De Qui, Robert Ménard, maire de Béziers, est-il le leurre ?

par | 8 décembre 2022 | 6 Commentaires 

Nous avons dénon­cé récem­ment l’in­tru­sion incon­grue du pré­sident put­schiste Zelensky en visio­con­fé­rence lors de l’as­sem­blée de l’Association des Maires de France, sous la pré­si­dence de David Lisnard, maire de Cannes (lire Zelensky pré­pare t‑il son exil à Cannes ? du 24 novembre 2022). Le maire de Cannes n’est pas le seul à affi­cher une sym­pa­thie nau­séa­bonde avec le régime ukro­na­zi de Kiev.

Le maire de Béziers pavoise le siège de l’agglomération biterroise aux couleurs de l’Ukraine

(notre illus­tra­tion ci-des­sus)
Pourquoi s’at­tache t‑il à affi­cher sa sym­pa­thie avec le régime bel­li­ciste et raciste de Kiev ? A t‑il deman­dé l’a­vis des Bitérrois ? Ceux-ci savent bien que le Pouvoir en place à Kiev est issu du putsch de la Place Maïdan en 2014 fomen­té par la CIA dans le but de pous­ser la Russie à la guerre. Le pré­sident-clown Zelensky est le pan­tin des États-Unis. Avec leur appui mili­taire et finan­cier, il a conti­nué de vio­ler les accords de Minsk en bom­bar­dant le Donbass (15 000 morts) et en fai­sant de la tor­ture des popu­la­tions rus­so­phones du Donbas une règle de sou­mis­sion (lire Tortures dans le Donbass : « ils » savent depuis 2016 du 31 août 2022).

Robert Ménard et son épouse Emmanuelle, dépu­tée, ancienne jour­na­liste et cofon­da­trice de Boulevard Voltaire, ne peuvent igno­rer les accoin­tances ouvertes du régime ukrai­nien avec l’i­déo­lo­gie nazie. Cette ignoble com­pli­ci­té est publiée depuis des années dans la presse : Les médias grand public blan­chissent les néo-nazis et leur guerre – une brève chronologie

Avant « l’o­pé­ra­tion mili­taire spé­ciale » russe du 24 février, nos grands médias (occi­den­taux) n’a­vaient aucun pro­blème à publier des articles sur des per­sonnes et des groupes comme Stepan Bandera, Roman Shukhevych, le bataillon Azov, le sec­teur droit, etc. pour ce qu’ils sont : des nazis col­la­bo­ra­teurs et escouades para­mi­li­taires (néo-)nazies. Il y a des articles expo­sant les innom­brables monu­ments et rues por­tant le nom de col­la­bo­ra­teurs nazis (Forward, 27 jan­vier 2021) et com­ment l’Ukraine a fait de l’an­ni­ver­saire d’un col­la­bo­ra­teur nazi une fête natio­nale (Haaretz, 27 décembre 2018).

Nazis Ukraine patchworkCliquer sur l’i­mage pour l’agrandir

Le cofon­da­teur de « Reporters sans fron­tières » et de Boulevard Voltaire, maire de Béziers et pré­sident de la com­mu­nau­té d’ag­glo­mé­ra­tion, doit être infor­mé de la tour­nure de la guerre. Il sait donc que l’Ukraine est en train de la perdre. Il choi­sit alors le mau­vais moment pour affi­cher ses sym­pa­thies avec le per­dant annoncé.

Nous avons du mal à ima­gi­ner que Robert Ménard, qui par ailleurs est un bon maire — tout comme l’est David Lisnard à Cannes — s’en­gage en faveur du régime ukrai­nien sans subir d’é­normes pres­sions. Nous nous posons la même ques­tion que pour David Lisnard : Qui pousse le maire de Béziers à se renier ain­si ? Pire : au mau­vais moment.

Comment le fondateur de Reporters sans frontières en est-il arrivé là ?

