
La guerre des deux mondes
Les gens lucides, c’est-à -dire ceux qui ont échapÂpé à l’endoctrinement généÂral et qui ont donc garÂdé un miniÂmum de bon sens, ont touÂjours une lonÂgueur d’avance ; ils ont touÂjours, pour leur malÂheur, raiÂson trop tôt ; ceux qu’on appelle comÂploÂtistes sont ceux qui devinent à l’avance les proÂjets des comÂploÂteurs.
La loboÂtoÂmiÂsaÂtion des popuÂlaÂtions par l’Ordre monÂdial, qui fut parÂtiÂcuÂlièÂreÂment effiÂcace en Europe et surÂtout en France, n’a pas débuÂté en 2020 avec la pseuÂdo-panÂdéÂmie et le pseuÂdo-vacÂcin, qui étaient tous les deux des insÂtruÂments desÂtiÂnés à réduire les popuÂlaÂtions et à iniÂtier l’hybridation homme-robot vouÂlue par les transÂhuÂmaÂnistes. Cette date indique juste le moment où « l’élite » monÂdiaÂliste actuelle, hériÂtière des sectes sataÂnistes qui l’ont préÂcéÂdée, a jugé qu’il était temps de donÂner le coup de grâce final, les peuples ayant été sufÂfiÂsamÂment désÂinÂforÂmés depuis des décenÂnies, des siècles et des millénaires.
54 secondes de lecture, 90 % de lecteurs en moins
À parÂtir de cet insÂtant, c’est-à -dire 54 secondes de lecÂture, j’ai déjà perÂdu 90 % de mes lecÂteurs potenÂtiels.
C’était exacÂteÂment mon but ; si ces 90 % n’ont touÂjours rien comÂpris à l’énorme maniÂpuÂlaÂtion dont ils sont les vicÂtimes, il n’y a plus grand-chose à tenÂter pour qu’ils ouvrent enfin les yeux. D’autant plus que les monÂdiaÂlo-sataÂnistes ne cachent plus rien de leurs proÂjets !
À la vériÂté, ce n’est pas tant qu’ils sont stuÂpides ou non-éduÂqués puisqu’on trouve parÂmi eux, et même en majoÂriÂté, des gens ayant reçu une insÂtrucÂtion supéÂrieure, mais c’est parce qu’ils refusent absoÂluÂment de se remettre en quesÂtion et de sorÂtir de leur « zone de confort » (comÂpreÂnez : de leur fauÂteuil et de leur télé insÂtalÂlée au beau milieu de leur salon), ce qui ferait d’eux des révoÂluÂtionÂnaires évenÂtuels.
Je ne m’adresse donc qu’aux 10 % resÂtants (soyons optiÂmistes, à l’échelle plaÂnéÂtaire, ça fait quand même 800 milÂlions d’individus et, à l’échelle franÂçaise 7 millions !)
Où sont passés les Gaulois ?
Il est vraiÂsemÂblable que ce qui les a le plus choÂqués (je parle des 90 % qui ont renonÂcé à pourÂsuivre la lecÂture de cet article au-delà de ces 54 secondes), c’est que je fais remonÂter à des milÂléÂnaires le début de leur endocÂtriÂneÂment que je situe au début de l’Âge de fer, le kali-yuga, le début de notre fin de cycle indo-euroÂpéen, qui corÂresÂpond, est-ce un hasard ? aux débuts de l’écriture, vers 4500 avant notre ère.
Les hisÂtoÂriens ne remontent guère leurs recherches au-delà de 800 ans avant J.-C., tout ce qui préÂcède étant consiÂdéÂré, à peu de choses près, comme de la préÂhisÂtoire, quelque chose de très flou, en gros, l’âge des cavernes, où les hommes ont seuleÂment appris, en pluÂsieurs milÂlions d’années, à lever un gourÂdin pour pouÂvoir se nourÂrir et à desÂsiÂner quelques aniÂmaux sur la paroi de leurs grottes ; les hisÂtoÂriens offiÂciels laissent donc alors la place aux éluÂcuÂbraÂtions de leurs colÂlègues tout ausÂsi offiÂciels que sont les archéoÂlogues et anthroÂpoÂlogues qui sont cenÂsés remonÂter le temps indéÂfiÂniÂment grâce aux vesÂtiges qu’ils vont anaÂlyÂser pour trouÂver l’origine du monde, de la Terre et de ses habiÂtants ; ainÂsi, les « hisÂtoÂriens » ne connaissent de l’Histoire du monde que le derÂnier moment de notre cycle final, celui où tout est déjà en décomÂpoÂsiÂtion depuis longÂtemps et leurs colÂlègues archéoÂlogues et anthroÂpoÂlogues tournent en rond, butant sur les mêmes vesÂtiges, la pluÂpart des grandes civiÂliÂsaÂtions pasÂsées ne laisÂsant aucune trace de leur pasÂsage, comme ce sera le cas de la nôtre.
