
Louis Sarkozy à bonne école
Louis Sarkozy a réagi à la récente condamnation de son père à la prison ferme. On aurait pu s’attendre à un grand moment de vérité, mais c’était rêver. Quiconque envisage de faire carrière en politique doit savoir mentir comme il respire, ce que nous dénonçons souvent dans nos colonnes.
Louis Sarkozy aurait pu dire : « Je garde une forme d’affection envers mon père, mais je respecte la Justice de la France. Moi qui annonce vouloir combattre l’affairisme et la corruption à Menton, je dois les condamner d’où qu’ils viennent. » Rien de tout cela. Voici son communiqué :
Heureux sont les fils de pères braves, de pères grands, bons, justes et tendres.
— Louis Sarkozy (@napsarkozy) September 25, 2025
Heureux sont les fils d’hommes honnêtes et droits.
Quelle chance d’être français.
Quelle chance d’avoir un tel père.
Continuer, avancer, ne rien lâcher – telle est la nature de son engagement.… pic.twitter.com/08m9Xz6EtP

Heureux sont les fils de pères braves, de pères grands, bons, justes et tendres.
En QUOI Nicolas Sarkozy fut-il « brave » ?
« Grand » ? Sûrement pas, lui qui était complexé de sa petite taille.
« bons, justes et tendres » Si Nicolas Sarkozy était un homme bon, juste et tendre, pourquoi a t‑il divorcé de sa première femme, Marie-Dominique Culioli, mère de Pierre et Jean, puis de Cécilia Ciganer-Albéniz, mère de Louis ?
Heureux sont les fils d’hommes honnêtes et droits.
Nicolas Sarkozy a commis la pire des forfaitures : bafouer une décision populaire en contournant par la voie parlementaire le vote souverain du Peuple (référendum de 2005). Rien que cela méritait une condamnation pour haute trahison.
Toute la vie politique de Nicolas Sarkozy est ponctuée de mensonges permanents et de forfaitures graves. Nous en avons dressé une liste non exhaustive qui serait trop longue à présenter ici, c’est pourquoi nous l’avons présentée dans un document séparé.
Lire également dans nos colonnes : HAUTE TRAHISON Volet 1 : Sarkozy l’Américain du 21 janvier 2025
Quelle chance d’être français.
Louis Sarkozy déclarait en 2019, il n’y a donc pas si longtemps : « Ma vie pour l’instant est aux États-Unis et un retour en France est inenvisageable. Je n’ai aucune volonté politique, je vous l’assure. Mais on en reparle en 2035. »
Il a fait ses études aux Étas-Unis où il envisageait une carrière militaire sous drapeau américain :
Quelle chance d’avoir un tel père.
Son père, le peu qu’il l’a connu, lui a appris à mentir :
Continuer, avancer, ne rien lâcher – telle est la nature de son engagement.
Telle doit être la nature du nôtre.
La politique permet de gagner facilement beaucoup d’argent. Voilà pourquoi mon père s’y est accroché, et moi à mon tour.
C’est bien pour cela que j’ai quitté les États-Unis où cela aurait été beaucoup plus difficile.
Heureux sont les fils de France. Et heureux sont les pères aimés.
« Ce qui me bouleverse, ce n’est pas que tu m’aies menti, c’est que dorénavant je ne pourrai plus te croire.«
Friedrich Nietzsche (1844 – 1900)
Bonus :
Ces éléments, d’une gravité rare, doivent être rappelés à tous ceux qui seraient prompts à se laisser influencer par la propagande de CNews (Bolloré) ou de TF1 (Bouygues), outils de désinformation aux ordres de la bourgeoisie dont Sarkozy est l’ignoble masque.
Politique Intérieure :
• Le Traité de Lisbonne : Refusé par référendum en 2005, le traité constitutionnel européen a été ressuscité sous forme de traité de Lisbonne, ratifié par voie parlementaire en 2008 sans consultation populaire. Sarkozy, alors président, a justifié cette manœuvre comme une “simplification institutionnelle”.
• Ruine d’EDF avec la loi NOME : Adoptée en 2010 sous l’impulsion de François Fillon et Nicolas Sarkozy, la loi sur la Nouvelle Organisation du Marché de l’Électricité (NOME) a imposé à EDF de vendre son électricité nucléaire à bas prix à ses concurrents via l’Arenh (Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique). Ce mécanisme, censé ouvrir le marché à la concurrence européenne, a été critiqué comme une “vente à perte” qui a endetté EDF de milliards d’euros et fragilisé la filière nucléaire française. Des experts estiment que cette loi a coûté à l’État des dizaines de milliards en subventions cachées.
• Immigration choisie : Sous Sarkozy, l’immigration légale a atteint un pic de 250 000 titres de séjour annuels, malgré sa rhétorique de fermeté. Sa loi de 2006 sur “l’immigration choisie” a été un échec, avec seulement 14 % d’immigration professionnelle contre un objectif de 50 %.
