Satan est le domaine réservé de la gauche bobo

Quelques lec­teurs aver­tis ont rele­vé que le tableau du bureau du pré­sident du Rassemblement National (der­rière lui, contre la vitre) était le même que celui qu’Emmanuel Macron affiche dans son bureau :

Marianne-Obey-Emmanuel Macron

Les réseaux sociaux s’emparent de cette affaire et d’in­nom­brables inter­nautes y voient la preuve que Macron et Bardella sont de conni­vence.

Or ce tableau n’est pas ano­din, et s’il se retrouve dans le bureau de notre très pro­gres­siste Président, ce n’est pas un hasard. Alors pour­quoi se retrouve-t-il aus­si dans le bureau de Jordan Bardella ?

Son créa­teur, Shepard Fairey, a bien com­pris com­ment fonc­tionne l’art dans le monde d’au­jourd’­hui et où se trouve l’argent(1). Il se glisse dans le Politiquement Correct, qu’il décline à l’en­vi et ça marche.

Shepard Fairey - Obey - Obama

La mai­rie de Paris fait appel à Shepard Fairey, qui pro­pose de manière très peu ori­gi­nale une fresque sty­lée Art nou­veau, en réfé­rence à la déco­ra­tion des pre­mières sta­tions du métro­po­li­tain pari­sien. L’artiste reprend les volutes Art nou­veau dans la colonne de gauche qu’il ose enri­chir du logo « Peace & Love ». Quelle audace !

À tra­vers son œuvre, l’ar­tiste Bien Pensant dit « vou­loir rendre rend hom­mage aux vic­times du 13 novembre ». Comprenne qui pour­ra. D’autant qu’il inti­tule son œuvre de manière ori­gi­nale « Liberté Égalité Fraternité ». Puis sa fresque s’ap­pel­le­ra Marianne.

Marianne - Liberté Égalité Fraternité -Street art Shepard Fairey alias Obey - Paris 13e

La mai­rie de Paris a bien choi­si, puisque, dit-elle, « Shepard Fairey est par­ti­cu­liè­re­ment actif sur les ques­tions éco­lo­giques et de jus­tice sociale » (sic !).

L’œuvre de Shepard Fairey ne présente aucune créativité artistique

Elle s’ins­crit par­fai­te­ment dans l’i­co­no­gra­phie des régimes totalitaires.

Affiche propagande stalinienne Affiche maoiste Shepard Fairey - Obey
Shepard Fairey, alias Obey
Époque sta­li­nienne Époque maoiste Époque moderne

George Orwell -1984Dans son tableau ci-des­sus à droite, Shepard Fairey, qui se fait doré­na­vant appe­ler Obey, écrit : « Obéis. Ne crois jamais ce que tu vois, crois ce qu’on te dit ». Son tableau est direc­te­ment ins­pi­ré de la cou­ver­ture de l’é­di­tion ori­gi­nale de George Orwell : 1984 (ci-contre).

Il est dif­fi­cile de dis­cer­ner si l’ar­tiste nous invite à obéir, et donc à croire ce que l’on nous dit, ou bien s’il condamne cette situa­tion oppres­sante. Mais alors pour­quoi fait-il par­tie des artistes du Système ? qui ont réus­si et qui gagnent beau­coup d’argent avec des bud­gets publics.

Obey - Œil satanisteShepard Fairey est dans le Système et il donne des gages d’al­lé­geance. Voilà pour­quoi il insère dans ses tableaux des signes d’ap­par­te­nance. Il place au centre de l’œil inqui­si­teur de Big Brother un penta­gramme rouge et noir d’ins­pi­ra­tion sata­niste (voir ci-contre).

On retrouve ce même signe d’ap­par­te­nance sata­niste dans la plu­part des créa­tions d’Obey, et bien enten­du sur la fresque parisienne !

Le Diable se cache dans les détails.

Shepard Fairey - Obey - Make art not war

« Make art, not war ». Ça, c’est du nou­veau ! Shepard Fairey, alias Obey, en bon éco­lo qu’il est, recycle dans sa fresque pari­sienne ce des­sin de femme qui devient « Marianne ». Il y rem­place « Make art, not war » par « Liberté Égalité Fraternité »(2), et le tour est joué. La bonne affaire !

Corée Nord - Faucille Marteau Pinceau
Le « street artist » en vogue recycle éga­le­ment le pin­ceau que le par­ti com­mu­niste nord-coréen place entre la fau­cille et le marteau.

Il recycle éga­le­ment bien enten­du le maca­ron d’ins­pi­ra­tion sata­niste. L’artiste ins­crit expli­ci­te­ment dans ses œuvres un penta­gramme au cœur d’un hexa­gramme étoilé.

