Et si le Covid était un « bon » virus ?
Ce titre est délibérément provocateur, et c’est pourtant l’analyse que propose Philippe Guillemant dans son dernier livre Le grand virage de l’humanité.
Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l’École Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en physique et habilité à diriger des recherches. Il exerce son activité au CNRS où il est ingénieur de recherche hors classe.
Spécialiste d’intelligence artificielle, ses brevets, réalisations et publications ont porté essentiellement sur des méthodes de traitement de l’information dérivées de la théorie du chaos.
Il mène aujourd’hui une recherche fondamentale en physique de l’information qui vise à réviser notre conception de l’espace-temps en lui octroyant une flexibilité par commutation de lignes d’univers à l’aide de dimensions supplémentaires, via la mécanique classique.
Philippe Guillemant est l’auteur de la théorie de la double causalité (ou de l’espace-temps flexible), un modèle de création de la réalité fondé sur le libre arbitre via la rétrocausalité, présenté dans ses quatre livres “La Route du Temps” (Le Temps Présent, 2010 & 2014), « La Physique de la Conscience » (Trédaniel, 2015), « Le Pic de l’Esprit » (Trédaniel, 2017) et « Le grand virage de l’humanité » (Trédaniel, 2021).
Le modèle proposé par Philippe Guillemant conduit, entre autres choses, à une explication rationnelle de la synchronicité qui débouche sur un véritable « pont » entre la Science et la Spiritualité.
Les analyses de ce savant exceptionnel ne se laissent pas cerner du premier coup. Il faut y aller progressivement et revenir plusieurs fois sur les mêmes avancées qui ne sont pas intuitives afin de les appréhender. Mais en écoutant plusieurs fois les conférences de Philippe Guillemant, on découvre un paradigme lumineux. Par exemple :
N’hésitez pas à visionner cette vidéo (une vingtaine de minutes) si vous ne connaissez pas Philippe Guillemant.
Pour tous les physiciens, le temps et l’espace sont imbriqués. Beaucoup avancent que le temps n’existe pas. Et que la matière n’existe pas non plus ! C’est notre conscience qui fait naître le temps, l’espace et la matière. Une fois cela acquis — ce qui n’est pas aisé — le passé, le présent et le futur cohabitent. Et on arrive à ce qu’avance notre physicien d’avant-garde : le futur agit sur notre présent. Vous avez bien lu.
Une fois que l’on a plus ou moins assimilé cela, il reste encore à comprendre pourquoi, pour Philippe Guillemant, la Covid-19 est un gentil virus.
Suivons son raisonnement :
Notre présent sous tension révèle deux futurs antinomiques en conflit :
• le gentil futur, ou futé lumineux et
• le méchant futur, ou le foutur.
Le foutur est un monde où les matérialistes ont imposé leur vision à la planète. Il s’inscrit dans l’approche purement mécanique — mécaniste — qui s’est développée depuis deux siècles dans laquelle — notamment — le mental ne peut qu’être issu du cerveau. L’Homme est donc une machine biologique que l’on peut améliorer par la biologie, c’est-à-dire mécaniquement, et se diriger ainsi vers le transhumanisme piloté par l’Intelligence Artificielle. C’est exactement ce que nous propose Klaus Schwab dans son livre :
Par suite Philippe Guillemant réfute toute idée de complot puisque tout ceci est public et publié. De fait l’humanité s’y dirigeait progressivement, sans douleur jusqu’à présent. Mais ce futur annoncé — foutur pour notre physicien — ne se déroule pas comme prévu car il heurte de front la réalité du monde qui n’est pas matérielle mais révélée par la conscience. Les matérialistes se trompent, tout simplement.
Le futé lumineux fait de la résistance, même s’il paraît ébranlé. Et il est en effet mal en point.
Les tensions que la planète traverse au présent reflètent le conflit de ces deux futurs
L’arrivée du Coronavirus a précipité ce conflit car il a permis d’éveiller la conscience collective, matrice de l’univers, du multivers, selon Philippe Guillemant. S’il n’y avait pas eu ce virus, l’humanité aurait continué de s’enfoncer dans le foutur. Toutes les synchronicités que nous percevons sont les signaux de cet ajustement du futur, du foutur vers le futé lumineux. Écoutons le :
Pour reformuler cette thèse d’une manière plus claire qu’un conflit entre deux futurs, on peut parler d’une attaque contre l’éveil de la conscience humaine, puisque c’est l’évolution de cette conscience qui est à l’origine du nouveau futur. Or, notre conscience a bel et bien subi une attaque du foutur sous deux formes :
• La psychose imposée par les mesures, qui limitait notre éveil pour aller vers le nouveau.