Il faut cher­cher à com­prendre. Chacun pressent bien que la guerre qui se déroule actuel­le­ment dans les plaines du Donbass n’est pas seule­ment une guerre ter­ri­to­riale, mais une guerre civi­li­sa­tion­nelle. Du reste ce n’est pas l’Ukraine qui affronte la Russie, c’est l’OTAN qui ne s’en cache pas. À tra­vers l’OTAN, les États-Unis entraînent tous les pays inféo­dés d’Europe dans une guerre où ils per­dront beau­coup. Rien ne jus­ti­fie cet enga­ge­ment délé­tère de la France dans ce conflit fomen­té de longue date par les États-Unis qui ont fait de l’Ukraine le nou­veau fer de lance de leur influence : labo­ra­toires viro­lo­giques clan­des­tins, GPA, LGBTQIA+, athéisme et hédo­nisme, cor­rup­tion omni­pré­sente au plus haut niveau des États ukrai­niens et nord-américains.

Ukronazis autodafé icônes orthodoxes

Ukronazis autodafé icônes orthodoxes

Autodafé d’i­cônes par l’ar­mée ukrai­nienne au pré­texte que l’Église ortho­doxe ukrai­nienne se place sous l’au­to­ri­té du patriarche russe Kirill. De nom­breuses églises ukrai­niennes sont éga­le­ment bom­bar­dées ou incendiées.Ukraine LGBT

L’Ukraine est le reflet de ce que les États-Unis nous préparent.

Prendre parti pour l’Ukraine, c’est en fait se soumettre à la culture woke voulue par une certaine élite américaine

Cet asser­vis­se­ment passe par la des­truc­tion de toutes les cultures enra­ci­nées et tra­di­tion­nelles. Robert Ménard se sou­met à ce Nouvel Ordre Mondial der­rière une agi­ta­tion anti-immi­gra­tion­niste. La preuve nous en est don­née par les prises de posi­tion très Bien Pensantes de son épouse, Emmanuelle Ménard, sur « LE » vac­cin. Celle-ci avance : « Aujourd’hui, la seule chose qui a mon­tré son effi­ca­ci­té, c’est le vac­cin » [source Boulevard Voltaire]. Glup ! Mais où est-elle allée cher­cher cela ? C’est tout le contraire. Emmanuelle Ménard se dit favo­rable à l’in­jec­tion pour tous de la potion qui ne gué­rit de rien, et donc par suite favo­rable au passe sanitaire.

Drapeau ukrainien appli TousAntiCovid

Copie d’é­cran [source]

Ukraine – Soumission à une élite amé­ri­caine sata­niste – Vaccination obli­ga­toire – Passe sani­taire… Le fil conduc­teur appa­raît. Les Français le voit car il devient une grosse ficelle. Robert Ménard fait mine de ne pas le voir.

Les Ménard, sous couvert d’indépendance, roulent pour le Nouvel Ordre Mondial

Ils sup­portent d’être cata­lo­gués à « l’ex­trême droite » car c’est le rôle qui leur est attri­bué. Ainsi de l’ex­trême droite à l’ex­trême gauche, le consen­sus se fait sur les choix de socié­té orches­trés par le som­met qui com­plote contre les Peuples au Forum de Davos. Tout comme les Ménard, Mélenchon est lui aus­si favo­rable à la piquouze pour tous : Vaccination obli­ga­toire : pour Mélenchon « il faut convaincre et pas contraindre ». Marine Le Pen, très auda­cieuse sur ce sujet, ne sou­haite pas que l’on injecte les enfants, mais ne s’y oppose pas pour les adultes.

Ménard masque

Mélenchon masqué

Marine Le Pen masquée

Il est du reste tout à fait symp­to­ma­tique que les per­sonnes cri­tiques à l’é­gard de l’en­ga­ge­ment de la France dans la guerre contre la Russie sont aus­si cri­tiques à l’é­gard du pro­jet de passe sani­taire et donc de pas­se­port numérique.

En dénonçant l’immigration de masse mais sans en désigner ses promoteurs car ce sont les mêmes qui nous engagent dans la guerre en Ukraine, Ménard nous montre bien qu’il est un leurre

Il sert le Pouvoir pro­fond en s’a­gi­tant dans l’op­po­si­tion contrô­lée et en contri­buant à trom­per les Français par une démo­cra­tie qui n’existe pas.