Liberté Égalite Fraternite - Marianne - Shepard Fairey Obey Shepard Fairey- Obey - Satan Pentagramme Homme Pentagramme sataniste

Quelques mots d’ex­pli­ca­tion :
L’hexa­gramme est un poly­gone de 6 côtés, que l’on peut ima­gi­ner issu de deux tri­angles équi­la­té­raux jux­ta­po­sés. On le nomme l’Étoile de David ou le Sceau de Salomon. L’État d’Israël en a fait son emblème. Pour autant l’hexa­gramme est pré­sent dans toutes les cultures, dans l’hin­douisme et la chré­tien­té, comme sur le billet de un dol­lar américain.

La France, com­mu­né­ment appe­lée l’hexa­gone, s’ins­crit par­fai­te­ment dans un hexagramme.

Chakras

Le cha­kra ana­ha­ta, au centre de cou­leur verte, repré­sente un double hexa­gramme avec un penta­gramme. Il sym­bo­lise la force du cœur.

Le penta­gramme (5 côtés) avec une pointe en haut sym­bo­lise l’har­mo­nie et l’é­qui­libre du corps humain. On doit ce sym­bole (gra­vure tirée d’un trai­té, La Magie Naturelle, au célèbre éso­té­riste alle­mand Cornelius Agrippa (1486−1535), auteur de tra­vaux sur une pos­sible théo­so­phie chré­tienne. Mais bizar­re­ment l’ar­tiste a rem­pla­cé cette sil­houette har­mo­nieuse par un visage démo­niaque. Ici le démon inves­tit l’Homme.

C’est la raison pour laquelle Macron pavane radieusement sous ce tableau

Marianne-Obey-Emmanuel Macron

Pourquoi, diable, Bardella s’affiche-t-il avec le même tableau sataniste que Macron ?

Les com­men­taires dénoncent la com­pli­ci­té mas­quée entre les deux hommes. Beaucoup y voient la preuve d’un plan concoc­té dans quelques loges sata­nistes qui hissent le jeune pré­sident du Rassemblement National au poste de Premier ministre.

Oui, mais…
Bardella n’affiche pas le même tableau !

À y regar­der de plus près, le tableau n’af­fiche pas le penta­gramme de Satan, mais une croix chré­tienne. Ce qui ne manque pas d’in­ter­pel­ler, à par­tir du moment où on l’a remarqué.

Bardella - Obey

Ici pas de Satan ! Mais au contraire une croix blanche au cœur de l’hexa­gramme étoi­lé. Peut-on ima­gi­ner que cette croix blanche au niveau du cœur repré­sente le Sacré Cœur qui sur­plombe Paris ? Comme pour faire écho à la façade de l’im­meuble du 13e arron­dis­se­ment en contre-bas.

C’est clair, c’est un mes­sage. Jordan Bardella se moque de la Bien Pensance en signi­fiant qu’il a com­pris ses codes et les transcende.

Jordan Bardella savait qu’il allait pro­vo­quer l’ar­tiste qui est tom­bé dans le pan­neau, en repre­nant le même voca­bu­laire que la Police de la Pensée, à laquelle Obey obéit s’il veut gar­der ses mar­chés. Le vec­teur de celle-ci le cite : « L’extrême droite détourne de son sens une image qui sym­bo­lise la fra­ter­ni­té et le vivre-ensemble, pour lui faire dire tout autre chose, le repli natio­na­liste. »
• L’artiste amé­ri­cain n’hé­site pas à reprendre l’ex­pres­sion sur­an­née « extrême droite ».
Il reven­dique « une image qui sym­bo­lise la fra­ter­ni­té et le vivre-ensemble » : Ah bon ? Avec un clin d’œil appuyé au diable !
Pour lui, bien enten­du, la croix chré­tienne sym­bo­lise « le repli natio­na­liste ».

« Pas touche à mon Diable ! Obéis ! »

Ces argu­ments sont révé­la­teurs d’une gauche bobo en déperdition.

GGO
en col­la­bo­ra­tion avec PEB et PGS

Lire dans nos colonnes : Homo Festivus sur le Cours Mirabeau du 20 juin 2019, par Pierre-Émile Blairon

Q

Personne par­mi les grosses têtes de la mai­rie de Paris n’a invi­té l’ar­tiste amé­ri­cain à écrire :
LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ
car en fran­çais é majus­cule s’é­crit É.
Lire Pourquoi il faut accen­tuer les majus­cules sur le site Projet Voltaire

