Pub : propagande et culture « woke »
Dans ces colonnes, un récent article de Massimo Luce, La propagande LGBT se déchaîne, évoquait ces « pubs » envahissantes qui nous imposent et la diversité – voire le métissage – et l’homosexualité pour vanter n’importe quel produit, depuis les jouets pour enfants jusqu’aux automobiles en passant par les services. Il paraît que la publicité se doit d’être le reflet des grandes tendances des « évolutions sociétales », comme il est convenu de dire. Mais la publicité va surtout où on lui dit d’aller.
En fait, les annonceurs n’ont pas vraiment le choix
S’ils veulent s’assurer le meilleur impact, il leur faut passer par les grands médias de l’audiovisuel et là, le cahier des charges est quasiment imposé. Surtout s’il s’agit de l’audiovisuel public qui se sert des encarts publicitaires pour assurer la propagande bien-pensante de l’oligarchie. Les annonceurs suivent dons les recommandations des diffuseurs. Ainsi subissons nous les mêmes prescriptions dans tous les spots télé dont les messages uniformisés illustrent bien ce chantage au Politiquement Correct.
D’abord, la castration du mâle : celui-ci est systématiquement présenté s’occupant des enfants, faisant la cuisine, le ménage, le repassage… tandis que la femme bricole, aime conduire des voitures puissantes et a remplacé le plombier qui venait réparer le lave-linge. Bon, ce n’est pas le plus grave ; nous dirons même que c’est aussi bien comme ça. Notons quand-même que cette évolution a entraîné la quasi disparition des publicités pour les rasoirs et autres après-rasages. Sans doute aussi parce que la mode est aujourd’hui au port de la barbe. Nous allons y revenir.
Ce qui est plus préoccupant, c’est l’invasion des « représentants de la diversité » dans les spots où la blanchitude exclusive a été bannie. On n’y voit plus que d’improbables familles avec des enfants métis tout bouclés où les pères sont systématiquement barbus – vision prophétique d’un futur proche ? -. Ceci ajoute au fait que les pubs pour les produits de rasage sont devenues superflues. Et, bien sûr, dans ces familles, on ne mange pas de cochon ! D’ailleurs, les publicités vantant les produits charcutiers ont totalement disparu des écrans. Où sont passés les spots pour le célèbre saucisson Cochonou, les illustres rillettes Bordeaux-Chesnel, le réputé jambon Madrange, tant apprécié de Liane Foly, Véronique Genest et Bernard Laporte, ou encore les produits de la marque Olida ? À la trappe ! Dame, il ne faut pas heurter certaines sensibilités.
Tout aussi inquiétant, la disparition de spots où la religion chrétienne transparaissait : exit les moines chantant un fameux fromage, exit le curé débonnaire à l’accent chantant recommandant au seigneur une certaine marque de pâtes… En revanche, on voit apparaître sur TF1, M6 et la TNT des publicités pour les produits halal de la marque Zakia Halal, filiale du groupe Panzani.
Le grand remplacement est partout !
Enfin, moins inquiétant – quoique – mais particulièrement exaspérant : de plus en plus de pubs font l’apologie de l’homosexualité. Massimo Luce en a relevé quelques uns des plus récents. Il aurait pu mentionner aussi ce spot où deux jeunes filles se meublent en coloc et s’embrassent sur le lit ou encore celui de Leroy-Merlin,
ou bien encore celui de la Maif,
celui de Chanel, etc.
On notera cependant sur ces extraits que cette tendance ne met en scène que des individus blancs. Tiens donc ? Pourquoi certaines communautés, qui se plaignent de discriminations, ne seraient-elles pas associées à cette exposition moderniste des relations sociales ? Et bien non ! Le décadent, c’est réservé aux blancs.
C’est la fameuse culture « woke » qui vient des USA et nous inonde à grandes vagues.
Charles André
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
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