Georges Gourdin


Bonus : À la mai­rie de Saint Sauvian, tou­jours dans l’Hérault, le dra­peau ukrai­nien éclipse car­ré­ment l’é­ten­dard français !Drapeau ukrainien Mairie Saint Sauvian

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Georges Gourdin

6 Commentaires 

  1. Vivement que la VÉRITÉ éclate au grand et que Poutine mette de l’ordre ! Voici un docu­ment ci-des­­sous qu’il faut envoyer aux maires tant pas­sion­nés par l’Ukraine mar­ty­ri­sée !
    Bruno Leclercq http://www.la-bme.fr

    Les aveux à peine croyables du conseiller de Zelensky sur la guerre avec la Russie
    Auteur(s) Jean Neige, pour France-Soir. Publié le 02 novembre 2022

    TRIBUNE – Dans une inter­view don­née en 2019, Olekseï Arestovitch, futur conseiller du pré­sident Zelensky, expli­quait pour­quoi il fal­lait une guerre avec la Russie, com­ment et quand elle allait se dérou­ler.
    On se pince pour être sûr que l’on ne rêve pas. Comment est-il pos­sible pour un diri­geant ukrai­nien de vou­loir une guerre ouverte avec un pays aus­si puis­sant que la Russie, quitte à ce que l’Ukraine soit dévas­tée ? C’est pour­tant ce que pré­co­ni­sait Arestovitch, dans une inter­view don­née le 18 février 2019, quelques mois avant que Zelensky ne soit élu.
    https://twitter.com/i/status/1582381428184322050
    « Le prix à payer pour rejoindre l’OTAN est un grand conflit avec la Russie »
    Selon Arestovitch, l’Ukraine était un pays trop grand, trop expo­sé, avec trop de voi­sins ayant des reven­di­ca­tions sur son ter­ri­toire, pour pou­voir choi­sir le che­min de la neu­tra­li­té. Il fal­lait donc choi­sir entre la Russie et l’OTAN. Comme l’Ukraine avait déjà essayé la Russie, il fal­lait main­te­nant ten­ter l’OTAN. Toujours selon lui, si l’Ukraine ne ren­trait pas dans l’OTAN, elle serait sous contrôle russe d’i­ci à 10 à 12 ans. Car le futur conseiller était cer­tain que la Russie vou­lait réin­té­grer les pays de l’ex-URSS dans sa sphère d’influence. Cependant, il était par­fai­te­ment conscient qu’une Ukraine dans l’OTAN était inac­cep­table pour la Russie et qu’elle pré­fé­re­rait faire la guerre à l’Ukraine plu­tôt que de lais­ser son voi­sin adhé­rer à l’alliance mili­taire de l’ouest per­çue comme une menace. Il en était sûr à 99 %.
    C’est exac­te­ment ce qui s’est pas­sé. Quand l’intervieweuse demande à Arestovitch ce qui est mieux pour l’Ukraine, ce der­nier répond sans hési­ter « la guerre ». De nom­breux com­men­ta­teurs sur Youtube admirent le talent de pré­dic­tion du futur conseiller. Mais il s’agit moins de pré­dic­tions, que de décrire un plan d’action. Pour lui, cette guerre allait com­men­cer entre 2020 et 2022. Et, pour que ce plan se déroule comme pré­vu, il appe­lait à voter Zelensky. Arestovich était aus­si convain­cu que l’OTAN n’accepterait pas l’Ukraine en son sein avant qu’une guerre rus­­so-ukrai­­nienne n’ait lieu, une guerre dont il fal­lait que l’Ukraine sorte vain­queur, même si elle devait être dévas­tée pour cela. En d’autres termes, il fal­lait que l’Ukraine soit prête à un sacri­fice énorme, pour s’assurer ensuite d’être com­plè­te­ment déta­chée de la Russie. Il pré­cise encore que « dans ce conflit, nous serons acti­ve­ment sou­te­nus par l’Occident – avec des armes, des équi­pe­ments, de l’assistance, des nou­velles sanc­tions contre la Russie, et même pos­si­ble­ment l’introduction d’un contin­gent de l’OTAN, une zone d’exclusion aérienne, etc. Nous ne per­drons pas, et c’est bien ». Presque tout ce qu’il a dit s’est réa­li­sé. La cer­ti­tude et la confiance qu’il affiche laissent pen­ser qu’il a déjà reçu des assu­rances de la part des Occidentaux pour tout ce qu’il avance. La pro­chaine étape est-elle l’entrée en guerre offi­cielle de l’OTAN, par exemple, avec la 101ᵉ divi­sion aéro­por­tée amé­ri­caine, déjà déployée en Roumanie, en plus des contin­gents fran­çais et autres ?
    La relec­ture du pas­sé récent
