
La mini-jupe prend un coup de vieux
En cette rentrée des classes, le port de l’abaya fait du bruit dans le landerneau politique.
L’interdiction du port de ce vêtement à l’école par notre sémillant ministre de la rééducation nationale Gaby Attal a fait sortir de ses gonds l’islamogauchiste Mélenchon. Voilà qu’il porte l’affaire devant le sommet de la pyramide républicaine à laïcité variable : le Conseil d’État. Le voile islamique a été chassé par la porte en 2010, l’abaya revient par le fenêtre, l’islamisme conquérant ne lâche rien. Cette fois-ci, l’ambiguïté de la tenue est ténue : le vêtement est-il cultuel ou culturel ? Notre sacro-sainte laïcité est-elle une fois de plus mise à mal ? Les « Sages » du Conseil devront trancher cette hypocrisie musulmane.
Ça, c’est pour l’école, mais qu’en est-il dans la rue où le voile se généralise ? Avant, les robes d’été se portaient courtes, voire très courtes. Elles étaient bien jolies nos grands-mères d’aujourd’hui dans les années 60.

C’est dans les années 1960 que la mini-jupe est devenue en France le symbole de la femme affranchie
Depuis, cancel culture oblige, les femmes françaises se sont soumises aux prescriptions musul(wo)manes. Aujourd’hui, la mode est à la robe la plus longue possible. Juste ce qu’il faut pour que le tissu ne balaye pas le sol. Été 2023 : la mini-jupe minimaliste a été battue à plate couture par l’abaya fleurie. L’abaya a gagné la bataille culturelle cet été. Ceci dit, on peut comprendre ces dames. C’est se soumettre ou prendre le risque de se faire agresser par les grands frères.
Ne dit-on pas chez nous que l’habit ne fait pas le moine et bien il faut actualiser : dorénavant l’abaya ne fait pas l’islam.
Mesdames, faites encore un effort, abandonnez les motifs fleuris et portez vos longues robes avec des couleurs plus discrètes. Et mettez un voile, c’est plus seyant.
Demain ce sera à nous, les hommes, de cacher nos genoux. La « awra » proscrit de faire apparaître la zone anatomique située entre le nombril et les genoux.
Rassurez-vous messieurs, vous pourrez toujours aller à la plage en bermuda, mais sous le genou. Quant à madame, qu’elle cache tout sous la burqa et qu’on en finisse avec ces débats. De toute façon, ça finira comme ça. Pied à pied, les Français se soumettent et rasent les murs.
Michel Lebon
En bord de mer sur la Prom” je vois « Môssieur » en bermuda, ti-cheurte, casquette à l’envers ! et la madame recouverte comme un chapiteau, voilée, ne laissant voir qu’une partie du visage. Brave muzz qui veille à ce que madame soit à l’abri des regards concupiscents des mâles, et des coups de soleil, pendant qu’il se sacrifie à affronter U.V et infrarouge, avec la brise du large ! Porca miseria !
De toute façon, il fait trop chaud pour porter un tel accoutrement.
J’invite nos amis musulmans qui ne sont pas contents de vivre en France, à user d’une liberté : foutre le camp ! et s’ils pouvaient être accompagnés de nos écolo-islamo-gaucho-dingo-droito-collabos, ce serait le bonheur ! On ne retient personne ! Con se le dise !
Là-bas ya, de l’autre coté de la Méditerranée, elles y seront beaucoup mieux !!
Et si au lieu de mettre l’abaya, elles mettaient les voiles ?