Pfizer, faux vaccin mais vrais risques
Le « vaccin » Pfizer n’est pas un vaccin
Pas au sens originel du moins. Encore moins au sens pastorien. Il n’inocule pas une forme affaiblie d’un virus naturel pour stimuler les réactions immunitaires dédiées du patient. Il s’agit de l’introduction d’ARN messager, cette opération possédant les plus grandes chances de modifier à terme l’ADN du corps qui le reçoit. De surcroît il semble bien que la chaîne du virus COVID-19 n’existe pas à l’état de nature. Il apparaît des morceaux de séquence créés en laboratoire. On est donc très loin de l’esprit et de la lettre du vaccin.
Le « vaccin » Pfizer n’est pas non plus un médicament
Il n’a pas suivi le protocole d’essais cliniques afférent à cette qualification. On en est même tout juste à la moitié du parcours médico-administratif. Dans la précipitation due à la course effrénée pour l’occupation du marché en premier, la phase III débute à peine. Ce sont d’ailleurs les vaccinés d’aujourd’hui qui vont servir de sujets d’expérimentation pour cette phase. Il n’est pas certain que les braves gens qui sont piqués en ce moment en soient conscients. Il est peu probable qu’ils aient été clairement informés et ensuite soient demeurés volontaires, avec consentement éclairé. La déontologie est tout aussi bafouée que le protocole médical et scientifique. Pas de phase IV, forcément. Encore moins de premiers éléments de pharmacovigilance.
Ni vaccin ni médicament à ce stade, le « vaccin » Pfizer ne possède pas non plus d’antécédent connu en termes d’expérimentation sur l’homme (Pr Christian Perronne : « Moderna, Pfizer, ce ne sont pas des vaccins, c’est de la thérapie génique », 1 million 600 000 vues en quelques jours). Ni même de façon concluante sur l’animal. Le seul précédent, ce sont les OGM en culture. Avec toutes les réserves éthiques et sanitaires que l’on peut émettre.
Il reste par conséquent hasardeux, le mot est peut-être faible, de :
• « Vacciner » des personnes jeunes, soit en-dessous de 65 ans au sens couramment employé pour l’épidémie COVID-19. Ces personnes, pour la plus grande part, sont saines. Et celles qui par hypothèse auraient contracté le virus de toutes façons auraient ipso facto développé naturellement les défenses immunitaires adéquates.
• Modifier potentiellement, sans recul sur la courte ou moyenne – et encore moins longue – période l’ADN des « vaccinés ». C’est un jeu d’apprenti-sorcier, sans le moindre recul chronologique.
• Prendre le risque de hâter la fin de vie des plus de 65 ans,
• soit parce qu’ils étaient épargnés par le virus jusqu’à présent,
• soit parce que atteints par ce virus leur vie n’était pas en danger jusqu’à maintenant,
• soit parce que – virussés ou non à la date de « vaccination » – avec l’inoculation du « vaccin » ils risquent fort de développer des réactions immunitaires trop fortes, ou – pire – collatérales, qui à leur âge leur seront fatales.
Sauf à ce que l’objectif soit de hâter le confort des familles qui ont à s’occuper de vieux, de libérer des places en EHPAD, de donner un peu d’air financier aux régimes de retraite, d’éliminer prématurément une catégorie d’âge qui vote rarement pour le progressisme débridé, d’avancer suffisamment de successions pour que cette transmission de patrimoines dope la consommation, les générations plus jeunes présentant un taux d’épargne moyen ou marginal nettement inférieur à ceux de leur aînés. Et une propension à consommer supérieure.
Mais si c’étaient ces derniers objectifs qui constituaient les véritables fins des mesures prônées par les diverses autorités publiques et privées, rabâchées par les médias, alors on serait loin des préoccupations sanitaires alléguées et des soucis affichés de santé publique… Et beaucoup plus proches d’une vision cynique et lamentable des autorités, aveuglées qu’elles seraient par le matérialisme et l’immédiateté.
Il existerait bien, cependant, une phase de tests intéressante, même si statistiquement la population concernée n’est ni nombreuse ni représentative.
Parallèlement le PDG de Pfizer lui-même, Albert Bourla, attend pour se faire vacciner. Il allègue qu’il ne voudrait pas donner l’impression de « couper la file », car il ne fait pas partie selon lui des publics prioritaires. Il considère en effet qu’il est « jeune (59 ans) et en bonne santé ». On reste confondu devant une telle abnégation de sa part. Ou du moins un tel niveau d’altruisme.
Marc Desgorces-Roumilhac
Oui, ce n’est pas un vaccin. C’est un cheval de Troie, c’est à dire l’exact contraire d’un vaccin.
Ce cheval de Troie va ouvrir la voie à de multiples infections. Comme les comploteurs détiennent tous les médias ce sera la faute de « variants ». Nous devrons donc nous faire « vacciner » à nouveau. Bref un crime parfait !
Quelle honte, on ne nous dit pas tout. C’est qui les dindons de la farce ?
Votre vision de la réalité est dure ! mais votre humour est arrivé à me faire sourire 😀
Il est clair que ce pseudo-vaccin a une vocation eugéniste. Il élimine d’abord les vieux inutiles et coûteux, comme nous l’explique Jacques Attali, puis les personnes vulnérables (c’est écrit noir sur blanc dans les consignes de santé publique). Ça va faire un premier tri à court terme.
Puis on va vacciner tous les veaux qui en redemandent et se précipitent pour aller à l’abattoir. Cela les éliminera également à moyen terme. Mais qui s’en plaindra ? Puisque la sélection naturelle ne fonctionne plus, « ils » ont inventé la sélection vaccinale.
Alors les veaux : allez y ! Patientez un peu : il y en aura pour tout le monde !
L’objectif serait de réduire la population à 0,5 milliard d’individus sur Terre. De plus les survivants, hors l’Élite au pouvoir, seront quasiment des esclaves.