Ces deux jeunesses vont se percuter de plus en plus et la nôtre n’est pas prête à encaisser le choc
« Il faut bien comprendre ce qui a eu lieu à Crepol : des jeunes Français de la France rurale ont été pris pour cibles, attaqués, écorchés au couteau, l’un d’entre eux, un gamin de 16 ans, a été tué parce qu’une bande venue d’une zone remplacée a décidé de venir “se faire du babtou”.
C’est signé, c’est ethnique, c’est racial, c’est tout ce qu’on n’a pas le droit de nommer et pourtant c’est cela et pas autre chose.
D’un côté, une jeunesse insouciante qui festoie tendrement, qui festoie comme on a toujours festoyé dans ce pays depuis des générations, qui plus est dans une salle des fêtes de la France rurale, une salle encore debout puisque contrairement aux MJC des zones remplacées cette salle des fêtes, dans cette petite commune de la France rurale, n’avait pas été brûlée, détruite, abandonnée ou transformée en squat pour trafiquants de drogue.
En face, une autre sorte de jeunesse, déjà barbare, déjà violente, déjà lobotomisée par les logiques de gang, de rivalité, de revanche et de violence ; une jeunesse qui, lorsqu’on lui refuse l’accès à une salle des fêtes où elle n’a rien à faire, revient avec des couteaux pour faire des morts et des blessés, la bave aux lèvres, la gorge injectée de sang à en devenir veineuse.
Lorsque ces deux jeunesses se rencontrent, c’est toujours la même qui sort les couteaux et toujours la même qui les prend dans le thorax. Et il en sera ainsi encore demain, la semaine prochaine et pendant des années tant que le rapport de force et les flux migratoires ne seront pas inversés.
Ces deux jeunesses vont se percuter de plus en plus et la nôtre n’est pas prête à encaisser le choc.
Parce que depuis des années, nos médias, nos politiques, nos artistes, nos profs d’écoles, de collèges et de lycées, en enfonçant leurs inepties progressistes, pacifistes, vivre-ensemblistes, antiracistes et castratrices dans les crânes de nos gosses ont fini par leur faire baisser la garde et les transformer en agneaux pendant qu’en face, déjà largement affranchie de ces autorités factices, une autre jeunesse a aiguisé ses dents et ses couteaux.
Nous avons été transformés en agneaux par 40 ans de lobotomie gauchiste. Les responsables sont connus, nous n’oublierons pas.
D’ici là, il faut refaire des hommes. Il faut que notre jeunesse se refasse une virilité, fasse du sport, apprenne à se battre, assume sa masculinité, porte ses cou*lles pour le dire familièrement. Laisser nos gosses se faire endormir par les discours castrateurs de Marlène Schiappa ou les chansons à la guimauve de Keen’V n’est plus une option.
Dans la France des années 2020, nous parlons maintenant purement et simplement de survie au sens strict.
Repose en paix, Thomas, 16 ans, enfant de France sacrifié. »
Jonathan Sturel
Jonathan Sturel anime une chaîne vidéo sur Internet où il décortique des phénomènes comme les manipulations de l’opinion et le pouvoir des médias dans l’orientation des masses. Passionné d’Histoire, de philosophie et de psychologie, il utilise ces trois disciplines pour développer une critique de la société moderne
Exact. Ça ne dispense pas d’aller « veauter » quand même : ne pas le faire est encore pire !!!
Seul un vote massif aux élections pourra faire stopper cet engrenage maudit !!! Mais ne nous trompons pas de cible !!!
@Julien : Les votes ne servent à rien ! C’est juste un semblant de démocratie.
Les jeux sont fait d’avance, et « seuls » ceux qui conviennent aux mondialistes remplacistes corrompus et bien obéissants sont « mis en place » par la fraude et les magouilles… TOUS les partis politiques sont aux ordres et ne sont là que pour la gamelle… Sinon, ils peuvent finir comme Kennedy.
Cela me rappelle l’exode. Il a eu lieu parce qu’un pharaon a voulu créer le grand remplacement et les hébreux furent chassés pour éviter le bain de sang. Une voix s’est élevée et a déplacé une communauté malgré les recommandations bibliques.
L’homme de pouvoir oublie pour assouvir sa domination.
C’est ce que fait le Pouvoir profond, mais dites haut et fort que le jour où le bail qu’ils ont signé se termine, il partiront comme ils sont venus, sans rien, pas un copeck. Nus.