Le feuilleton du « vaccin » AstraZeneca
À l’automne 2020, les premiers doutes au sujet du « vaccin » AstraZeneca naissent de déclarations hésitantes de la part de son fabricant lui-même. AstraZeneca affirme d’abord que son vaccin (à vecteur viral) est efficace à 62%. C’est nettement moins bien que les 94,5% revendiqués par Pfizer le premier concurrent.
Puis fin novembre, première erreur, cette efficacité s’élèverait en fait à 90% pour les participants ayant reçu par erreur une demi-dose, puis une dose complète à un mois d’intervalle. Ces tâtonnements lui feront perdre la tête de la course, il sera le troisième à être autorisé dans l’Union européenne le 29 janvier 2021, un mois après celui de Pfizer, et trois semaines après celui de Moderna.
C’est alors que l’European Medecines Agency (EMA) le crédite que de 60% d’efficacité ! L’Allemagne, puis la France, via un avis de la Haute Autorité de Santé (HAS) le 2 février, le déconseillent pour les plus de 65 ans, faute de données jugées suffisantes. Il lui reste cependant de bons atouts : sa facilité de conservation et surtout son prix : 1,78 euro la dose, contre 12 euros pour le vaccin de Pfizer et 14,60 euros pour celui de Moderna d’après les services belges de santé.
C’est l’Écosse qui va tenter une première fois de réhabiliter la potion d’AstraZeneca en sortant une étude en prépublication, portant sur la vaccination à vaste échelle de plus de 5 millions d’Écossais. Selon ces travaux, le vaccin AstraZeneca se montre plus efficace encore que celui de Pfizer contre les formes graves du Covid-19 entraînant une hospitalisation : « À plus de 90% » !
Une même étude menée au Royaume Uni confirme celle faite en Écosse.
Aussi, le 2 mars, la Haute Autorité de Santé élargit sa recommandation vaccinale d’AstraZeneca aux personnes âgées de 65 à 74 ans.
Pourtant, parmi les 600 000 doses distribuées aux établissements de santé, seul un quart a fait l’objet d’une injection, le reste dormant dans les frigos.
Olivier Véran, en franc chevalier, ira donc se faire vacciner devant une multitude de caméras pour donner l’exemple le 8 février.
La cause de la méfiance viendrait d’une quantité non négligeable d’effets indésirables déclarés, et que la presse commence à dévoiler. À Rouen par exemple, un tiers des soignants vaccinés a ressenti des symptômes grippaux. De plus, certains soignants se plaignent que les médecins, eux, ne se font pas vacciner avec l’AstraZeneca, mais avec le Pfizer… d’où quelques soupçons.
Toutes ces doses inutilisées persuadent Macron de ne pas reconfiner « Vous êtes gentils, mais tant que vous avez des vaccins dans les frigos, je ne reconfinerai pas les gens », aurait-il déclaré lors du Conseil de défense sanitaire du 3 mars. Les ministres concernés ont donc pour consigne de valoriser le vaccin et de persuader le personnel de se faire vacciner : le vaccin est sûr, et les effets indésirables disparaissent avec du paracétamol !
Et puis, le 25 février, les médecins généralistes sont autorisés à injecter des doses d’AstraZeneca à leurs patients âgés de 50 à 74 ans, ce qui fait enfin décoller les ventes. On procède alors comme dans le commerce, avec des journées vaccinations organisées dans certaines villes, on met le paquet.Nice-Matin fait alors la promotion pathétique du laboratoire suédo-britannique :Mais… les livraisons ne suivent pas. En avril, seules 25% des 9,2 millions de doses prévues au départ seront livrées à la France, personne ne pouvant dire où sont passées les doses promises. La Commission Européenne est impuissante pour régler le problème…
Le jeudi 11 mars c’est le coup de tonnerre : le Danemark, suivi par la Norvège et l’Islande, suspendent le vaccin. Décision prise après des cas graves de formation de caillots sanguins chez des personnes vaccinées.
Le 15 mars, après l’Autriche, l’Italie, et les Pays-Bas, l’Allemagne, prend la même décision après des cas de thromboses veineuses cérébrales. Macron, malgré les déclarations de son premier ministre la veille assurant toute la confiance dans le vaccin, décide également de le retirer « par précaution ».
Le 17 mars, le feuilleton continue avec l’autorisation renouvelée d’utiliser le vaccin AstraZeneca, mais pas en-dessous de 55 ans.
Le premier ministre donne l’exemple hier vendredi. Suspendu pendant deux jours, le vaccin britannico-suédois fait son retour sur le territoire français, mais les doses continuent de manquer. L’UE menace aujourd’hui de bloquer les exportations si les livraisons prévues ne sont pas effectuées…
On rirait de ce feuilleton tragi-comique s’il n’y avait pas d’affaires de gros sous et s’il n’y avait des vies en jeu.
Patrice LEMAÎTRE
Quelle arnaque ces vaccins qui sont en phase d’essais et donc pas sûrs du tout, on prend le peuple pour des cobayes pour un virus dont on sait maintenant qu’il se soigne avec des nombreuses anciennes molécules comme le chloroquine, l’ivermectrine, qui font chuter la « charge virale » en 5 jours combinés à un antibiotique cela évite d’envoyer les malades en réa, il y a aussi certains anti-dépresseurs et d’autres molécules encore, tout ça est reconnu dans une étude française, il faut laisser les médecins soigner et que l’agence du médicament donne les recommandations pour ces molécules, donc prendre le risque de vacciner est pour moi uniquement parce que le pouvoir de lobby des labos et donc du monde de la finance influence énormément nos politiques, il faut faire une loi pour stopper ces conflits d’intérêts qui pourrissent notre pseudo démocratie.