Émeutes : ne croyez pas qu’elles sont dues au laxisme du Pouvoir

par | 11 juillet 2023 | 7 Commentaires 

Les per­sonnes « libres dans leur tête » et qui ne craignent pas d’être cata­lo­guées comme « com­plo­tistes », ont bien com­pris que les émeutes des ban­lieues sont la consé­quence iné­luc­table de la poli­tique d’im­mi­gra­tion de masse impo­sée par les États-Unis via Bruxelles.

2005 – 2023 : cela fait 18 ans !

Une géné­ra­tion ! Les émeu­tiers d’au­jourd’­hui sont donc les enfants des émeu­tiers d’hier(1).

Cet excellent mon­tage vidéo de Simon Laigle (jour­na­liste chez Brut) est une par­faite illus­tra­tion que nos diri­geants ne veulent pas régler le pro­blème de l’in­sé­cu­ri­té lié à l’im­mi­gra­tion. Du reste cela com­mence par inter­dire de le pen­ser, car pour la Police de la Pensée, il n’y a aucune cor­ré­la­tion entre l’in­sé­cu­ri­té inexo­ra­ble­ment crois­sante et l’im­mi­gra­tion incontrôlée.Xavier Gorce - Faits contredits par mon opinion

La seule action des gou­ver­ne­ments suc­ces­sifs consiste à lar­moyer et à ânon­ner les mêmes billevesées.

Chirac 2005 – Macron 2023, c’est carrément du « copier-coller » !

Or nos diri­geants sont capables de prendre des déci­sions intran­si­geantes quand il le faut. Les Français n’ou­blient pas :
• que leur vote a été bafoué lors du réfé­ren­dum sur le Traité de Maastricht en sep­tembre 1992 ;
• que des mil­liers d’in­fir­miers et d’in­fir­mières ont été bru­ta­le­ment licen­ciés au pré­texte qu’ils refu­saient une injec­tion expé­ri­men­tale ;
• et plus récem­ment com­ment le gou­ver­ne­ment a fait pas­ser au for­ceps « sa » réforme des retraites.
Voici trois exemples connus de tous les Français qui démontrent que les gou­ver­ne­ments, quels qu’ils soient, sont bien capables de faire mal quand il le faut, encore une fois.

S’il ne se passe rien dans les ban­lieues pour éra­di­quer les émeutes une fois pour toutes, c’est bien que tous les gou­ver­ne­ments depuis — au moins — une tren­taine d’an­nées se com­plaisent de cette situa­tion. Pire ! Ils la fomentent.

Nos diri­geants ne cessent de construire de nou­veaux quar­tiers à la ver­ti­cale qui seront autant de nou­veaux chau­drons. Il n’est pas une com­mune de France qui subisse des pres­sions de la part de leur pré­fec­ture pour « atteindre son quo­ta de loge­ments sociaux », com­pre­nez : construire des loge­ments pour les immi­grés clan­des­tins qu’il faut bien caser quelque part. Au besoin des bâti­ments sont réqui­si­tion­nés. Mais jamais les intrus ne sont ren­voyés chez eux.

Rappelons nous encore cette injonc­tion de Nicolas Sarkozy :

L’immigration de masse, pilo­tée depuis les États-Unis, s’est enclen­chée avec le très atlan­tiste Mitterrand : 

« Je l’ai dit à d’autres reprises, et je le redi­rai autre­ment : ils sont chez eux chez nous » (Discours de François Mitterrand, Président de la République et can­di­dat à l’é­lec­tion pré­si­den­tielle de 1988, à Rennes le ven­dre­di 8 avril 1988)

Puis Chirac, Sarkozy, Hollande et main­te­nant Macron ont tous emboi­té le pas car ils ont été choi­sis par l’État Profond pour cela : détruire la France. Rappelons nous le mot du can­di­dat Macron : 

« Il n’y a pas de culture fran­çaise » (Discours du can­di­dat Emmanuel Macron à Lyon le 7 février 2017)

Tous sont là pour assurer le Grand Remplacement

Cela passe par des sou­bre­sauts, tant des Français de souche que des des­cen­dants d’im­mi­grés déra­ci­nés et acul­tu­rés que des nou­veaux arri­vants qui découvrent la misère en arri­vant ici. Mais émeutes après émeutes, pré­sident après pré­sident, la popu­la­tion est rem­pla­cée car nos pré­si­dents font le job(2), ils sont là pour ça.

Georges Gourdin

Notre illus­tra­tion à la une : pho­to prise lors des émeutes de sep­tembre 2019

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Georges Gourdin

Si l’on met de côté plu­sieurs consi­dé­ra­tions eth­niques, reli­gieuses ou socio-cultu­relles, on pour­rait remon­ter jus­qu’en mai 68. Les émeu­tiers de mai 68, télé­gui­dés aus­si par l’o­li­gar­chie finan­cière qui vou­lait se débar­ras­ser de l’en­com­brant Général de Gaulle, ont enclen­ché leur action à… Nanterre. Déjà ! De fait de Gaulle a été rem­pla­cé à l’Élysée par son pre­mier ministre Georges Pompidou, ancien de chez Rothschild. Tiens… déjà !