Les études hisÂtoÂriques s’apparentent à la rédacÂtion d’un jourÂnal, un quoÂtiÂdien, qui recense les faits divers et les vies et actes des hommes resÂponÂsables de ces faits divers quand ils n’ont pas leur source dans des phéÂnoÂmènes natuÂrels.
L’Histoire offiÂcielle, ou proÂfane, que cerÂtains consiÂdèrent comme une science, n’est donc que la relaÂtion de périÂpéÂties et d’anecdotes plus ou moins superÂfiÂcielles qui engagent les hommes et la nature, mais qui ont quand même un intéÂrêt, celui de perÂmettre de comÂprendre, comme les sympÂtômes d’une malaÂdie à venir – une érupÂtion de bouÂtons, par exemple – les mouÂveÂments de fond inviÂsibles qui vont surÂgir à la surÂface comme paliers de la grande Histoire cyclique ; ces alertes constiÂtuent, pour un indiÂviÂdu, l’avertissement qui lui est donÂné de proÂcéÂder à des chanÂgeÂments quelÂqueÂfois radiÂcaux dans ses habiÂtudes de vie, et, sur le plan civiÂliÂsaÂtionÂnel, pour une sociéÂté tout entière, d’avoir à chanÂger de cap au risque d’un écrouÂleÂment, lent ou souÂdain.
La majoÂriÂté des humains ne prend comme étaÂlon du temps que la durée de leur propre vie, à l’heure actuelle approxiÂmaÂtiÂveÂment 85 ans, les hisÂtoÂriens proÂfanes remontent à 10 fois plus loin en arrière. Les priÂmorÂdiaÂlistes – tenants de la Tradition priÂmorÂdiale -, eux, s’appuyant sur la durée des cycles natuÂrels, ceux des civiÂliÂsaÂtions, l’observation des mouÂveÂments stelÂlaires et les connaisÂsances transÂmises par les sociéÂtés traÂdiÂtionÂnelles, élarÂgissent consiÂdéÂraÂbleÂment leur vision du monde en estiÂmant qu’il est plus sage de se réféÂrer à un autre étaÂlon temÂpoÂrel qui est la durée de notre grand cycle, le Manvantara, qui a comÂmenÂcé il y a 64 800 ans.
Les anaÂlyses et découÂvertes des hisÂtoÂriens, des archéoÂlogues et autres anthroÂpoÂlogues proÂfanes n’ont qu’une créÂdiÂbiÂliÂté limiÂtée du fait que leur démarche est fonÂdaÂmenÂtaÂleÂment fausÂsée, et va même à l’inverse de la réaÂliÂté ; elle se base sur les découÂvertes techÂniques qui se sont sucÂcéÂdé en avaÂlanche à la fin du XIXe siècle en même temps qu’est appaÂrue la théoÂrie évoÂluÂtionÂniste de Darwin sur l’origine simiesque de l’Homme. Ces pseuÂdo-scienÂtiÂfiques se sont alors converÂtis à la reliÂgion scienÂtiste du Progrès qui a remÂplaÂcé le chrisÂtiaÂnisme à bout de souffle, fonÂdant leurs théoÂries sur une évoÂluÂtion qui va du pire au meilleur alors que l’on constate exacÂteÂment le contraire lorsqu’on observe les lois natuÂrelles et que le cycle qui s’achève proÂcède, comme tout ce qui existe sur Terre, d’un dérouÂleÂment invoÂluÂtif du temps et de la grande Histoire cyclique qui va du meilleur au pire, de la spiÂriÂtuaÂliÂté à la matéÂriaÂliÂté, de la connaisÂsance à l’ignorance, du Bien au Mal, de l’ Âge d’or à l’Âge de fer avant de recomÂmenÂcer un nouÂveau cycle.
L’instruction qui a été donÂnée à nos enfants proÂcède de cette invoÂluÂtion, puisqu’on peut dater l’organisation de l’école telle qu’on la connaît aujourd’hui à cette fin du XIXe siècle avec les lois insÂtauÂrées par Jules Ferry ; même si la quaÂliÂté de l’instruction franÂçaise, hors cette anoÂmaÂlie fonÂdaÂmenÂtale, s’est mainÂteÂnue à un très bon niveau – inéviÂtaÂbleÂment superÂfiÂciel cepenÂdant – jusqu’au milieu du XXe siècle, exacÂteÂment jusqu’à mai 68. Elle n’a cesÂsé de se dégraÂder depuis au fil de l’inaction des ministres de l’Éducation natioÂnale qui se sont sucÂcéÂdé jusqu’à nos jours dans l’unique but de la faire disparaître.
Et c’est ainÂsi que Marion Maréchal, fonÂdaÂtrice d’une grande école, a pu déclaÂrer le 8 octobre 2024 sur Cnews : « Nous affirÂmons notre droit à la contiÂnuiÂté hisÂtoÂrique et notre attaÂcheÂment à notre hériÂtage grec, romain et chréÂtien », oubliant que notre hériÂtage direct n’est ni grec, ni romain, ni chréÂtien, mais venant de nos ancêtres les Gaulois, la plus grande comÂpoÂsante du peuple celte étaÂblie sur un terÂriÂtoire supéÂrieur à celui de la France actuelle, dont cette jeune femme d’origine breÂtonne ne devrait pas avoir à rougir.
