur l’interdiction de l’hydroxychloroquine