Q

Lire notre trip­tyque Macron fait le job d’oc­tobre 2019

Q

7 Commentaires 

  1. Si qq chose doit être fait et s’ils vou­laient le faire, il y a 40 ans que cela aurait été fait. On a déver­sé des mil­liards ds ces quar­tiers pour rien. Les assis­tés, y en a marre.….

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    • « Assistés » est un mot qui m’irrite for­te­ment, car il englobe beau­coup trop de per­sonnes qui n’ont pas eu le choix dans leur vie, et se retrouvent dans les mêmes HLM que tous ces ven­deurs de drogue, obli­gés de les subir, car la police s’en fout.

      Par exemple le licen­cie­ment subi : lorsque l’on atteint un cer­tain âge dans les métiers ouvriers, il est plus dif­fi­cile de per­sua­der un patron de l’importance de son expé­rience, lui voit plu­tôt votre risque de len­teur, votre fatigue, etc… . 

      Et le maigre RSA est la seule sur­vie pour leur famille.

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    • « Assistés » est un mot qui m’i­rise for­te­ment, car il englobe beau­coup trop de per­sonnes qui n’ont eu le choix dans leur vie, et se retrouve dans les mêmes HLM que tous ces ven­deurs de drogue, obli­ger de les subir, car la police s’en fou.

      Par exemple le licen­cie­ment subi : lorsque l’on atteint un cer­taine âge dans les métiers ouvriers, il plus dif­fi­cile de per­sua­der un patron de l’im­por­tance de son expé­rience, lui voit plu­tôt votre risque de len­teur, votre fatigue, etc… . et le maigre RSA est la seule sur­vie pour leur famille.

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  2. Ces émeutes arrangent bien le gou­ver­ne­ment : les « rebelles », les « contre-gou­­ver­­ne­­ments », les « oppo­sants » qui se sou­lèvent contre l’État ont été incar­nés par cette racaille qui sou­tient un gamin, mal­heu­reu­se­ment mort, mais qui trem­pait dans des affaires cer­tai­ne­ment très louches (Mercedes louée, à 17 ans ??? avec quel argent, de quel droit sans per­mis…). Ainsi, les gens moyens qui râlent quo­ti­dien­ne­ment contre le gou­ver­ne­ment qui les exploitent, leur sou­tire leurs petits moyens, les privent de liber­té, ne vou­dront pas être assi­mi­lés aux bandits.

    De cette façon, la majo­ri­té des Français qui sont contre Macron res­te­ront inertes et paie­ront le mil­liard de dégâts.

    Plusieurs remarques :
    ‑un ministre de l’Intérieur dans une vraie démo­cra­tie qui n’au­rait pas pu main­te­nir l’ordre aurait démis­sion­né de suite, ou le pré­sident ayant un sou d’hon­neur l’au­rait ren­voyé. Est-ce le cas chez nous ?
    Rappelons que le pré­fet de Paris a été limo­gé suite au évé­ne­ments du Stade de France, mais il s’a­gis­sait d’une retraite anti­ci­pée, car il devait la prendre 6 mois plus tard.
    ‑les pré­fets ont inter­dit le trans­port de maté­riel pyro­tech­nique, d’armes et de muni­tions (chasse ou tir spor­tif) du 30 juin au 4 juillet, sachant que « le calme est reve­nu » le 4, comme par hasard.
    ‑Jean-Jacques Rousseau, apôtre de la Démocratie, décla­rait qu’un « gou­ver­ne­ment se devait de res­pec­ter et de pro­té­ger la Liberté du Peuple », sommes nous en démo­cra­tie ? en néo-monar­­chie oui !
    LFI a haran­gué la foule à mani­fes­ter « pour la jus­tice pour Nahel », déclen­chant 1 mil­liard de dégâts. En 2002, des syn­di­cats de méde­cins avait envoyé un mot d’ordre de contes­ta­tion en invi­tant les méde­cins à faire des dépas­se­ments d’ho­no­raires que le gou­ver­ne­ment de l’é­poque ne vou­lait pas reva­lo­ri­ser. Ils ont été condam­nés à de fortes amendes (pour en être dis­pen­sés, ils ont de suite signé la conven­tion médi­cale, obéis­sant au doigt et à l’œil de l’Assurance-Maladie qui sou­met doré­na­vant les pro­fes­sions médi­cales à ses caprices). Donc, à mon avis de citoyen, LFI devrait rem­bour­ser tout ou par­tie du mil­liard de dégâts.

    Le vrai Peuple Français est pris en tenaille par une mino­ri­té vio­lente et délin­quante, une oppo­si­tion fac­tice, un gou­ver­ne­ment mino­ri­taire qui est ins­tal­lé en réelle monar­chie, puisque « majo­ri­té » et « oppo­si­tion » sou­haitent la pos­si­bi­li­té d’un troi­sième quin­quen­nat, pour­quoi pas Président à vie, sou­te­nu par de vrais fas­cistes – selon la définition -.

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  3. Même com­men­taire (voir plus haut) : LA PEINE DE MORT pour les traitres à la FRANCE !!!

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