Rappel : Tous devant nos monuments aux Morts ce mardi 11 mai !

11 mai 2021 | 2 Commentaires 

Nous relayions le ven­dre­di 7 mai l’ap­pel de Place d’Armes à un regrou­pe­ment de fer­veur le mar­di 11 mai à 18 heures devant nos monu­ments aux Morts.

C’est aujourd’­hui !

Au moment où des mil­lions de Français se demandent ce qu’ils peuvent faire pour enrayer leur des­cente aux enfers, voi­ci une manière d’a­gir digne­ment, sans esprit par­ti­san, avec pour seul point com­mun : la défense de la France.

Rappel des organisateurs :

Se réunir avec ou sans gerbe (sim­ple­ment des fleurs)
Porter si pos­sible insignes et bérets
Lire le ou les dis­cours pré­sen­té ci-des­sous
Ne pas oublier de fina­li­ser les contacts avec les per­sonnes pré­sentes
Faire par­ve­nir un retour de vos ren­contres (pho­tos ou compte-ren­dus succincts)

Nice Provence Info s’é­tait pro­po­sé de publier toutes les pho­tos de ces ras­sem­ble­ments que nous rece­vrons.
Les orga­ni­sa­teurs ont repris cette — bonne — idée ! Faites comme vous vou­lez ! Envoyez nous vos pho­tos :
• à l’a­dresse redaction@nice-provence.info
• sur notre page face­book.
ou bien envoyez les à Place d’Armes.

Encore une fois : humi­li­té, uni­té.

L’objectif de ces ras­sem­ble­ments est de faire com­prendre à nos diri­geants qu’ils ne peuvent effa­cer notre Histoire, qu’ils ne peuvent oublier le sacri­fice de mil­lions de Français qui ont façon­né notre Patrie au fil des siècles.

N’hésitez pas à vous rendre ce soir devant votre monu­ment aux Morts. Vous êtes tout seul ? Et alors ! Vous pour­rez en être fier. Mais c’est mieux si vous êtes nombreux.

Vous trou­ve­rez ci-des­sous les trois lettres qui ont été envoyées par les mili­taires à nos auto­ri­tés. L’une ou l’autre pour­ront être pro­non­cées lors de la cérémonie :

Lettre de Place d’Armes

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gou­ver­ne­ment,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,

L’heure est grave, la France est en péril, plu­sieurs dan­gers mor­tels la menacent. Nous qui, même à la retraite, res­tons des sol­dats de France, ne pou­vons, dans les cir­cons­tances actuelles, demeu­rer indif­fé­rents au sort de notre beau pays.

Nos dra­peaux tri­co­lores ne sont pas sim­ple­ment un mor­ceau d’étoffe, ils sym­bo­lisent la tra­di­tion, à tra­vers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs cou­leurs de peau ou leurs confes­sions, ont ser­vi la France et ont don­né leur vie pour elle. Sur ces dra­peaux, nous trou­vons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre hon­neur aujourd’hui tient dans la dénon­cia­tion du déli­te­ment qui frappe notre patrie.

– Délitement qui, à tra­vers un cer­tain anti­ra­cisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les com­mu­nau­tés. Aujourd’hui, cer­tains parlent de racia­lisme, d’indigénisme et de théo­ries déco­lo­niales, mais à tra­vers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces par­ti­sans hai­neux et fana­tiques. Ils méprisent notre pays, ses tra­di­tions, sa culture, et veulent le voir se dis­soudre en lui arra­chant son pas­sé et son his­toire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de sta­tues, à d’anciennes gloires mili­taires et civiles en ana­ly­sant des pro­pos vieux de plu­sieurs siècles.

– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de ban­lieue, entraîne le déta­che­ment de mul­tiples par­celles de la nation pour les trans­for­mer en ter­ri­toires sou­mis à des dogmes contraires à notre consti­tu­tion. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est par­tout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exis­ter aucune ville, aucun quar­tier où les lois de la République ne s’appliquent pas.

– Délitement, car la haine prend le pas sur la fra­ter­ni­té lors de mani­fes­ta­tions où le pou­voir uti­lise les forces de l’ordre comme agents sup­plé­tifs et boucs émis­saires face à des Français en gilets jaunes expri­mant leurs déses­poirs. Ceci alors que des indi­vi­dus infil­trés et enca­gou­lés sac­cagent des com­merces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces der­nières ne font qu’appliquer les direc­tives, par­fois contra­dic­toires, don­nées par vous, gouvernants.

