
Covid, Russie, la propagande En Marche
Même si elle n’a pas apporté toute satisfaction à ses fomenteurs, la plandémie Covid est et restera un cas d’école en matière d’ingénierie sociale.
Au départ, il y a un gros mensonge
Seuls les esprits les plus affutés — et les plus courageux — ont osé dénoncer le mensonge de la plandémie Covid. Ils furent qualifiés de « complotistes » (comprendre « extrême droite »). Rendons hommage à ces personnes libres et courageuses, qui sont des modèles ou des guides, tels les Pr Didier Raoult, Jean-Bernard Fourtillan, Luc Montagnier, les Dr Louis Fouché, Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude, le journaliste Philippe Aimar. Heureusement cette liste est loin d’être exhaustive.
Le mensonge s’est révélé peu à peu, hélas au prix de centaines de milliers de dégâts objectivement consécutifs aux injections expérimentales que les médias ne sont pas parvenus à étouffer.
Matraquage médiatique
Nous n’oublions pas que les comploteurs ont ameuté toutes leurs troupes :
• pression médiatique maximale : avec par exemple un dénombre quotidien des morts,
• mesures coercitives drastiques avec licenciement des contre-venants,
• consensus général de tous les corps constitués, syndicats, corps enseignant.
Un hold-up à plusieurs milliards

Ursula von den Leyen en effusion avec le PDG de Pfizer Albert Bourla
Cette opération, savamment préparée depuis des années, avait également pour objectif de ponctionner les contribuables. La machinerie est au point : les contribuables paient pour leur propre mort. L’argent n’est pas perdu pour tout le monde.
Nous assistons actuellement au même scénario.
Cette fois-ci l’objectif n’est pas d’imposer le passeport numérique, mais de déclencher une guerre contre la Russie. Les méthodes sont les mêmes car les comploteurs qui nous veulent du bien, n’ont pas bien perçu l’échec relatif de la campagne Covid. Ils ne sont pas assez humbles pour se remettre en cause et pratiquent toujours les mêmes méthodes.
Le mensonge
Ici les mensonges sont ici plus facilement détectables car les faits démolissent le discours officiel. Les Français savent bien que Zelinsky est un dirigeant illégitime, barbare, corrompu jusqu’à la moelle, et ils se demandent bien pourquoi nos dirigeants le protègent. Ils savent bien que c’est l’Occident qui a fomenté de toutes pièces cet affront avec la Russie. Ils savent bien aussi que les armes et les milliards envoyés en Ukraine alimentent des circuits opaques de contre-bande. Ils sentent bien aussi que cette guerre est déjà perdue par l’Occident.
Ils ne partagent pas grand chose avec l’Ukraine, ce pays lointain qui n’existait même pas il y a 100 ans.

En 1914 l’Ukraine n’est pas même cartographiée, alors que le sont l’île de Malte ou le Montenegro
Matraquage médiatique jusqu’à la nausée
Tout est pré-machouillé. Comme le fait remarquer Michel Lebon dans son article « L’innocence est révolue » Chiche !, vous avez le choix entre :
« La Patrie a besoin de vous »
« La menace russe est là »
« L’innocence est révolue »
C’est la liberté de parole à l’européenne.
Un hold-up à plusieurs milliards
La même margintale est installée. Là aussi ce sont des milliards qui seront ponctionnés aux contribuables européens et qui continueront d’alimenter le complexe militaro-industriel — principalement américain — qui a un besoin vital de guerres.
Mais ça ne passe plus !
Pour plusieurs raisons :
• Les États-Unis qui poussaient pour l’injection Covid obligatoire, ne poussent dorénavant plus pour une guerre contre la Russie. L’Europe, toujours soumise à l’État profond américain — que Trump combat — n’a pas eu le temps de réviser son logiciel et reste sur la ligne Biden-Otan qui est bien ancrée à Bruxelles.
• Il était plus facile d’embrouiller les opinions avec des chiffres manipulés de pseudo-malades qu’avec des informations gouvernementales sur les pertes militaires ukrainiennes, malgré les contorsions dialectiques de nos généraux de plateau qui ont perdu tout crédit médiatique.
• Chat échaudé craint l’eau froide :
Les Français ont été échaudés par la gigantesque manipulation Covid, et ont pris conscience de la turpitude de leurs dirigeants. Tous ceux qui ont pu éviter de se faire injecter la potion expérimentale, l’ont fait. Ceux qui l’ont acceptée, l’ont fait sous d’énormes contraintes économiques, puisque les personnes qui refusaient la piqûre étaient licenciées sans indemnités (avec la bienveillance des syndicats, complices de cette opération).
Les personnes injectées n’étaiant pas conscientes des risques qu’elles prenaient, et avaient le sentiment diffus qu’elles ne seraient pas touchées.
La propagande s’est déclinée sur le sentiment de peur, ce qui est bien plus difficile à faire gober à présent puisqu’on parle de guerre. Alors Macron en appelle au… devinez quoi ?… patriotisme ! Là, le bobard est trop gros : Macron qui nous expliquait que les frontières n’existaient plus pour que nous allions nous faire injecter, explique à présent qu’il faut défendre la Patrie et donc ses frontières.
Quel Français a envie de se faire trouer la peau pour l’Ukraine ? ce pays lointain qu’il ne connait pas. Ne parlons même pas des centaines de milliers de jeunes issus de l’immigration, déculturés, déracinés, qui n’ont aucune envie, mais vraiment aucune envie, de se battre pour la France. Et Macron s’imagine qu’ils iront se battre pour l’Ukraine au nom de la Patrie française. De surcroît contre qui ? Contre la Russie qui ne nous a rien fait.
Malgré la censure, tout le monde voit les images de rafles d’Ukrainiens par les milices nazies de Zelinsky pour fabriquer la chair à canon du Pouvoir despotique de Kiev. Ça ne donne pas vraiment envie d’y aller.
Le Nouvel Ordre Mondial promu en France notamment par Jacques Attali avec tant d’opiniâtreté, fait long feu, ce qui ne manque pas de l’agacer.L’apogée, et donc l’amorce du déclin de ce projet de gouvernance mondiale, — dont le siège aurait dû se situer à Jérusalem(1) — fut l’opération Covid.
Philippe Guillemant le montre et le démontre régulièrement. Il a même décrit ce processus dans son livre Le Grand Virage d” l’Humanité, dont nous avions proposé une recension le 14 décembre 2021 : Et si le Covid était un « bon » virus ?
Les Français de souche, ou issus de l’immigration, n’iront pas se battre dans les plaines d’Ukraine pour sauver la place du drôle de complice de Macron. Certes nous aurions pu nous attendre à des critiques fortes de nos nombreux généraux étoilés, qui s’en tiennent pour les plus audacieux d’entre eux à une critique budgétaire.
Nous n’en sommes plus aux critiques budgétaires. Nous en sommes au basculement du vieux monde, pour ne pas dire du « vieux continent ». La Russie a réussi à se sortir de l’URSS. Les États-Unis se dégagent de la main-mise de l’oligarchie financière. La France elle aussi à son tour se libérera de ses démons, si tant est qu’elle y croie un peu.
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