Le 11 novembre réunit les Gaudois

par | 14 novembre 2024 | 4 Commentaires 

Nous écri­vions l’an­née der­nière : Le 11 novembre unit les Gaudois.
Nous ne pou­vons qu’é­crire la même chose cette année encore : Le 11 novembre réunit les Gaudois.

Le Vivre Ensemble ici a un sens : des élèves de l’é­cole pri­maire aux grands-parents en pas­sant bien enten­du par les parents, tout le monde à La Gaude honore les enfants du vil­lage qui ont don­né leur vie pour la Patrie.

La pre­mière adjointe Laetitia Roubaud a lu le com­mu­ni­qué du ministre des Armées Sébastien Lecornu, bel exer­cice de langue de bois qui prône la paix et — En Même Temps — la guerre, puisque la France envoie des armes en Ukraine et forme sur son ter­ri­toire des sol­dats ukro-nazis(1).

Après avoir énon­cé un par un le nom des Gaudois morts lors de la 1ère Guerre Mondiale, l’an­cienne direc­trice de l’é­cole pri­maire Marcel Pagnol pas­sait la main à son suc­ces­seur qui diri­geait les enfants qui enton­naient la Marseillaise :

Avant d’in­vi­ter ses conci­toyens à l’« apé­ri­tif répu­bli­cain », le maire Bruno Bettati rap­pe­lait com­bien il était atta­ché à l’u­ni­té de son vil­lage qui passe par la mémoire qui doit se trans­mettre de géné­ra­tion en géné­ra­tion. Au moins à La Gaude, il en est ainsi.

La Gaude - 11 novembre 2024 - Bruno Bettati

Le maire Bruno Bettati lors de son mes­sage aux Gaudois

4 Commentaires 

  1. Bruno Bettati est un loin­tain cou­sin (par alliance) et des Grandes-Tantes (par alliance) à lui ont été résis­tantes dans le réseau Surcouf de l’ar­rière Pays Niçois (val­lée du Paillon) pour com­battre les nazis. Je ne sais pas s’il a rap­pe­lé ces faits de guerre et d’Honneur ; mais cela va à l’en­contre de la man­sué­tude en faveur de Zelensky et de ses com­parses et com­plices, qui ne repré­sentent pas tous les Ukrainiens d’ailleurs et de la posi­tion du gou­ver­ne­ment qui veut que le Drapeau Français soit asso­cié au dra­peau euro­péen comme le sou­haite M. Barnier, illé­gi­time pre­mier ministre .

    Répondre
  2. Souvenir ravi­vé : quand j’é­tais à l’é­cole Sasserno, dans les années 50–60, on appre­nait 2 chants : Nissa la Bella et la Marseillaise. Longo maï !

    Répondre
  3. Ben visi­ble­ment, ou bien peu de parents ont per­mis à leurs enfants d’al­ler à la céré­mo­nie, ou bien il y a peu d’en­fants dans cette école primaire…

    Répondre
  4. C’est sour­nois et mal­hon­nête venant d’a­dultes (initié(e)s), d’im­pli­quer des Zenfants dans 1e simu­lacre de res­pect et consi­dé­ra­tion envers NOS Ancêtres et Histoires, alors que la déli­ques­cence socié­tale est fac­tuelle depuis plus de 30 hivers ! Le Drapeau est inju­rié et sali de part et d’autre, qua­si­ment TOUS les jours ! Les pires étant, les pseu­dos « repré­sen­tants » de cette société…

    Répondre

Envoyer le commentaire

Votre adresse e‑mail ne sera pas publiée. Les champs obli­ga­toires sont indi­qués avec *

Je sou­haite être notifié(e) par mes­sa­ge­rie des nou­veaux com­men­taires publiés sur cet article.