Les Françaises insatisfaites sexuellement : conséquence du féminisme agressif ?
Une enquête menée par l’Ifop et son Observatoire européen de la sexualité féminine, auprès de 5 000 participantes partout en Europe, dévoile que les Françaises sont celles qui ont le plus de mal à jouir d’une vie intime épanouie. Tiens donc ! Qu’est-ce qui nous vaut encore ce triste classement venant après celui du PISA (mesurant les performances des systèmes éducatifs) et celui des pays prélevant le plus d’impôts et de cotisations sociales par rapport au PIB ?
Les causes sont diverses, nous dit l’Ifop : stress lié à vie professionnelle, chômage, consommation exagérée d’antidépresseurs – les Français sont champion du monde en la matière -… Et, comme il fallait s’y attendre, les réseaux sociaux ont aussi une bonne part de responsabilité, saturés qu’ils sont par les débats autour de la notion de « consentement », de « genre » et du plaisir en solo ou à plusieurs. Pourtant, cette libération de la parole sur la sexualité féminine ne semble guère améliorer le sort de ces dames. Six Françaises sur dix souffriraient toujours d’un manque d’envie sexuelle d’après une autre étude réalisée par la plateforme Émancipées. Une libido en berne qui procure à nos compagnes ou bien de la « honte » (près d’une sur deux) ou bien les incite à jouer sous la couette seulement « pour faire plaisir » (41 %) ou pour se rassurer au sujet de leur « normalité » sexuelle (14 %). La femme « libérée » reste une réalité qui semble encore bien nébuleuse.
Par ailleurs, 35% des Françaises se disent insatisfaites de leur vie sexuelle soit quatre points de plus qu’en 2016. Mais, phénomène étrange (ou pas), ce pourcentage varie selon les orientations politiques des plaignantes. En effet, l’enquête révèle que, parmi les facteurs qui provoquent autant d’insatisfaites dans l’hexagone, l’orientation politique aurait une place non négligeable. Ainsi, le degré d’insatisfaction sexuelle serait plus fort chez les femmes positionnées à l’extrême gauche (33%) qu’à droite (22%). Or, c’est dans la première tendance politique qu’on trouve les positions féministes les plus marquées.
Alors, le féminisme affecterait-il la libido des femmes françaises ?
C’est en tout cas ce qu’affirment Ogi Ogas et Sai Gaddam, les auteurs du livre intitulé : « A Billion Wicked Thoughts : What The World’s Largest Experiment Reveals About Human Desire » (Un milliard de mauvaises pensées : ce que révèle la plus grande expérience au monde sur le désir humain). Selon eux, le féminisme est néfaste pour le sexe et serait la cause de l’augmentation des problèmes de libido chez les femmes. Le néo-féminisme victimaire, puritain et sexiste, devenu justicier, occupe aujourd’hui une position hégémonique laissant de moins en moins d’espace aux autres conceptions de la libération des femmes.
Ainsi, cette volonté d’être des hommes comme les autres nuirait à l’épanouissement sexuel des femmes. Réalité ou fantasmagorie ? Quoi qu’il en soit, le bilan est là : 6 Françaises sur 10 souffrent de ne pas ressentir assez d’envie sexuelle et c’est plutôt préoccupant pour l’avenir de notre nation déjà confrontée à l’immigration galopante et aux communautarismes.
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
Et si on parlait de l’insatisfaction sexuelle des hommes ? Au moins aussi présente que celle des femmes.
Ces hommes, déçus par les femmes qui veulent être des mecs, et qui trouvent leur bonheur avec d’autres hommes.
En fait tout le monde est frustré.
Tout est déglingué en ce monde en déperdition.
Les gauchises seraient en manque de jouissance ? Pas de problème ! Les migrants sont là pour ça aussi, de gré ou de force ! La vérité ne les fera pas jouir et tant mieux, réservons le plaisir à celles et ceux qui le méritent.