
Incendie criminel de Notre-Dame de Paris : les faits sont là
Marie-Thérèse Bal-Craquin(1) a réagi à notre article Notre-Dame de Paris : Le nouveau caprice du petit Macron, et nous fait parvenir des éléments qui étayent l’analyse de Pierre-Émile Blairon.
Nous publions ci-dessous son message et la remercions de son travail.
Analyse technique de l’incendie de Notre-Dame et conclusions
En février dernier (2019) la charpente a été traitée, (voir le reportage sur France 2) contre les insectes avec un gel.
Elle ne l’avait jamais été en plus de 800 ans d’existence, Paris étant parmi les zones géographiques les moins infestées par les termites et autres insectes nuisibles en France.
Il n’y avait donc aucune raison valable pour procéder à cette désinsectisation !
Le 15 avril 2019 la charpente prend feu et brûle en faisant un bruit très important pour un feu de bois situé à cette hauteur. Ce bruit gêne les reporters les obligeant à s’éloigner pour faire leur travail. De surcroît, le feu augmente assez significativement au moment où les pompiers sont intervenus comme si l’eau activait les flammes !
La charpente est en chêne. Or le chêne sec ne fait pas de flamme, il rougeoie d’où l’intérêt d’un tel bois pour les cheminées car c’est un feu qui dure très longtemps : une bûche de chêne peut tenir facilement un feu toute la nuit.
Des vidéos de bonne foi (non truquées) (caméra de surveillance) montreront par la suite une personne sur le toit de la cathédrale s’activant avec du feu sous forme d’éclairs ou au moins de grosses lueurs très brèves et jaunes-orangées comme seront les flammes de la charpente ensuite, après le départ des ouvriers. Puis cette personne disparaît.
L’entreprise, qui a désinsectisé, a été bernée en répandant non pas un produit désinsectiseur mais un produit pyrotechnique qu’on lui a obligatoirement fourni car elle n’est pas en mesure de le produire sur le plan chimique. Le produit de type « thermite » est composé d’oxyde de fer et d’aluminium métallique ce qui donne la couleur acajou obtenue après la pulvérisation et la couleur des flammes jaunes-orangées de l’incendie.
Depuis février le produit, sans doute associé à une colle, a séché et s’est solidifié sur les poutres comme une pâte devenue très fine, une sorte de vernis, sauf que ce n’était pas du vernis….
Le 15 avril 2019, il ne suffisait plus que d’un vrai « pot thermique » générant une chaleur intense de 2200 degrés grâce à la thermite, pour percer la toiture par sa très forte température et allumer ainsi toute la charpente pré-imbibée située nécessairement juste en dessous du toit. Le pot thermique, c’est la personne vue sur le toit avec des flammes jaunes-orangées qui met le feu.
En fait toute la charpente était un pot thermique avec cette fausse désinsectisation.
D’après les vidéos montrant des éclairs ou des flammes orangées-jaunes le pot thermique initial a été allumé classiquement avec une mèche de magnésium par la personne sur le toit, la toiture est en plomb donc aucun problème de perçage.
Après l’amorçage sur le toit le feu a gagné toutes les parties pulvérisées pendant la fausse désinsectisation. Sous l’action des lances incendies le feu augmente dans un 1er temps car l’eau active ce type de pyrotechnie avec des crépitements intenses et même de petites explosions. Si l’eau active ce genre de feu c’est en raison de l’extrême chaleur produite. En effet l’eau se craque au-dessus de 1100 degrés (elle se dissocie en se vaporisant pour les néophytes) libérant ainsi ses deux gaz : l’hydrogène et l’oxygène d’où les flammes sur un bois qui d’ordinaire n’en fait pas. Ces deux gaz : H² et O s’additionnent à l’oxyde de fer et à l’aluminium, augmentant la combustion !
Ce qui explique pourquoi la charpente a flambé comme un feu de paille sous les lances à incendie, les pompiers ne sachant pas à quel genre de feu ils avaient affaire, et pour cause !
Un pot thermique est capable de détruire un char, c’est pour ça qu’il a été inventé !
Lors d’un incendie, une couche de charbon se forme autour des poutres de grosse section comme celles utilisées pour assembler la charpente de Notre Dame. Cette couche isole le cœur de la poutre, ce qui lui permet de résister malgré les flammes, en d’autres termes, sans accélérateur de combustion, le feu se serait éteint de lui-même !