• Discrimination positive : Plus provocateur, son discours de 2008 sur le “défi du métissage” – “Ce n’est pas un choix, c’est une obligation” – a annoncé la politique de quotas d’immigrés non-européens dans toutes les sphères de l’État et de la société, expression du multiculturalisme anglo-américain qu’il a voulu imposer en France.
• Mayotte départementalisée : En 2009, Sarkozy a impulsé la départementalisation de Mayotte, effective en 2011, malgré les avertissements sur l’immigration clandestine massive. Résultat : une explosion démographique et des tensions sociales, avec des critiques qualifiant cela d””erreur historique” qui a alourdi les finances publiques sans résoudre les problèmes structurels.
• Théorie du genre à l’Éducation Nationale : En 2011, sous son mandat, des manuels scolaires de SVT ont intégré des chapitres sur le genre, expliquant que l’identité sexuelle est socio-culturelle autant que biologique.
• Fin de la double peine et politique du chiffre à la police : La réforme de 2003, impulsée par Sarkozy comme ministre de l’Intérieur, a limité les expulsions automatiques d’étrangers délinquants, vue comme un laxisme pénal. Parallèlement, sa “politique du chiffre” a poussé les forces de l’ordre à privilégier les statistiques (PV, interpellations) au détriment de la prévention, générant des dysfonctionnements persistants.
• Saccage de l’Hôpital public : Les réformes hospitalières de 2009 (loi HPST) ont renforcé les pouvoirs des directeurs et favorisé les partenariats public-privé, au détriment des soignants. Budgets rognés et fermetures de lits ont été dénoncés comme un “démantèlement” du service public, aggravé par la crise Covid.
• Saisie individuelle du Conseil constitutionnel : Membre de droit du Conseil depuis 2012, Sarkozy a été accusé d’instrumentaliser l’institution pour ses recours personnels, comme en 2013 pour ses comptes de campagne, soulevant des questions d’impartialité.
• Vente de 20 % des réserves d’or : Une Perte de 40 Milliards : En 2004, comme ministre, Sarkozy a vendu 589 tonnes d’or de la Banque de France pour 4,67 milliards d’euros. Avec la flambée du cours de l’or, cette opération a coûté à l’État environ 40 milliards d’euros en valeur actuelle.
• Ouverture à gauche : Sitôt élu sur une ligne de droite dure, Sarközy a ouvert son gouvernement à des figures historique de gauche (le (..) néo-conservateur Bernard Kouchner aux Affaires étrangères, le socialiste libanais Éric Besson à la Prospective) et à des personnalités non blanches ou d’origine immigrée, comme Rachida Dati (Justice), Fadela Amara (politique de subventions des quartiers ethnique), ou Ramatoulaye Wade. Il s’agit d’accélérer le multiculturalisme et la discrimination positive.
• Suppression du crime de haute trahison : La révision constitutionnelle de 2007, sous son impulsion, a remplacé la “haute trahison” par un vague “manquement aux devoirs”, supprimant une protection contre les abus présidentiels et protégeant potentiellement Sarkozy lui-même.
• Maintien des 35 heures et retraite à 60 ans : Malgré ses promesses de “rupture”, Sarkozy n’a pas abrogé les 35 heures (seulement assouplies) ni repoussé immédiatement la retraite à 60 ans (reportée à 62 en 2010, mais maintenue pour les carrières longues), décevant la droite libérale.
• Maintien des Accords d’Évian : Sarkozy a préservé les facilités d’immigration issues des accords de 1962, malgré les appels à leur renégociation, favorisant selon les détracteurs un flux migratoire incontrôlé.
• Enterrement du rapport sur le financement des syndicats de gauche : En novembre 2011, sous son mandat, un rapport parlementaire explosif sur les financements opaques des syndicats (plus de 5 milliards d’euros annuels, avec des abus via les comités d’entreprise et des publicités suspectes) a été rejeté et “enterré” par l’Assemblée, malgré six mois de travail et 45 auditions. Cette décision, prise à la veille des élections présidentielles de 2012, visait à se concilier la gauche syndicale en vue de la réélection de Sarközy.
• Déclarations de Carla Bruni sur le “sang pourri” des Français : En 2010, Carla Bruni, épouse de Sarkozy, évoque “le vieux sang pourri” qui coule dans les veines des Français, en référence à leur supposée frilosité face à l’immigration et à la diversité raciale.
• Constructions de mosquées : En 2006, le rapport Machelon, commandé par Sarkozy, ministre de l’intérieur, a autorisé les subventions communales aux lieux de culte, contournant la loi de 1905. Cela a accéléré la construction de mosquées (près de 2 500 en 2012), souvent financées par des fonds qataris, via des baux emphytéotiques à 1 euro/an.
