
Oublier Delors, se souvenir de Buisson
Delors ? De l’ordure !
• Plus pur étron du système techno-socialo-capitalo-euro-démo-chrétien-gaucho des années 60⁄70.
• Se vantant de « servir » l’État et son gouvernement le jour et de travailler toute la nuit pour le PS (ou plutôt la SFIO ou la FGDS, ou le club de bourgeois de gauche désœuvrés ceci, ou encore la société de pensée tordue cela, ou tout autre structure gauchiste de l’époque).
• Traître, donc.
• « Grand européen », traduire traître là aussi, à la nation, à la patrie, à la France.
• Puis « commissaire européen », le trait d’union entre Monnet/Schuman(1) et Ursula Yvonne-derrière-Layette, traîtren (puissance n) à partir de ce moment-là, stipendié par les pires ennemis de la France, à savoir les Allemands/Américains, sous le regard narquois des Anglais.
Même pas capable de faire une fille qui se tient, personnellement et politiquement. Je l’ai connue perso, celle-là, Martine au pays des terrils, intronisée là-haut par Pierre Mort-aux-rats. Aussi haïssable que son père. En pire parce que, quand elles s’y mettent, les gonzesses peuvent faire plus bas que bas en bassesse que les mecs. Surtout avec une génération d’écart par rapport à feu « le grand homme politique de gauche », que tous révèrent ce soir. En particulier les mous de « droite » qui ont pactisé avec lui à l’époque pour participer au dézinguage des nations et des peuples d’Europe.

Comme il fallait s’y attendre, la presse subventionnée encense à l’unanimité le traitre à son peuple
Et bien non, pas pour moi ! Pas de larme ! Même de crocodile, pas une seule ce soir. Honnêtement, je pensais qu’il avait au moins eu la décence de s’en aller, la gueule ouverte certes, mais en silence, depuis un bon moment. Je nourris juste le regret que le Bon Dieu, auquel il disait croire, lui ait permis d’être aussi nocif aussi longtemps, y compris via sa descendance. Alors que, par justice divine et immanente, il eut mieux valu qu’il fût foudroyé derechef à la première trahison. Ce qui, au demeurant, aurait arrêté sa carrière politico-administrative et sa reproduction génétique très tôt, car ces races idéologiques-là ça a le diable dans le cul de façon précoce.
Ce genre d’éternels repentants – tourmentés jusqu’aux traits du visage – ils adorent ça, ces masochistes vicieux – eux qui n’ont de cesse de vouloir, par totalitarisme prétentieux et rébellion idéologique contre leur lignée, imposer leur carence identitaire et leur charité dévoyée aux peuples de sang et de sol. Ceci bien sûr, comme tous les socialos et les fonctionnaires, avec notre pognon, celui que nous, nous avons gagné en bossant, pour de bon, durement et honnêtement. |
Tiens, je me suis voté un verre, ce soir.
Et un autre, mais avec une pensée tout autre, pour Patrick Buisson.
Quand je pense que le décès du vieillard profiteur socialo-européiste, ce fédéraste, va jusqu’à occulter, même chez CNews, la disparition de quelqu’un – Buisson – qui certes ne fut ma tasse de thé, mais demeurera à jamais un grand penseur de la vraie droite, c’est-à-dire de la France. Camarade de nos camarades de la première heure comme Duprat, Patrick Buisson resté maurrassien et simultanément gramsciste, l’homme complet à l’intelligence instruite conjuguée avec l’action courageuse, historien érudit mais engagé dans le présent du monde : de quoi se redire, pour la énième fois, que l’inversion des valeurs à laquelle nous assistons et que nous peinons à contrer, constitue vraiment le témoignage d’une fin de cycle, de culture, voire de civilisation.
Pour Buisson : requesciat in pace. Pour l’autre : qu’il aille ad vitam æternam au purgatoire.
Marc-François de Rancon
La crevure crevée Delordure m’a réjoui… Je sais que « cé pô bien » reste sa poivrote de fille Mairde Lille, pas encore clamsée celle-là. Dommage, mais qu’ont-ils encore là-haut (Hauts de France!!! horreur!) à voter pour cette classe de tarées gaucho-écolo-dingos ? Vous m’direz qu’ici en « PACA » (horreur!) pas vraiment mieux ! La droite macronarde vote Estronsi, ou Chiotti pour se croire de « droite ». Rien à en tirer. Mais la mort de Patrick Buisson, ça m’a fait un choc, une grande peine, j’avais lu son livre « La cause du Peuple » (beau titre !) sur son expérience auprès de Sarkozy… Un témoignage historique au service d’un escroc. Il reste les interventions de l’ami Buisson chez TVL. Même si l’on n’est pas toujours d’accord avec lui, il aura brillé par ses réflexions profondes. Pour la cause du peuple, adieu vieux camarade !
Magnifique !
Merci pour ce grand moment de vérité