L’Assemblée Nationale N’est PAS la représentation nationale
Tout le monde garde en tête la pleutrerie de l’Assemblée Nationale qui avait observé une minute de silence à la mémoire du petit délinquant Nahel, mort à la suite d’un refus d’obtempérer lors d’un contrôle de police (notre illustration ci-dessus). L’armada médiatique s’était alors activée pour soutenir le petit délinquant et condamner la police, à tel point qu’on pouvait assister à ce type de scène irréaliste :
La France profonde bafouée par l’ensemble de notre classe dirigeante avait réagi en répondant très massivement à l’appel de Jean Messiha de collecter des fonds pour les frais d’avocat du policier. Plus d’un million d’euros avait alors été récolté pour un objectif initial de 50 000 euros :
Il ne reste plus que l’eSStrêêêêême Droââââââte pour avoir une pensée pour le malheureux Thomas :
@marion_marechal Pour #Nahel, connu de la police, qui refuse d’obtempérer, il y a une minute de silence à l’Assemblée nationale. Pour #Thomas, jeune homme sans histoire, qui meurt car des racailles veulent « planter du blanc », il n’y a rien. #Crépol ♬ son original – Marion Maréchal
Il est vrai que c’est difficile à imaginer tellement nous sommes gavés, matraqués dès notre plus petite enfance, par les « Droits de l’Homme », la « Démocratie », « Liberté – Égalité – Fraternité » et toute la soupe Bien Pensante. Mais la réalité est bien là, qu’on l’admette ou pas :
Sur tous les sujets, le Peuple est bafoué.
L’ensemble de la classe dirigeante est en place pour mettre en œuvre un changement de société à l’insu du Peuple, CONTRE le Peuple.
Nos dirigeants, quels qu’ils soient, politiciens, journalistes, syndicalistes, hauts fonctionnaires, artistes, bref tous ceux qui sont bien dans ce Système, n’entendent pas abandonner leurs prébendes.
La classe dirigeante craint bien plus les émeutes des quartiers que le résultat des urnes qui est sous contrôle.
« Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance », telle était l’inscription qui accueillait les damnés dans l’« Enfer » de Dante. Serions nous tombés en enfer ?
Georges Gourdin
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