Il s’agit donc d’un attentat grandiose, soigneusement calculé et qui ne peut être l’œuvre que d’esprits pervers de la pire espèce venant d’un État et non pas d’un simple quidam ou terroriste primaire.
Florence Vivès
Et pourtant en 2013, 6 années à peine avant cet incendie destructeur, la cathédrale célébrait ses 850 ans d’histoire. À cette occasion une nouvelle sonnerie était installée dans les tours, composée de huit cloches et d’un nouveau bourdon.
1163 – 2013
850 ans d’Histoire, d’Art et de Spiritualité au cœur de la Cité seront célébrés au cours de cette année marquée par de nombreuses festivités, cérémonies et actions de grâces ainsi que par de grandes réalisations culturelles, dont certaines s’inscriront en droite ligne des bâtisseurs de cathédrales.
Parmi les projets d’envergure, une nouvelle sonnerie dans les tours de la cathédrale composée de huit cloches et d’un nouveau bourdon qui couronneront le grand bourdon Emmanuel, la réfection de l’éclairage intérieur, la restauration du Grand Orgue, une saison musicale exceptionnelle de la maîtrise de la cathédrale alliant patrimoine et création, un congrès scientifique, des expositions, des spectacles monumentaux, des ouvrages publiés et, une nouvelle muséographie des collections du Trésor.
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[Note de la rédaction] L’échafaudage métallique nous interpelle, voilà pourquoi nous avons retenu cette photo en illustration de cet article. Quiconque a une cheminée, sait bien que le chêne est le meilleur bois de chauffe : il brûle lentement et dégage une forte chaleur.
Les flammes qui ont réduit en cendres la lourde et multi-séculaire charpente de Notre-Dame ont dû générer une fournaise de très haute intensité.
Alors pourquoi les tubulures en acier de l’échafaudage ne se sont-elles même pas courbées puisque l’acier se ramollit à partir de 500°C ?
Cette observation, que tout le monde peut faire, conforte l’analyse proposée ci-dessus par Florence Vivès.
Marie-Thérèse Bal-Craquin , Ulesi, Développement personnel, professionnel, organisationnel
Ces cloches sournoisement appelées Emmanuel, des étoiles à six branches tout autour de la Sainte Vierge-Marie et Jésus, la femme Générale des sapeurs-pompiers mystérieusement décédée juste avant de rendre son compte-rendu, les deux idiots ricanant devant ce désastre, plus encore ce qui est annoncé dans l’article lèvent totalement le doute sur l’éventualité de la piste criminelle.
complotisme !
c’est un mégot mal éteint qui a mis le feu à des poutres en chêne massif
ça a bien fait rire Macron et Philippe copains comme cochons qui s’entendaient comme larrons en foire !
Que non ! C’est la goutte d’eau qui met le feu aux poutres… ou l’étincelle qui fait déborder le vase ? 😀
J’ai expérimenté (pré-ado) le programme de chimie (4ème/3ème) avec un mélange chlorate de potasse et sucre blanc en poudre (à la louche 50/50) et comme mèche un mince ruban de magnésium que j’allumai avec une goutte d’acide sulfurique… et vlouf ! Le gros tas d’herbe du jardin que mon père n’arrivait pas à faire brûler s’est quasiment volatilisé. J’étais déjà farceur ! 😀
Je faisais pareil jusqu’à l’interdiction du chlorate de soude. Maintenant c’est la thermite (poudre d’aluminium et oxyde de fer) que des apprentis terroristes utilisent avec des tutoriels sur Yout*** : 2000° avec explosion ou gerbes de flammes, très dangereux et cela ressemble bien à l’incendie de la cathédrale.
MAIS NON, on sait bien que ce sont les tessons de bouteille qui mettent le feu à la colline, alors là ça a pris tout de suite quand le soleil est apparu.
Bon Dieu mais c’est bien sûr ! 😀
Y’a aussi les court-circuits qui cuicuitent sous les charpentes.
« ils » nous prennent vraiment pour des cons de la lune !
Les fomenteurs (et vrais menteurs) de ce projet sataniste brûleront en enfer pour l’éternité
On va manquer de joues et de lumignons …