La culture woke continue son offensive
Camaïeu l’avait fait, Etam ne pouvait être en reste. La célèbre marque vient donc de sortir une collection de lingerie « non genrée ». Et pour faire plus woke que woke, elle l’a intitulée « I/ELLE/S » en y ajoutant une touche d’écriture inclusive. Pour les géants de l’industrie, faire du fric étant la première des préoccupations, il faut se montrer en phase avec les « progrès » sociétaux. Les codes vestimentaires de l’islam ayant été intégrés depuis longtemps à leurs collections, ils s’approprient désormais le « gender free », c’est-à-dire le vêtement libéré de toute attribution d’un genre. Dans leurs rayons, les tenues « libérées » vont donc côtoyer celles qui symbolisent la soumission. Cocasse !
Nos chères compagnes adeptes de la « déconstruction des stéréotypes » vont pouvoir se vêtir de slips kangourou, de boxers et autres brassières sans coque, sans armatures avec simple bande élastique. Les coupes et les couleurs neutres s’adapteront à toutes les identités de genre et à tous les corps pour une « indifférenciation réussie » : il s’agit de « s’affranchir des codes traditionnels », explique la marque. Osez le genre homo… C’est mardi-gras ! L’érotisme risque d’en prendre un sacré coup dans les chaumières !
Notons que les images présentant la collection exposent des femmes aux cheveux presque rasés laissant planer le doute sur leur sexe et, surtout, des femmes noires en avant poste, les blanches étant reléguées au second plan. Tous les codes du wokisme intégrés dans une seule représentation.
Du grand art dans la propagande
Évidemment, dans la presse féminine progressiste comme Madmoizelle, on se félicite de ce « changement de fond » qui, avec cette « lingerie gender-free pourrait faciliter le confort, l’euphorie de genre (sic), et donc la vie de plein de gens. » L’« euphorie de genre », voilà un nouveau concept qui atteste bien de dégénérescence de nos sociétés consuméristes, hédonistes et jouisseuses. Ce que certains, sur Twitter, n’ont pas manqué de dénoncer en d’autres termes :
De la lingerie non-genrée !
— Le Conservateur (@Fr_Conservateur) February 25, 2022
Comment cet Occident, décadent et moribond, si cher au bobo va-t-en-guerre BHL, pourrait-il comprendre une Russie, restée intégre et sur ses fondamentaux civilisationnels ?#Poutine #Ukraine #Russie #Etam https://t.co/SjWRjx0fdF
Rien à rajouter !
Ces marques de vêtements qui intègrent à leurs collections les codes de la culture woke et de la déconstruction, pour des raisons bassement mercantiles, n’hésitent pas à se transformer en canal de transmission de cette funeste idéologie. C’est dire si la pression des « wokistes » en France est devenue âpre et vigoureuse. Mais n’avons-nous pas à la tête de l’État un ardent partisan des ces transformations sociétales décadentes, ouvertement déclaré lors d’une fête de la musique de triste mémoire ?
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
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Bonus :
Pour rappel sur les mantras actuels très en vogue :
• le wokisme c’est le SUPPRESSISME (on supprime les codes plurimillénaires de la loi naturelle) et
• la cancel culture c’est le REMPLACISME (on remplace des événements ou des personnages historiques).
Cela dit, sur la publicité Étam, je vois quand-même trois femmes bien réelles pas particulièrement garçons manqués.
Pénurie de pétrole, les mannequins woke attendront un peu…
Oui cette photo va presque au bout du bout de la falsification de la vie, de la création…
Je dis presque car au-delà des codes que vous nous montrez et le fait qu’ils « baissent » l’AMOUR Divin, il y a le fait que le couple de gauche est « gaie » et celui de droite « l’est-ce bien ». Ils n’ont pas résolu la marchandisation du produit bébé (le but final en fait!). C’est vrai cela devient compliqué et le processus d’inversion des lois naturelles n’a pas, à ce jour, remédié à cette « problématique » portant la base virtuelle de cette idolâtre idiotie. Mais je leur fais « con-fiance ». Les esprits démoniaques se cachent (peuvent-ils faire autrement d’ailleurs face à la raison pure) dans la tête des suppôts parasites du bulbe…
Je recommande une mode de nudiste dans laquelle les XX et les XY se distingueraient nettement pas leur sexe, la théorie du genre n’aurait plus lieu d’être
C’est la génétique et la science qui feraient la différence entre un homme et une femme et non des théories fumeuses par des êtres mal dans leur peau et leur tête.
Le vêtement est libéré mais les Nations sont enchaînées, Artémisia Collège sur GETTR nous montre le grand SCHWAB en tenue ultra légère et féminisée à la plage, qui n’a rien à voir avec monsieur Hulot.