Les périls montent, la vio­lence s’accroît de jour en jour. Qui aurait pré­dit il y a dix ans qu’un pro­fes­seur serait un jour déca­pi­té à la sor­tie de son col­lège ? Or, nous, ser­vi­teurs de la Nation, qui avons tou­jours été prêts à mettre notre peau au bout de notre enga­ge­ment – comme l’exigeait notre état mili­taire, ne pou­vons être devant de tels agis­se­ments des spec­ta­teurs passifs.

Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impé­ra­ti­ve­ment trou­ver le cou­rage néces­saire à l’éradication de ces dan­gers. Pour cela, il suf­fit sou­vent d’appliquer sans fai­blesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majo­ri­té de nos conci­toyens est excé­dée par vos lou­voie­ments et vos silences coupables.

Comme le disait le car­di­nal Mercier, pri­mat de Belgique : « Quand la pru­dence est par­tout, le cou­rage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le tra­vail est colos­sal ; ne per­dez pas de temps et sachez que nous sommes dis­po­sés à sou­te­nir les poli­tiques qui pren­dront en consi­dé­ra­tion la sau­ve­garde de la nation.

Par contre, si rien n’est entre­pris, le laxisme conti­nue­ra à se répandre inexo­ra­ble­ment dans la socié­té, pro­vo­quant au final une explo­sion et l’intervention de nos cama­rades d’active dans une mis­sion périlleuse de pro­tec­tion de nos valeurs civi­li­sa­tion­nelles et de sau­ve­garde de nos com­pa­triotes sur le ter­ri­toire national.

On le voit, il n’est plus temps de ter­gi­ver­ser, sinon, demain la guerre civile met­tra un terme à ce chaos crois­sant, et les morts, dont vous por­te­rez la res­pon­sa­bi­li­té, se comp­te­ront par milliers.

Capitaine Jean-Pierre FABRE – BERNADAC
Ancien offi­cier de l’Armée de Terre et de la Gendarmerie, auteur de 9 ouvrages

Contre-lettre

Voici sans esprit de polé­mique l’opinion émise à titre per­son­nel par un groupe de citoyens qui ont en com­mun d’avoir ser­vi à une période active de leur vie comme offi­ciers dans l’une des trois Armées. C’est à ce titre qu’ils par­tagent une inquié­tude concer­nant le pré­sent et l’avenir de la France qu’à terme plus ou moins rap­pro­ché ils lègue­ront à leur descendance.

Ce fai­sant aucun ne reven­dique pour autant la repré­sen­ta­tion de l’opinion des mili­taires d’active ni ne sug­gère un quel­conque enga­ge­ment de la part de ces der­niers, eux qui sont dédiés à ser­vir acti­ve­ment et sou­vent au péril de leur vie leur nation consi­dé­rée comme un tout.

L’heure est grave, la France est en péril, plu­sieurs dan­gers mor­tels la menacent.”
(…)
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impé­ra­ti­ve­ment trou­ver le cou­rage néces­saire à l’éradication de ces dan­gers. Pour cela, il suf­fit sou­vent d’appliquer sans fai­blesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majo­ri­té de nos conci­toyens est excé­dée par vos lou­voie­ments et vos silences cou­pables.”

Ces mili­taires font un constat que l’on ne peut que par­ta­ger dans sa géné­ra­li­té mais appa­rait plus dis­cu­table quand on en vient au choix plus pré­cis des dits dangers.Quant à la solu­tion pour éra­di­quer le grand péril, il appa­rait n’être qu’un vœu pieux.

En effet quand on veut soi­gner un mal il convient de dis­tin­guer les symp­tômes et la racine du mal pro­pre­ment dite et donc de dis­tin­guer le trai­te­ment de confort comme disent les méde­cins du trai­te­ment cura­tif. Ils sont com­plé­men­taires. Le pre­mier sans le second est inopé­rant et, le plus sou­vent, le second n’est pas humai­ne­ment sup­por­table sans l’apport du premier.

C’est dans cette approche que réside notre désac­cord car si nous par­ta­geons la défi­ni­tion de ces dan­gers ils nous appa­raissent comme les simples symp­tômes d’un mal plus pro­fond à la racine duquel il convient de s’attaquer si l’on veut que la France sur­vive. N’est-il pas illu­soire de deman­der à ceux qui ins­til­lent le poi­son de façon pro­ba­ble­ment consciente et sans doute en toute sin­cé­ri­té de bien vou­loir chan­ger de seringue pour nous ins­til­ler le contre-poison ?

Dans sa grande majo­ri­té la classe poli­tique de notre pays ser­vie par un sys­tème par­le­men­taire plus que sécu­laire a été depuis des décen­nies dévoyée par la haute finance qui détient les cor­dons de la bourse et la maî­trise des grands médias et qui décide donc de qui sera ou non élu, ser­vie en cela par toutes sortes de relais que sont par­mi d’autres Bilderberg, Davos, le CRIF et les fratries.