    À la lumière de cet entre­tien, on peut revoir tout ce qui s’est pas­sé depuis, jusqu’à aujourd’hui, sous un jour nou­veau. On a main­te­nant la qua­­si-confir­­ma­­tion que tout a donc été fait par l’Ukraine pour pro­vo­quer la guerre avec la Russie. En octobre 2019, le pré­sident Zelensky annon­çait alors fiè­re­ment que l’Ukraine était prête pour reprendre le Donbass par la force. S’ils avaient vou­lu pro­vo­quer la Russie, c’est par là qu’il fal­lait com­men­cer. Laisser la Russie atta­quer la pre­mière était la meilleure stra­té­gie pour pou­voir ensuite endos­ser le rôle de la vic­time et qué­man­der le sou­tien de la terre entière contre l’agression de l’ogre russe. Il est d’ailleurs notable que, dans leur com­mu­ni­ca­tion, les anglo-saxons insistent sur le fait que l’agression russe était abso­lu­ment « non pro­vo­quée ». Comme le dira un inter­naute, s’ils insistent si lour­de­ment là-des­­sus, c’est parce que l’agression fut au contraire pro­vo­quée. Gageons que la ten­ta­tive de réani­mer les accords de Minsk, avec la réunion du for­mat Normandie le 9 décembre 2019 à Paris, aura retar­dé quelque peu l’affrontement vou­lu. Les Ukrainiens se prê­te­ront à l’exercice impo­sé, en appa­rence, mais comme d’habitude ne res­pec­te­ront aucun des enga­ge­ments pris, si ce n’est l’échange de pri­son­niers.
    Dès l’intronisation de Biden, fin jan­vier 2021, les pro­vo­ca­tions contre les inté­rêts russes repre­naient de plus belle, avec les per­sé­cu­tions judi­ciaires lan­cées contre Victor Medvetchuk, le lea­der de l’opposition favo­rable aux Accords de Minsk et à une poli­tique de bon voi­si­nage avec la Russie. La fer­me­ture des chaines de TV d’opposition, dès le 2 février, allaient dans le même sens, comme le décret signé le 24 mars auto­ri­sant la reprise de la Crimée par la force. En moins de deux mois, Zelensky avait ten­té le maxi­mum pour pro­vo­quer la Russie. Mais cette der­nière n’attaquait tou­jours pas. Par la suite, les États-Unis et l’Ukraine n’ont ces­sé de par­ler d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Le 1ᵉʳ sep­tembre 2021, les États-Unis et l’Ukraine ont fait une décla­ra­tion com­mune de par­te­na­riat stra­té­gique qui insis­tait lour­de­ment sur la dimen­sion sécu­ri­taire. Ce tra­vail débou­chait le 10 novembre sur la mise à jour d’une charte com­mune signée ini­tia­le­ment en 2008. Du point de vue russe, la pres­sion mon­tait. Plus le temps pas­sait, plus le sou­tien amé­ri­cain à l’Ukraine aug­men­tait. À quand les bom­bar­diers stra­té­giques et les mis­siles amé­ri­cains déployés sur le ter­ri­toire de l’Ukraine ? Dans la même période, à l’automne, les Russes ont alors son­dé une der­nière fois la volon­té des Français et des Allemands pour faire pres­sion sur les Ukrainiens, agis­sant de telle sorte que ces der­niers négo­cient enfin avec les sépa­ra­tistes dans le cadre des Accords de Minsk. Face au refus fran­­co-alle­­mand, les Russes excé­dés ont fini par publier le 18 novembre les échanges diplo­ma­tiques avec Paris et Berlin. Parallèlement, ils ont com­men­cé à amas­ser des troupes aux fron­tières de l’Ukraine, pour faire pres­sion. Des réunions ont eu lieu en jan­vier et février 2022, mais elles se sont heur­tées aux mêmes obs­tacles. Ni Paris ni Berlin n’ont vou­lu exer­cer de pres­sions sur Kiev, comme à l’accoutumée. C’est là que les Russes ont défi­ni­ti­ve­ment pu conclure que les Accords de Minsk étaient morts, faute de volon­té poli­tique des trois autres signataires.On sait main­te­nant que lorsque Zelensky fei­gnait de ne pas croire à l’invasion, en février 2022, il men­tait. Il fal­lait juste évi­ter un exode des com­bat­tants poten­tiels dont on avait déjà pré­vu la mobi­li­sa­tion. Là où Arestovitch fait preuve de grande intel­li­gence tac­tique dans son inter­view de 2019, c’est dans la des­crip­tion de tous les objec­tifs mili­taires et les modes opé­ra­toires qui seront mis en œuvre par la Russie. Tout y passe. De la ten­ta­tive du siège de Kiev à la des­truc­tion des infra­struc­tures. On com­prend d’autant mieux pour­quoi les Russes n’ont pas eu la par­tie facile, puisque les Ukrainiens, et leurs alliés anglo-saxons, avaient pré­vu leurs moindres mou­ve­ments. Savoir com­ment l’Ukraine a en quelque sorte savam­ment pla­ni­fié et pro­vo­qué l’agression de la Russie – avec le sou­tien de l’allié amé­ri­cain (Cf. – Le rap­port de la Rand Corporation pour désta­bi­li­ser la Russie) – est une rai­son de plus pour de ces­ser toute aide mili­taire à ce pays dérai­son­nable qui a volon­tai­re­ment joué avec le feu. Si seule­ment nous étions encore les maîtres sou­ve­rains de notre poli­tique étrangère…