Q

12 Commentaires 

  1. Bravo pour votre article et les recherches qu’il a néces­si­tées !
    Quand est-ce que « la droite la plus bête du monde » com­pren­dra ce que Gramsci, idole de gôche, a théo­ri­sé il y a près d’un siècle : qu’il est ESSENTIEL d’oc­cu­per le champ cultu­rel, pour avoir des chances de gagner un jour le pou­voir ? Par ces sites comme le votre (oui, mer­ci ! Ne jamais négli­ger ce qu’on a sous les yeux pour s’en­flam­mer pour des hypo­thèses loin­taines et pleines de rêve (on va res­ter diplo­ma­tique, hein, dans l’expression !),
    Mais aus­si en repre­nant pied dans l’é­du­ca­tion, depuis la mater­nelle jus­qu’à l’u­ni­ver­si­té, délais­sée depuis long­temps, aban­don­née à la gôche (qui a bien com­pris et applué Gramsci, elle !)
    Et dans le domaine cultu­rel, celui « quo­ti­dien » de la popu­la­tion (Internet notam­ment, donc, de nos jours…),mais aus­si celui, plus éthé­ré mais féroce, de la culture géné­rale à tous ses niveaux. Il est signi­fi­ca­tif, de ce point de vue, que l’au­teur a jugé bon, lui, de réagir à cet affi­chage !
    Ce qui montre au pas­sage que le per­sé­cu­tio­nisme des gens alam­bi­qués (res­tons dipo­ma­tiques, là aus­si…) se croyant plus forts que les forts, est, comme d’ha­bi­tude, com­plé­te­ment faux. Est-ce avec des gens comme ça qu’on espère un jour reprendre le pou­voir.. et ser­vir intel­li­gem­ment notre pays ?

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  2. Se réfé­rer à SATAN, ou à un DIEU, n’est juste qu’une iden­ti­fi­ca­tion du fond d’un état d’es­prit, RIEN ne vous oblige à être sour­nois ou cupide ! C’est votre état d’es­prit et com­por­te­ment indi­vi­duel ou de masse ! Comme pour toute convic­tion (exor­cisme). Le reste n’est que légende et diva­ga­tions de veules ou couard(e)s, voire névrosé(e)s psy­chiques.
    Lisez cet article qui décrypte judi­cieu­se­ment l’é­tat d’es­prit de pas mal de gens –>
    https://lesalonbeige.fr/prise-de-pouvoir-gauchiste-au-conseil-de-leurope/

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    • Très bon rap­pel de la « vraie » réa­li­té, que cet article sur l’Europe, alors que les mer­dias nous font soi­gneu­se­ment « pas­ser à autre chose » !
      Quant aux « veules, couards, voire névrosé(e)s », on ne peut que regret­ter cette ten­dance à cher­cher des expli­ca­tions lourdes et confuses (sans doute parce qu’ils sont inca­pables de com­prendre des choses clai­re­ment expli­quées par quel­qu’un qui a prou­vé, depuis des années, qu’on pou­vait avoir confiance dans ce qu’il écrit !). Car l’ar­ticle décrit, lui, une réa­li­té. Peu dif­fu­sée, mais à un niveau où vivent ceux qui font bou­ger les choses…

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  3. L’article com­mence très bien, les expli­ca­tions et le décryp­tage sont excel­lents. Mais je ne com­prends pas très bien la fin, il n’y en a pas en fait, il n’y a pas d’ex­pli­ca­tion sur la croix… Cela n’a « à prio­ri » pas de sens qu’il y ait une croix au milieu de la rosace, sauf s’il s’a­git d’un leurre…
    Donc après réflexion, je me suis dit « c’est un leurre, et si ce Bardella était l’Antéchrist ? »

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    • Très bien vu ! Ce serait la meilleure (sinon la seule) explication…

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  4. Une preuve de plus que Macron a prê­té allé­geance à Satan.

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  5. Excellent article !
    Je ne me dou­tais de rien avant de l’a­voir lu.
    Nous sommes encore loin de connaître la Vérité, mais cet article de Nice Provence Info nous en approche un peu en DÉ-VOILANT ces luttes codées.