Cette classe poli­tique que Jean Pierre Chevènement alors lucide avait qua­li­fiée de pareille-au-même, ser­vie par une admi­nis­tra­tion solide et défé­rente, n’est là que pour faire exé­cu­ter les dic­tats de ceux qui détiennent le pou­voir c’est à dire la haute finance, dic­tats relayés par l’organisation de la com­mu­nau­té euro­péenne com­po­sée de plus de 25000 fonc­tion­naires qui n’ont été élus par per­sonne mais sont inves­tis de l’autorité que leur confèrent les traités.

Alors qu’il s’agisse d’immigration, de déli­te­ment de la nation et de la mul­ti­pli­ca­tion des zones de non-droit, de vio­lence et de mon­tée de la haine entre com­mu­nau­tés, la classe poli­tique aux manettes ne fait que suivre la feuille de route qui lui est dic­tée devant abou­tir à la des­truc­tion de la nation très ancienne que nous sommes, obs­tacle sym­bo­lique au mon­dia­lisme mon­tant qu’il convient de faire disparaître.

Ce qui met mor­tel­le­ment en péril la France, c’est tout sim­ple­ment le libé­ra­lisme effré­né qui est ins­crit dans le marbre des trai­tés dits euro­péens se tra­dui­sant par la dés­in­dus­tria­li­sa­tion du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du glo­bish par les médias, la publi­ci­té enva­his­sante et …le chef de l’Etat lui-même, c’est aus­si la des­truc­tion de l’outil de l’énergie nucléaire et la poli­tique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occa­sion, c’est encore le déli­te­ment de l’éducation natio­nale et de la poli­tique de san­té publique, c’est enfin la mise en rési­dence sur­veillée de 66 mil­lions de Français avec port obli­ga­toire de la muselière.

C’est tout cela que sou­ligne notre ser­vile ali­gne­ment sur la doc­trine poli­tique et mili­taire anglo-saxonne que concré­tisent notre appar­te­nance à l’OTAN et notre sou­ve­rai­ne­té perdue.

Chers cama­rades mili­taires voi­là ce que nous pen­sons être de notre devoir de vous répondre.

Votre appel parle à juste titre de gilets jaunes. Et si c’était la voie qui per­mette enfin d’attaquer le mal à la racine tout en appli­quant les mesures que vous pré­co­ni­sez pour le trai­te­ment de confort dont notre nation res­sent un très urgent besoin ?

Rappelons cette brève cita­tion du alors Président Charles De Gaulle : « Les Français ont besoin d’un pro­jet ». En aucun cas d’une guerre civile.

Tribune des militaires d’active

Monsieur le Président de la République,
Mesdames et Messieurs les ministres, par­le­men­taires, offi­ciers géné­raux, en vos grades et qualités,

On ne chante plus le sep­tième cou­plet de la Marseillaise, dit « cou­plet des enfants ». Il est pour­tant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :

« Nous entre­rons dans la car­rière
Quand nos aînés n’y seront plus.
Nous y trou­ve­rons leur pous­sière,
Et la trace de leurs ver­tus.
Bien moins jaloux de leur sur­vivre
Que de par­ta­ger leur cer­cueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les ven­ger ou de les suivre »

Nos aînés, ce sont des com­bat­tants qui ont méri­té qu’on les res­pecte. Ce sont par exemple les vieux sol­dats dont vous avez pié­ti­né l’honneur ces der­nières semaines. Ce sont ces mil­liers de ser­vi­teurs de la France, signa­taires d’une tri­bune de simple bon sens, des sol­dats qui ont don­né leurs plus belles années pour défendre notre liber­té, obéis­sant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos res­tric­tions bud­gé­taires, que vous avez salis alors que le peuple de France les sou­te­nait.
Ces gens qui ont lut­té contre tous les enne­mis de la France, vous les avez trai­tés de fac­tieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleu­rer sa visible déchéance.

Dans ces condi­tions, c’est à nous, qui sommes récem­ment entrés dans la car­rière, d’entrer dans l’arène pour avoir sim­ple­ment l’honneur d’y dire la vérité.

Nous sommes de ce que les jour­naux ont nom­mé « la géné­ra­tion du feu ». Hommes et femmes, mili­taires en acti­vi­té, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sen­si­bi­li­tés, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pou­vons pas, régle­men­tai­re­ment, nous expri­mer à visage décou­vert, il nous est tout aus­si impos­sible de nous taire.

Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un cer­tain nombre d’entre nous ont connu le feu enne­mi. Certains y ont lais­sé des cama­rades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des conces­sions sur notre sol.

Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les ban­lieues aban­don­nées, les accom­mo­de­ments avec la délin­quance. Nous avons subi les ten­ta­tives d’instrumentalisation de plu­sieurs com­mu­nau­tés reli­gieuses, pour qui la France ne signi­fie rien ‑rien qu’un objet de sar­casmes, de mépris voire de haine.

Nous avons défi­lé le 14 juillet. Et cette foule bien­veillante et diverse, qui nous accla­mait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a deman­dé de nous en méfier pen­dant des mois, en nous inter­di­sant de cir­cu­ler en uni­forme, en fai­sant de nous des vic­times en puis­sance, sur un sol que nous sommes pour­tant capables de défendre.

Oui, nos aînés ont rai­son sur le fond de leur texte, dans sa tota­li­té. Nous voyons la vio­lence dans nos villes et vil­lages. Nous voyons le com­mu­nau­ta­risme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son his­toire deve­nir la norme.

Ce n’est peut-être pas à des mili­taires de dire cela, argue­rez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apo­li­tiques dans nos appré­cia­tions de situa­tion, c’est un constat pro­fes­sion­nel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle pré­cède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la vio­lence, et contrai­re­ment à ce que vous affir­mez ici où là, ce chaos et cette vio­lence ne vien­dront pas d’un « pro­nun­cia­men­to mili­taire » mais d’une insur­rec­tion civile.

Pour ergo­ter sur la forme de la tri­bune de nos aînés au lieu de recon­naître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invo­quer un devoir de réserve mal inter­pré­té dans le but de faire taire des citoyens fran­çais, il faut être bien fourbe. Pour encou­ra­ger les cadres diri­geants de l’armée à prendre posi­tion et à s’exposer, avant de les sanc­tion­ner rageu­se­ment dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

Lâcheté, four­be­rie, per­ver­sion : telle n’est pas notre vision de la hié­rar­chie.
L’armée est au contraire, par excel­lence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution mili­taire que nous appe­lons de nos vœux.

Oui, si une guerre civile éclate, l’armée main­tien­dra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui deman­de­ra. C’est même la défi­ni­tion de la guerre civile. Personne ne peut vou­loir une situa­tion aus­si ter­rible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nou­veau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

Le cri d’alarme de nos Anciens ren­voie enfin à de plus loin­tains échos. Nos aînés, ce sont les résis­tants de 1940, que, bien sou­vent, des gens comme vous trai­taient de fac­tieux, et qui ont conti­nué le com­bat pen­dant que les léga­listes, tran­sis de peur, misaient déjà sur les conces­sions avec le mal pour limi­ter les dégâts ; ce sont les poi­lus de 14, qui mou­raient pour quelques mètres de terre, alors que vous aban­don­nez, sans réagir, des quar­tiers entiers de notre pays à la loi du plus fort ; ce sont tous les morts, célèbres ou ano­nymes, tom­bés au front ou après une vie de service.

Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont des­si­né son ter­ri­toire, défen­du sa culture, don­né ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils com­bat­tu pour que vous lais­siez la France deve­nir un État failli, qui rem­place son impuis­sance réga­lienne de plus en plus patente par une tyran­nie bru­tale contre ceux de ses ser­vi­teurs qui veulent encore l’avertir ?

Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois, d’émotion sur com­mande, de for­mules toutes faites ou de média­ti­sa­tion. Il ne s’agit pas de pro­lon­ger vos man­dats ou d’en conqué­rir d’autres. Il s’agit de la sur­vie de notre pays, de votre pays.

2 Commentaires 

  1. Bonjour à tous,

    Hier avant 18h00 avec une amie nous étions au monu­ment aux morts de Nice.
    SURPRISE !!
    Nous étions une tren­taine !!
    NICE !!!
    Ville qu’il a vécuele 14 Juillet 2016 une BOUCHERIE. La France vit une situa­tion CATASTROPHIQUE !!
    Seulement 30 per­sonnes devant le monu­ment aux morts…
    FRANÇAIS RÉVEILLEZ-VOUS !!!

    Répondre
  2. Impossible pour moi de par­ti­ci­per ce soir mais soyez assu­rés de mon sou­tien patrio­tique et républicain.

    Répondre

Envoyer le commentaire

Votre adresse e‑mail ne sera pas publiée. Les champs obli­ga­toires sont indi­qués avec *

Je sou­haite être notifié(e) par mes­sa­ge­rie des nou­veaux com­men­taires publiés sur cet article.