Étrange répartition des lots de produits ARNm

par | 22 jan­vier 2023 | 2 Commentaires 

Les dernières révélations de Catherine Austin Fitts

Qui est-elle ? Ancienne ban­quière d’investissement de Wall Street, experte en macroé­co­no­mie et édi­trice du rap­port Solari, elle est ancienne secré­taire adjointe au loge­ment sous l’administration Bush, Catherine Austin Fitts affirme que les ban­quiers cen­traux ne veulent rien de moins qu’un « sys­tème de contrôle numé­rique com­plet ».

Catherine Austin Fitts est par­tie pre­nante en 2020 dans la réa­li­sa­tion du film Hold-Up :

Elle révèle aujourd’hui une étrange répartition des lots de produits ARNm

Ce qu’elle révèle cor­res­pond à la pré­sen­ta­tion déjà réa­li­sée par un scien­ti­fique anglais avec preuves et docu­ments à l’appui qui démon­trait que :
Chaque labo qui libé­rait un lot de pro­duits atten­dait que le labo concur­rent ait libé­ré le sien.
Ils libé­raient les lots avec une pro­gram­ma­tion métho­di­que­ment orga­ni­sée afin de ne pas faire dou­blons les uns avec les autres.
• Chaque lot libé­ré pré­sen­tait des niveaux de toxi­ci­té variables.
Dans un même lot, on trou­vait des fla­cons avec de la solu­tion saline (pla­cé­bo) et des fla­cons de plus en plus toxiques.

Cela ne peut que nous inter­ro­ger sur les moti­va­tions et ne peut nous empê­cher de pen­ser que :
• D’une part, les fabri­cants ont omis de com­mu­ni­quer sur cette pra­tique pou­vant s’assurer ain­si qu’on ne pou­vait leur repro­cher que l’injection fût nocive, car un nombre consé­quent de per­sonnes n’ont pas d’effets secon­daires. La rai­son est donc ailleurs !
• D’autre part, comme abor­dé à plu­sieurs reprises par un grand nombre de spé­cia­listes, le pro­duit concer­né res­tant en phase d’étude, il n’est pas inco­hé­rent de pen­ser que les dif­fé­rents lots bien enca­drés et bien sui­vis, pro­po­saient des « concen­tra­tions » de pro­duits dif­fé­rentes de manière à défi­nir les sta­tis­tiques concer­nant le rap­port densité/​dangerosité et le seuil maxi­mal pour atteindre la mor­ta­li­té à plus ou moins courte échéance.

Il n’en reste pas moins que les pro­duits injec­tés (de force !) sont, d’avis d’éminents spé­cia­listes dans le monde, des poi­sons dont les effets néfastes voire mor­tels n’ont pas fini de se confirmer.

Le lien de cau­sa­li­té s’étirant dans le temps, il devient de plus en plus dif­fi­cile de le prou­ver.
L’avenir est-il dans la créa­tion d’un « vac­cin » pour « contrô­ler » la san­té et la mor­ta­li­té des 87% d’humains qui ont déjà reçu au moins une injection ?

Pierre Pignon

2 Commentaires 

  1. Quelle belle mois­son de sta­tis­tiques mul­ti débou­chés en pers­pec­tive ! Faites tour­ner les ordi­na­teurs quan­tiques et sablez le cham­pagne ! Invitez la CNIL, ça fera plus responsable..

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