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  6. Les per­sonnes qui s’en réfèrent à la Tradition (comme moi) ne croient pas du tout au hasard, et il n’y a pas de hasard dans la pré­sence de cette affi­chette dans le bureau de Bardelle.
    Nous sommes à la fin d’un cycle qui doit s’a­che­ver dans les pires hor­reurs et l’in­ver­sion la plus totale de toutes les hautes valeurs qui ont pré­si­dé à sa nais­sance, comme il en va de tous les cycles qui se suc­cèdent et comme il en ira du pro­chain. Selon cette logique tra­di­tion­nelle qui se véri­fie ci-après, tous les Présidents qui ont gou­ver­né la France depuis la seconde guerre mon­diale se sont révé­lés de plus en plus catas­tro­phiques pour l’in­té­rêt de notre pays jus­qu’à cet oli­brius qui nous gou­verne actuel­le­ment ; celui, ou celle, qui le rem­pla­ce­ra sera donc, selon cette même logique, encore plus lamen­table que lui, si cela est conce­vable. J’ai la fai­blesse de croire que ce pour­rait être le frin­gant Bardella, la coque­luche de ces dames, qui pour­rait faire le tra­vail – il est bien par­ti pour accé­der aux plus hautes fonc­tions – et des rai­sons de pen­ser qu’il agit, sans doute incons­ciem­ment, ou d’après les direc­tives qui lui sont don­nées, selon le « En Même Temps » qui était l’une des atti­tudes les plus com­munes de son éven­tuel futur pré­dé­ces­seur (à voir les décla­ra­tions de Bardella sou­vent contra­dic­toires selon le public auquel il s’adresse).
    Aussi, je n’é­carte pas l’hy­po­thèse que cette croix qui rem­place ce penta­gramme ne serait pas une pro­vo­ca­tion à des­ti­na­tion du clan adverse, lequel se réfère mani­fes­te­ment à Satan, mais qu’elle n’at­ten­drait que l’ar­ri­vée au pou­voir du futur pré­sident pour se trou­ver sym­bo­li­que­ment inver­sée, si l’on admet tou­jours l’hy­po­thèse selon laquelle le futur pré­sident serait mani­pu­lé par la secte mon­dia­liste tout autant que sata­niste.
    Je ne crois pas que ce jeune homme soit plei­ne­ment conscient des mani­gances dont il est vic­time. J’en veux pour preuve l’in­fluence exer­cée sur le RN par Laurent Alexandre, le « pape » du trans­hu­ma­nisme en France.
    Ne dit-on pas que le diable est le prince du men­songe, de l’in­ver­sion, et qu’il est « duel, » c’est-à-dire capable de déso­rien­ter les hommes en affir­mant tout et son contraire ? C’est aus­si, plus pro­saï­que­ment, une tech­nique d’in­gé­nie­rie sociale, c’est-à-dire de pro­pa­gande des­ti­née à vider les esprits de tout bon sens pour les rendre plus mal­léables.
    Sinon, hors de ces hypo­thèses que je viens d’é­non­cer, je ne par­viens pas à com­prendre pour­quoi les « conseillers » de Bardella auraient repris et affi­ché de cette manière théâ­trale, lors de cette inter­ven­tion de Bardella, cette oeuvre d’un gau­chiste mon­dia­liste amé­ri­cain dénom­mé Obey (fai­sant ain­si réfé­rence à Orwell), « œuvre » qui se résume à un logo par­se­mé de sym­boles dont 99% des Français ne com­prennent pas la signi­fi­ca­tion et qui n’a de suc­cès que dans les cercles sata­nistes. Il existe bien d’autres manières (et d’ar­tistes) d’af­fir­mer ses propres idées que de recou­rir aux emblèmes de l’ad­ver­saire, avec tout ce qu’ils com­portent de charges émo­tion­nelles, spi­ri­tuelles et, sur­tout dans le cas qui nous inté­resse, iden­ti­taires. On ne se bat jamais sur le ter­rain choi­si par l’ennemi.

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    • Merci, j’aime beau­coup votre com­men­taire !
      Ceci dit, tout ça fait froid dans le dos. Et confirme ce que je raconte dans mes der­niers livres dont le titre est :
      « Nous dan­sons avec le diable »…
      Si je l’ai choi­si, c’est parce que, dans plu­sieurs de mes livres, je fais réfé­rence à un livre qui m’a fort inter­pel­lée il y a bien long­temps, la Danse avec le diable de Günther Schwab.

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  7. Il semble sur­tout que l’u­sage de psy­cho­tropes régu­liè­re­ment engendre de sacrés tarés ! La loi sur la fin de vie assis­tée risque d’être plus indis­pen­sable qu’on le pense, avec la quan­ti­té en cours et à venir, de gens ou zombi(e)s ingé­rables, dura­ble­ment et en sur­coût socié­ta­le­ment ! Zadistes compris…

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    • « « Il existe bien d’autres manières (et d’artistes) d’affirmer ses propres idées que de recou­rir aux emblèmes de l’adversaire, avec tout ce qu’ils com­portent de charges émo­tion­nelles, spi­ri­tuelles et, sur­tout dans le cas qui nous inté­resse, iden­ti­taires. « « On ne se bat jamais sur le ter­rain choi­si par l’ennemi. » »

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    • Très trou­blant ! Pourquoi M. Bardella reprend-t-il, joue-t-il, avec tous ces « codes » ?

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  1. Satan est le domaine réser­vé de la gauche bobo — Der Friedensstifter – […] bien com­pris com­ment fonc­tionne l’art dans le monde d’aujourd’hui et où se trouve l’argent(1). Il se glisse dans le Politiquement Correct,… 
  2. Satan est le domaine réser­vé de la gauche bobo — Der Friedensstifter – […] bien com­pris com­ment fonc­tionne l’art dans le monde d’aujourd’hui et où se trouve l’argent(1). Il se glisse dans le Politiquement… 

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