Les fangeux
Jusqu’ici nous avions,
• le contrôle technique pour la voiture
• le diagnostic pour la maison
• et maintenant, le – Pass Sanitaire – pour l’état de notre corps…
Nous sommes devenus en peu de temps comme autrefois les animaux dans la loi, des meubles ou des objets du quotidien.
Bien sûr, on nous serine qu’il s’agit d’une « mesure provisoire »… Pas sûr. Parce que des intervenants appartenant au domaine médical viennent, comme d’habitude nous pousser leur chansonnette scientifique qui se veut, non seulement convaincante, mais exigeante, ciblant en particulier les récalcitrants, qu’il va falloir comme dans une valse à trois temps, inciter, convaincre, obliger… et, emporté par une fougue colérique, l’un d’eux s’est même exclamé, qu’il allait falloir utiliser des moyens un peu plus forts, des avantages peut-être ou la persuasion, parce que pour faire la fête, il faut être vacciné !
Y’a donc d’la joie… mais pas tant que ça, parce qu’il a ajouté que si rien ne fonctionnait dans ce sens, cette – fange – de la population allait devoir plier sous le joug de l’autorité. C’est juste une question de temps. Soulignons que le « fangeux » qui refuse de recevoir une injection (de surcroît pour certains dans des vélodromes ce qui est d’un mauvais goût absolu…) est donc assimilé à un être boueux, vaseux, à un marais dans lequel on s’embourbe, à une porcherie dans laquelle se vautrent les cochons, à quelque chose d’abject et de méprisable. Résistants à la sommation, vous serez donc dorénavant considérés comme des pourceaux malsains et gluants, des pestiférés, des rejetés de la communauté. Qu’on se le dise.
Alexandra SCHREYER
Je préfère être un fangeux qu’un pourri comme eux !!!
Après une bonne douche je serai présentable alors qu’eux ils seront toujours pourris !!!
Que ces parasites médecins et politiques continuent et ainsi plus forte et dévastatrice sera leur chute. Le monde d’avant nous n’en voulons plus car demain nous aurons un monde qui respecte le vivant. Pourriture mondialiste votre heure approche !