Allez Marlène, encore un petit effort
J’écrivais ici même le 25 novembre dernier : « …lutter contre la violence faite aux femmes induit de lutter contre l’immigration exogène massive. Mais allez faire comprendre cela à Mme Schiappa ! » (lire Manif contre les violences faites aux femmes ? Ou manif contre l’homme (blanc de préférence!) ?) Et bien il faut croire que la ministre a enfin lu mon article et s’en est inspirée puisque, répondant aux critiques émises par des féministes, elle a déclaré qu”« un étranger coupable de violences sexuelles et sexistes doit cesser d’être accueilli en France. »
Dans son langage familier et fleuri, elle a tout simplement expliqué que selon elle : « Si la maison de votre voisin s’écroule, vous l’accueillez chez vous, vous lui dites de venir. Par contre si le voisin que vous avez accueilli commence à tabasser votre sœur, bah là vous le foutez dehors. » Dans le fond, que du bon sens.
Mais c’en est trop pour d’autres égéries, car à féministe… féministe et demie. Les Caroline de Haas, Fatima Benomar ou encore Laurence de Cock ulcérées d’un tel langage l’ont accusée bien sûr de faire le jeu de l’extrême drouate, et de devenir « fémo-nationaliste » [ ? ]. On ne voit pas très bien ce que le nationalisme vient faire ici, mais demander un peu de connaissance politique à une féministe de cette trempe, c’est déjà beaucoup.
Notre Marlène (j’allais dire nationale !) ne s’en est pas laissé compter et a renvoyé ses critiques à leur place ironiquement en assurant qu’il fallait respecter les engagements pris. Pour bien faire comprendre les propos de Mme Schiappa — pour l’instant ce ne sont que des boutades—, je reprends ce que j’écrivais il y a moins d’un an :
Il suffit pourtant de regarder autour de soi. Et si on ne sort pas, il suffit de lire les résultats d’une enquête datant de 2016, parue dans le quotidien 20 Minutes, pour mieux comprendre le phénomène. Selon ce sondage : dans 52 % des cas l’agresseur est de nationalité étrangère.
Ajoutons à cela, les Français de papier d’origine extra-européenne, imprégnés d’une culture où la femme est bafouée et le taux devient tout bonnement délirant : 70, 80, peut-être même 90% des violeurs seraient étrangers ou d’origines étrangères.
Portrait-robot du violeur type : c’est un étranger de 34 ans
C’est la police qui le dit ! En effet, les 322 agresseurs identifiés par la police (en 2016) sont tous des hommes (pour les agressions sur majeurs), et âgés en moyenne de 34 ans. Plus de la moitié d’entre eux sont de nationalité étrangère (52 %) et 44 % sont sans emploi, rapporte toujours le quotidien 20 Minutes. 48 % d’entre eux étaient connus des services de police, dont 20 % pour des infractions sexuelles. Dans cette logique, lutter contre la violence faite aux femmes induit de lutter contre l’immigration exogène massive.
Mme Schiappa semble l’avoir enfin compris ! Et c’est tant mieux. Il lui reste maintenant à réfléchir à la peine à donner à ceux et celles qui ont œuvré pour que ces gens-là entrent « dans notre maison pour tabasser nos sœurs » selon sa propre expression. Et là, elle aura vraiment tout compris.
Patrice LEMAÎTRE
Nous sommes dans la République des Juges. Ce sont eux qui jugent les lois. Il ne faut pas expulser les délinquants, même les immigrés illégaux, ce sont les matières premières de leur activité. Plus ils font du chiffre, plus ils demandent des moyens financiers.
Leur grande maxime : « L’INDÉPENDANCE de la JUSTICE ».
Ne les critiquez pas trop, vous risquez d’être inculpé pour outrage à magistrat.
Ils ne sont pas des élus.
À quand un contre-pouvoir qui leur impose d’appliquer les lois sans les interpréter à leur façon ?
Heureusement que, grâce à la Police, on dispose quand-même de quelques données statistiques…