Samedi 30 janvier, les Niçois ont battu le pavé en ordre dispersé
Nice, samedi 30 janvier 2021. Trois manifestations distinctes pour lutter dans le fond contre la même chose. Quelques mètres seulement les a séparées.
14 heures, place du Palais de Justice, à l’appel d’un collectif contre la dictature sanitaire, les Niçois sont venus agiter leurs banderoles. Une manifestation qui aurait dû rassembler, pour le moins, tous les restaurateurs de la ville. Dommage.
15 heures, fontaine de la Place Masséna, à l’appel du collectif Marchons enfants, les Niçois sont venus agiter leurs banderoles. Une manifestation qui aurait dû rassembler pour le moins, tous les papas et mamans et tous les écologistes. Dommage.
16 heures, place Masséna, à l’appel d’un collectif contre la Loi Sécurité globale, les Niçois sont venus agiter leurs banderoles. Une manifestation qui a rassemblé une foule militante bigarrée. Dommage.
Côté fontaine, les bio-éthiques de « Marchons enfants » et de l’autre côté de la rue, les « Loi de Sécurité globale », se sont regardés en chiens de faïence, séparés par un cordon massif de forces de l’ordre. Il faut dire qu’on ne mélange pas les torchons rouges et les serviettes bleues. La convergence des luttes contre la dictature macronienne, ce sera pour la Saint Glinglin. Ce qui fait bien l’affaire du gouvernement qui avance ses pions comme si de rien n’était.
Le quidam, qui passait par là, aura surtout remarqué les escouades de Gardes mobiles robocops et leurs véhicules, les motards de la Police nationale, les scooters de la Police municipale. Ils auront assurément été les plus nombreux et les plus unis sur cette esplanade niçoise.
Michel Lebon
Je pense qu’entre les deux manifestations « sécurité globale « et « allons enfants », il y avait une union autour de la fonction VAGIN.
Allons enfants voulait protéger le VAGIN de manipulation chirurgicale.
La sécurité globale voulait une entière liberté pour le VAGIN ouvert à toutes les distractions et trafics.
Eux, au moins, étaient dans la rue et pas sur leur clavier.
Réponse à Robert Ardisson :
Bien vu !
Mais que faire pour ne pas mourir, ou tomber en esclavage ?
C’est désespérant.
Cela s’appelle la salade niçoise ! Diviser pour mieux régner est à l’image de ces manifestants qui n’ont pas compris que l’union fait la force !
Qu’ils s’attendent donc à boire le calice jusqu’à la lie.