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  2. Je ne vous suis pas sur vos appré­cia­tions sur le Président de l’Ukraine, qui n’est qu’un gen­tille colombe en face de l’ogre Poutine. Je n’ou­blie pas que l’URSS de Staline a fait mas­sa­crer près de 3 mil­lions d’Ukrainiens

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    • Bernard Henou, nous ne sommes plus au temps de Staline. Par contre les nazis, eux, on sur­vé­cu, grâce entre autre à l’o­pé­ra­tion Paperclip (ori­gi­nel­le­ment appe­lée « Opération Overcast »). l’ar­mée des États-Unis avait alors exfil­tré et recru­té près de 1 500 scien­ti­fiques alle­mands issus du com­plexe mili­­ta­­ro-indus­­triel de l’Allemagne nazie pour lut­ter contre l’URSS et récu­pé­rer les armes secrètes du Troisième Reich. Ces scien­ti­fiques effec­tuèrent des recherches dans divers domaines, notam­ment sur les armes chi­miques (Zyklon B), sur l’u­sage des psychotropes…

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    • C’est comme si on repro­chait à Scholz ou à Merkel les mas­sacres com­mis par Hitler

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  3. Regardez la vidéo qui résume tout le pro­ces­sus de mani­pu­la­tion autour du plan sata­niste Covid. C’est un peu long (2 heures et demi), mais il faut bien cela pour décor­ti­quer ce véri­table COMPLOT :
    https://crowdbunker.com/v/qxcpN7yhdU
    Les cin­glés de la piqûre sont les mêmes cin­glés qui veulent déclen­cher en Ukraine une Troisième Guerre Mondiale.
    Regardez la en plu­sieurs fois, mais regar­dez tout. Ouvrez les yeux, ouvrez les oreilles, sor­tez du trou­peau que l’on emmène à l’abattoir !

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  4. Il est à noter que le maire macro­niste de Sauvian, Bernard AURIOL, fait grief à Robert Ménard d’être… trop tiède dans son sou­tien au régime ukro­na­zi et à Zelensky ! Il serait inté­res­sant de « creu­ser » ce per­son­nage, qui semble être en pointe dans le com­bat pro-kie­­vien au sein de l’agglo.
    Bien à vous !

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