• Débat truqué sur l’identité nationale : Lancé en novembre 2009 par Éric Besson, ministre de l’Immigration, le “grand débat sur l’identité nationale” visait à répondre aux préoccupations des électeurs de droite sur l’immigration. Présenté comme une réflexion ouverte, il a rapidement été repris en mains par le pouvoir. Les 150 réunions publiques, souvent encadrées par des préfets, ont éludé les questions sensibles comme l’immigration massive ou l’influence de l’islam, se concentrant sur des thèmes abstraits comme la “République” ou la “laïcité”. En février 2010, le débat s’est conclu par une célébration irénique des valeurs de la gauche républicaine, avec des propositions vagues (hymne national à l’école, drapeau tricolore).
• Collusion pour un demi milliard d’euros avec Bernard Tapie : En 2007, alors président, Sarkozy a influencé la décision de recourir à un arbitrage privé plutôt qu’à une procédure judiciaire classique pour régler le différend entre Tapie et le Consortium de Réalisation (CDR), entité publique gérant les dettes du Crédit Lyonnais. Cette décision a été prise par la ministre de l’Économie, la (..) Christine Lagarde, sous son mandat. En 2015, la cour d’appel de Paris a annulé l’arbitrage, jugeant qu’il était entaché de fraude. Tapie a été condamné à rembourser les 403 millions d’euros. Sarközy, bien que non directement condamné dans cette affaire, a été mis en cause pour son influence. Christine Lagarde, jugée pour “négligence”, a été reconnue coupable en 2016 mais dispensée de peine.
Politique Étrangère :
• Néoconservatisme et Soumission à l’OTAN : Sarkozy s’est distingué par un atlantisme fanatique, rompant avec la tradition d’indépendance française.
• Destruction de la Libye : Après avoir permis à Mouammar Kadhafi de poser sa tente à l’Élysée, Sarkozy, en 2011, a initié l’intervention de l’OTAN en Libye pour abattre un État jugé hostile à “Israël”. Soutenu par BHL, il a contribué à la chute de Kadhafi grâce à des milices djihadistes, laissant un chaos de grande ampleur s’installer, ouvrant un corridor migratoire béant qui n’a toujours pas été refermé. Cette guerre a entraîné la percée djihadiste dans le Sahel, notamment au Mali, qui a culminé avec le retrait en catastrophe des troupes françaises de toute l’Afrique de l’Ouest.
• Revirements en Syrie : Après avoir réhabilité Bachar al-Assad en 2008 (invité au 14 juillet), Sarkozy a pivoté en 2011, appelant à une intervention militaire en 2012, sans aval de l’ONU.
• Alignement sur “Israël” : Son discours à la Knesset en 2008 et ses condamnations de l’Iran ont marqué un soutien inconditionnel à l’entité sioniste, rompant avec l’équilibre traditionnel français au Proche-Orient.
• Réintégration dans l’OTAN : En 2009, Sarkozy a ramené la France dans le commandement intégré de l’OTAN, abandonnant 43 ans d’exception gaulliste, le mouvement politique dont il provient. Pro-guerre et pro-OTAN, il a aligné Paris sur Washington, au détriment d’une défense française et européenne autonome.
• Corruption qatarie : Sarkozy a favorisé l’influence islamo-qatarie en France via des investissements (PSG, Rafale) et une convention fiscale de 2008 exonérant les capitaux qataris. En contrepartie, le Qatar a financé son divorce avec la (..) Cécilia Cziganer Albeniz, mère de Louis Cziganer Albeniz Sarközy (3 millions d’euros via une sur-rançon pour les infirmières bulgares en 2007). Les enquêtes sur le Mondial 2022, attribué au Qatar, pointent un “pacte de corruption” lors d’un déjeuner élyséen en 2010, impliquant Sarkozy, Platini et l’émir du Qatar. Cette collusion culmine avec la guerre en Syrie, le Qatar voulant renverser Bachar Al Assad pour installer un pouvoir islamiste à Damas et faire transiter son gaz par le territoire syrien conquis avec l’aide de l’OTAN et de la France.
Exemplaire et honnête ? Le coup du falzar au Bédouin, Mr Mouhamar KADHAFI, est impardonnable !!! Une grosse partie de la France et de ses ancêtres, ont été salis et ridiculisés mondialement et irréversiblement, afin de payer des élections électorales + subsides … à monsieur, sa secte et sa clique d’initié(e)s ! Pour finalement, engendrer la chienlit en Syrie, en plus d’assassiner SALEMENT, le généreux mécène ! C’est pas 1 DOL à vomir, sous faux drapeau, là aussi ?!… Quand on connait la constance et suite, jusqu’à ce jour !
« La mangue ! Jamais mangé un fruit avec un tel goût ».…. « Marc Aurèle, tellement incroyable que c’en est à peine croyable ».…
Quand on dit que le QI général a baissé, inférieur au 100 de base, c’est tellement incroyable que c’en est à peine croyable !