• La propagande de la peur, qui déprimait notre immunité en nous ramenant vers l’ancien.
[ … ] Cette tentative de nous ramener ainsi de force vers le foutur en essayant d’éteindre la conscience humaine et, au passage, de nous prendre pour des c… avait donc bien l’air d’un complot transhumaniste.
Mais, comme nous l’avons vu, un tel complot est trop incohérent, à moins de le considérer comme raté, ce qui n’est pas ma thèse. Donc, si la sensation que nous en avons reste aussi prégnante, c’est qu’il y a plutôt eu un « complot du foutur » cherchant à nier, voire à supprimer, toutes nos connaissances sur le potentiel considérable de la conscience. L’accélération de l’agenda transhumaniste semblait bien vouloir ignorer tout ce à quoi le nouveau paradigme postmatérialiste nous introduit depuis plus de dix ans : l’existence de l’âme, la conscience distincte du cerveau, la capacité de la conscience à construire son futur, les synchronicités comme preuve de cette capacité et, plus généralement, tous les phénomènes inexpliqués mettant en évidence le potentiel considérable de la conscience humaine, incompatible avec l’agenda en question.
Le livre est enrichi de multiples schémas qui nous aident à mieux comprendre (!) :
Tout le monde peut constater que les décisions de l’oligarchie matérialiste sont de plus en plus précipitées et donc incohérentes, et accélèrent par suite l’éveil collectif des consciences qui mettra fin au foutur, ce qui ne ce serait peut-être pas passé sans ce virus, somme toute pas si méchant.
Pour autant ceux qui se complaisent dans le foutur ne lâcheront pas l’affaire de sitôt. La bête agonisante lancera toute son énergie pour sa survie. Préparons nous donc à une longue période de turbulences, mais armons nous de cette certitude :
le foutur est bel et bien foutu !
La vision scientifique, méthodique, rigoureuse mais aussi lumineuse, tonique, globale de Philippe Guillemant est porteuse d’espoir. Il faut absolument prendre le temps de s’en imprégner.
Georges Gourdin
Regardez bien les dates !
12 septembre 2019 :
Susciter une action mondiale pour garantir la santé, la sécurité et la prospérité grâce à la vaccination
https://www.prokerala.com/news/photos/belgium-brussels-who-vaccination-summit-1348359.html
https://www.who.int/fr/news-room/events/detail/2019/09/12/default-calendar/global-vaccination-summit
https://ec.europa.eu/health/sites/default/files/vaccination/docs/10actions_fr.pdf
Et en octobre 2019 :
https://www.france24.com/fr/20200506-covid-19-armee-jeux-militaires-wuhan-chine-temoignages-coronavirus
https://www.france24.com/fr/20200313-pourquoi‑p%C3%A9kin‑c%C3%A8de-au-complotisme-pour-faire-porter-le-chapeau-du-covid-19-%C3%A0-washington
Une dernière citation n’en déplaise !
Ce n’est pas parce qu’un grand nombre de personnes font ou disent la même chose que cette chose devient juste et vraie.
Le virus du COVID est donc une bonne chose !
Seulement en prenant acte de la justesse ou de la véracité d’une chose parce que beaucoup en parlent, cela signifie-t-il que le virus est vrai ? Le fait de le conscientiser de façon collective le fait exister (théorie quantique) ?
On ne pourra « positiver » le virus que s’il existe ! La question est donc, au vu de ce qu’il se passe depuis plus de 2 ans : le virus existe-t-il ? Devons-nous ou l’avons-nous créé pour le combattre ? Cela ne serait pas étonnant ! Pendant qu’on fait ça, on fait pas autre chose ! Continuons à chercher ! Cela, au moins, nous enrichit.
Amicalement
Merci pour ces explications et pour cette vision de ce que nous vivons.
Les livres de Philippe Guillemant sont très intéressants et novateurs .… mais pour certains d’entre eux, il faut quand même s’accrocher un minimum … 😀
Certes ! J’en suis à ma 3ème lecture @!!
Merci à Georges Gourdin, le rédacteur de cet article original et plutôt rafraîchissant du point de vue de la perception de l’avenir.
Cependant la théorie de la double causalité (espace temps flexible), développée par Philippe Guillemant, me semble plutôt être le résultat d’une masturbation intellectualiste égocentrique.
