
Vaccination : on se pince pour vérifier que l’on ne rêve pas
Guy Jolly nous fait parvenir cet article, complet et rigoureusement sourcé, que nous publions ci-dessous dans un souci de vérité :
[Source principale : Le courrier des stratèges]
1) L’agence européenne élargit la liste des effets secondaires graves
La presse subventionnée ne l’a évidemment pas relevé, mais l’Agence Européenne du Médicament (EMA) vient d’élargir la liste des effets secondaires du vaccin Pfizer (document au format PDF). Elle reconnaît désormais comme nouveaux effets secondaires, les érythèmes multiples et la perte du toucher.
2) Plusieurs études soulignent l’inefficacité du vaccin
La prestigieuse revue scientifique New England Journal of Medicine vient de publier deux études qui démontrent l’inefficacité forte des vaccins dans la lutte contre l’épidémie.
Une étude israélienne (document format PDF) conclut ceci : « Autrement dit, la réponse immunitaire au virus permise par le vaccin ne dure pas six mois, ce qui pose un vrai problème quant à l’efficacité dudit vaccin. »
Une étude qatarie confirme ces résultats : Le vaccin ne fonctionne que très peu de temps après la deuxième dose pour empêcher la circulation active du virus (être contaminé et contaminer les autres), et il n’empêche les cas graves que pendant six mois. (Sources autorisées et non contestées par les grands défenseurs du « vaccin »).
3) La Haute Autorité de Santé dresse des constats pires
La présidente Dominique Le Guludec

Salaire annuel estimé à 210 197 euros [source]
Organigramme de la HAS (document au format PDF)
La conclusion de l’avis est particulièrement assassine au regard du risque que la Haute Autorité de Santé fait prendre à la population : « La HAS considère que l’amélioration de la situation sanitaire et les données encore limitées sur les conséquences d’un déclin de l’efficacité vaccinale au cours du temps chez le jeune adulte sans comorbidité ne justifient pas à ce stade de recommander l’administration d’une dose supplémentaire en population générale ».
Le second avis, baptisé “recommandation”, mérite son pesant de cacahuètes. Nous lisons ceci : « Les données limitées d’une étude rétrospective israélienne (avec seulement 245 infections survenues chez des personnes ayant reçu une dose de rappel en Israël), montrent que l’administration d’une dose de rappel est associée à une diminution statistiquement significative de la charge virale, en comparaison de celle des personnes primo vaccinées qui n’avaient pas reçu leur dose de rappel, suggérant ainsi que l’administration d’un rappel diminuerait la charge virale et de fait, probablement la contagiosité des personnes développant une infection par le SARS-CoV‑2 (variant Delta) »
Le principe de précaution est ici totalement balayé au nom d’une doctrine fondée sur l’acceptation consciente de sacrifices individuels au nom du bien du “groupe” (réduit en l’espèce à quelques membres apeurés).
Et malgré ce manque de connaissance, la Haute Autorité exige, pour “protéger” les autres, que ces jeunes adultes se vaccinent s’ils sont soignants.
Tout en reconnaissant parfaitement que, pour les jeunes générations, le bénéfice-risque est discutable. La logique des sacrifices humains s’affiche ainsi au grand jour.
4) La Haute Autorité de Santé reconnaît qu’elle ne sait pas si une 3e dose sert à quelque chose
De façon totalement ahurissante, la Haute Autorité de Santé reconnaît qu’elle fonde sa recommandation sur des « données limitées [ …] suggérant [ …] que l’administration d’un rappel diminuerait la charge virale et de fait, probablement la contagiosité ».
Nous sommes ici non plus dans le domaine de la science, mais de la spéculation.
Elle indique clairement que la mise sur le marché doit rester conditionnelle tant que des données à plus long terme ne sont pas mises à jour.
Malgré cela le premier avis élargit de la HAS préconise une dose de rappel pour les soignants alors qu’il explique sans ambiguïté que l’efficacité du vaccin baisse rapidement, et qu’il n’empêche pas la circulation de la maladie, et il exige, pour « protéger » les autres, que ces jeunes adultes se vaccinent s’ils sont soignants.
Un vrai cauchemar !
Bonus : Covid : le taux de vaccination sans incidence sur la circulation du virus, selon une étude [source RT France]
L’European Journal of Epidemiology, dont je suis éditeur, est le journal le plus côté au monde en épidémiologie. Ici, il rapporte l’absence de corrélation entre politique vaccinale et nombre de cas.https://t.co/p0K3p0lP9Y
— Didier Raoult (@raoult_didier) October 8, 2021
C’est une grande tristesse de constater qu’avec le temps, la population n’a plus le temps de s’informer correctement, sauf de le perdre sur les réseaux sociaux.
De vrais moutons qui ne bêlent que pour se faire assister par l’État.
Les vieilles générations ont de quoi ruminer avant de disparaitre avec leur savoir, que plus personne n’écoute.
La vengeance est un plat qui se mange froid ! comme disaient mes parents.
Tout vient à point à qui sait attendre !!
Ils devront rendre des comptes pour ce génocide.
À qui profite le crime ? À des nuls incapables qui se prennent pour des Pr RAOULT alors qu’ils ne sont que des aide-soignants et encore
LES MORTS SE VENGERONT UN JOUR CE JOUR NE SAURAIT TARDER
C’est facile à comprendre :
Cette madame Gulugulu fait ce qu’elle a toujours fait, sinon elle n’en serait pas arrivée là. Son talent, c’est son entregent, alors elle ménage la chèvre et le chou :
• d’une part elle ne peut que constater que les vaccins ne servent à rien, elle l’écrit de manière à se protéger des suites judiciaires lorsque le vent aura tourné, et
• d’autre part, elle veut garder son job à 17 000 euros par mois et applique les consignes du Pouvoir : vaccination obligatoire.
De toutes façons ce sont les sans dents et ceux qui ne sont rien qui paient l’addition !
C’est ainsi que ça marche.
Le problème c’est que les sans dents et ceux qui ne sont rien ne comprennent pas ça et continuent de faire la queue pour se faire injecter leur dose de poison mortel.