
Protection de l’enfance : il ne faut jamais désespérer
• En 2021, le ministère des Solidarités et de la Santé a confié à la Haute Autorité de Santé (HAS) la tâche d’élaborer des recommandations de bonne pratiques professionnelles concernant l’organisation des parcours de transition médicale pour la prise en charge des personnes « transgenres », dès l’âge de 16 ans.
• L’association Juristes Pour l’Enfance (JPE) a alors demandé à la HAS de participer à ces travaux. Celle-ci n’a jamais répondu mais a toutefois démarré ses travaux en 2023 alors même que le guide méthodologique qui s’impose au groupe de travail mentionne expressément (p. 4) que les travaux exigent « la transparence, avec mise à disposition “de la liste de l’ensemble des participants aux différents groupes” »
• Juristes Pour l’Enfance saisit donc le tribunal administratif afin qu’il soit enjoint à la HAS de transmettre l’ensemble des éléments énumérés dans le guide méthodologique.
• La Commission d’Accès aux Documents Administratifs (CADA) contraint la Haute Autorité de Santé à communiquer la composition du groupe de travail.
• Juristes Pour l’Enfance attend donc désormais la publication de la composition du groupe de travail afin que chacun puisse vérifier la pertinence de cette composition et l’absence ou l’existence de conflit d’intérêts à même de remettre en cause les travaux effectués.
La démarche de l’association Juristes Pour l’Enfance est exemplaire
D’abord cette association s’attache à une des causes les plus fondamentales qui soit : la protection des enfants.
Ensuite elle le fait avec rigueur, professionnalisme et détermination.
Et ça marche !
Il revient à chacun des parents de lutter et de ne jamais désespérer même si le contexte est très difficile.
Juristes Pour l’Enfance
23 rue Royale
69001 Lyon
contact@juristespourlenfance.com
Les deux commentaires ont tout résumé.
Le commentaire (Leprince) que je viens de lire, résume parfaitement notre façon de penser.
Mon mari et moi sommes choqués de lire (et de voir à la télévision) tout et n’importe quoi.
Qui, à l’adolescence, ne s’est jamais trouvé « mal dans sa peau ? » C’était mon cas, je m’en souviens encore.
Alors imaginez ce qu’on met dans le crâne des enfants et des jeunes qui se sentent (avec raison) dans une espèce de mal-être…
Comment et pourquoi en sommes nous arrivés là??
Oui, c’est malheureusement la décadence dans tous les domaines.
Quelle tristesse !
En plus de quarante ans d’exercice médical, je n’ai vu que deux cas de « dysphorie de genre » qui n’ont pas évolué par la suite. Le transsexualisme (« transgenre » maintenant) est absolument marginal et ne concerne que très peu de gens qui ressentent le problème plus comme une pathologie (dépression, trouble de la personnalité) qu’il faut prendre en charge plutôt qu’une identité propre. La mode du « trans », lancée par des pervers américains fascinés par des beautés équipées de sexe masculin, finit par traumatiser toute une jeunesse qui ne sait plus quoi penser, ni se situer, par choquer des adultes absolument pas concernés par le problème, et entraîner des irresponsables à en faire du prosélytisme.
Quand femmes et hommes ne savent plus ce qu’ils sont, la civilisation, en pleine décadence dans tous les domaines, ne va plus durer aussi longtemps que la civilisation judéo-chrétienne et même le genre humain disparaîtra tôt ou tard, en espérant que le reste de la planète et le genre animal survivront.
Comme les dinosaures devaient être heureux !