Cette théorie nous indique qu’il s’agit d’un modèle de création de la réalité fondé sur le libre arbitre (présenté comme un postulat !). Encore faudrait-il qu’il développe sa définition du libre arbitre.
De plus ce sûrement remarquable chercheur, saupoudre son raisonnement de théories fibratoires simplistes : les fréquences basses ne transmettent pas l’info, les fréquences hautes transmettent. C’est un peu plus complexe de mon point de vue.
Notre chercheur décide que les émotions ont des fréquences de vibrations différentes selon le mot employé : la peur c’est froid, l’amour c’est chaud ! Lol !
Là où je le rejoins, c’est qu’effectivement, on ne s’écoute plus, on manque de lâcher prise pour permettre un recentrage. Seule la méditation nous permettra de repérer ce qu’il appelle l’intelligence intuitive (oxymore).
Il a raison lorsqu’il aborde la notion d’espace-temps. Où la physique quantique nous a dorénavant démontré que le temps n’existe pas et est donc la création de l’esprit.
Einstein l’a dit en son temps : « La séparation entre le passé, le présent et l’avenir n’est qu’une illusion. C’est ce qui est communément appelé » l’éternel présent » ».
Je ne souhaite pas entrer dans des considérations philosophiques, religieuses et métaphysiques qui méritent un vrai échange !
Je conclus donc :
« Peu de sciences éloignent de Dieu et beaucoup de sciences y ramènent » Jean-Paul II.
Hubert Reeves à qui on a demandé :« Êtes vous croyant ? », a répondu : « Je pense que Oui, mais je ne sais pas en Quoi !»
Ha ha ! Vous devriez donner quelques cours magistraux à Guillemant afin d’atténuer sa tendance masturbatoire égocentrée !
Pardon, mais votre commentaire est un enfilage de poncifs et de citations avec pour seul fil directeur votre manque de niveau et votre immodestie.
« L’ombre travaille pour la lumière » comme on dit. L’ombre d’ailleurs ne peut travailler que pour la lumière, qui est à l’origine factuelle de toute la manifestation.
Grand merci à Guillemant pour son travail génial et à Gourdin pour sa compréhension fine du sujet. La science moderne honnête et sérieuse confirme peu a peu (enfin !) les socles ancestraux du savoir et de l’explication de l’univers, qui sont le dénominateur commun à l’origine de toutes les philosophies, religions, traditions ésoteriques ou initiatiques, rituels panthéistes, etc…
J’étais un peu dans le même raisonnement…. Mais ça c’était avant…
Juste pour vous dire qu’il ne s’agit pas de masturbation, mais qu’ils font ça en groupe car ils sont très nombreux à avoir étayé désormais leurs théories avec Guillemant : Thibaut Damour, Étienne Klein, Leterrier… etc., et j’en passe, mais l’avantage avec Philippe Guillemant, c’est qu’il s’exprime à l’oral en vulgarisant ses recherches et au final, c’est très instructif. Mais ça demande tellement de temps à nos cerveaux formatés…
Bonnes recherches… si vous prenez le temps. Et bonnes fêtes !
La citation n’est pas de Jean-Paul II, mais de Francis Bacon. Apparemment, pour certains, rien d’intéressant avant Vatican II !
Quant au complot, « Projet concerté secrètement afin de nuire », il est bien là, sauf qu’il n’y pas besoin de concertation, les grands financiers de ce monde ont un même but : le profit.
Merci pour cette vision très originale, et cette position non-violente, même si la période des turbulences n’est pas finie ! Cette réflexion pleine d’espoir et d’avenir fait un bien fou.
Très bel article, et comme le chantait si bien Jean Gabin : « Il y a une chose que je sais c’est qu’on ne sait jamais ». Ces parasites mondialistes sont pris à leur propre piège : le mensonge !
Ce ne sont pas de simples menteurs mais des pervers narcissiques, bien plus dangereux…
Une chose est sûre : bon ou mauvais virus ça n’existe pas…
Par contre la politique menée pour lutter contre cette plandémie, elle est véritablement mauvaise, liberticide, illégale, discriminatoire, totalitaire, etc…
Le foutur, c’est le transhumanisme, l’I.A., la robotisation, la fin de la propriété individuelle, le revenu universel, la dose de thérapie génique expérimentale par trimestre, le chômage et la dette exponentielle, hyper inflation et pénuries massives… Oui, c’est à gerber…