Car, même si nos ancêtres n’ont pas construit d’aqueduc ni d’amphithéâtre, même s’ils n’ont pas laisÂsé des ouvrages d’histoire ou des recueils de poèmes, les Romains ont pu les envaÂhir grâce aux routes construites par les Gaulois, et ont pu apprendre à cultiÂver la terre avec la charÂrue invenÂtée par nos ancêtres ; si les Gaulois n’ont pas laisÂsé d’œuvre écrite, ce n’est pas parce qu’ils ne connaisÂsaient pas l’écriture, c’est parce qu’ils priÂviÂléÂgiaient l’enseignement par l’effort de la mémoire, et ausÂsi, parce qu’ils étaient de grands oraÂteurs. De même, s’ils n’ont pas laisÂsé d’œuvre archiÂtecÂtuÂrale ni de staÂtue, c’est parce qu’ils confecÂtionÂnaient leurs maiÂsons et leurs icônes en bois. La sagesse et la spiÂriÂtuaÂliÂté de nos druides était uniÂverÂselÂleÂment resÂpecÂtée et leurs connaisÂsances saluées jusqu’en Inde ; Pythagore y a puiÂsé l’essentiel de son enseiÂgneÂment. Mais le pays de Descartes, ce phiÂloÂsophe qui assiÂmiÂlait les aniÂmaux à des machines (ça n’était déjà pas de très bon augure !), a touÂjours préÂféÂré le ratioÂnaÂlisme grec et la force romaine comme fonÂdeÂments de sa sociéÂté.
En fait, les Français ont touÂjours priÂviÂléÂgié ce qui vient d’ailleurs, même si ces apports extéÂrieurs constiÂtuent cerÂtaines comÂpoÂsantes de l’esprit de notre peuple, je pense, là , surÂtout au chrisÂtiaÂnisme ‑heuÂreuÂseÂment- euroÂpéaÂniÂsé. Et, pour être un peu plus criÂtique, je pense ausÂsi à la proÂpenÂsion peu louable, qui nous vient égaÂleÂment des Gaulois, à la colÂlaÂboÂraÂtion, oui, comme celle que les Français ont praÂtiÂquée sans verÂgogne penÂdant la deuxième guerre monÂdiale, penÂchant peu gloÂrieux qui a vu le jour avec les « Gallo-Romains », c’est-à -dire la souÂmisÂsion à l’envahisseur, qui consiste à praÂtiÂquer une xénoÂphiÂlie teinÂtée d’admiration béate pour l’étranger qui ne vient pas touÂjours avec les meilleures intenÂtions du monde ; dans ce contexte, l’islam qui, jusÂteÂment, signiÂfie « souÂmisÂsion », a de belles persÂpecÂtives d’avenir en France.
Ceci pour monÂtrer que même une Marion Maréchal, a prioÂri oppoÂsée à l’invasion étranÂgère, a été sufÂfiÂsamÂment berÂnée par l’éducation reçue jusqu’à en oublier ce qui constiÂtue – qu’on le veuille ou non – la colonne verÂtéÂbrale du peuple franÂçais, sa marque de fabrique : son oriÂgine gauloise.
Cette oriÂgine n’est pourÂtant pas si loinÂtaine et s’inscrit même dans le laps de temps auquel ont accès les hisÂtoÂriens proÂfanes puisque les preÂmiers Celtes font leur appaÂriÂtion en Gaule au VIe siècle avant notre ère. Pourquoi cet ostraÂcisme ? Pour nous couÂper de nos vériÂtables racines.
Cette anecÂdote sur Marion Maréchal n’est que l’un des aspects négaÂtifs de l’action, ou de la penÂsée, de cette jeune femme qui a déjà venÂdu son âme au diable puisqu’elle est, comme sa tante, récepÂtive à toutes les consignes édicÂtées par l’Ordre monÂdial (voir nos articles : Voyage en Absurdie, les dépuÂtés euroÂpéens votent pour la guerre contre la Russie(1) et ausÂsi : Traditionalistes contre gloÂbaÂlistes : le grand chamÂbarÂdeÂment plaÂnéÂtaire(2))
Il est vraiÂsemÂblable que le proÂchain but de cette ambiÂtieuse poliÂtiÂcienne sera de remÂplaÂcer Marine Le Pen dans ses mêmes foncÂtions et de contiÂnuer son Å“uvre de détourÂneÂment du vote de plus de 10 milÂlions de Français qui croient encore naïÂveÂment que l’une comme l’autre vont accéÂder au Pouvoir afin d’exaucer leurs vÅ“ux. Elles ont bien d’autres chats à fouetÂter (ou à caresÂser).
On se renÂdra compte que, par ce biais, ce ne sont pas seuleÂment les Gaulois qui seront pasÂsés à la trappe mais leurs desÂcenÂdants loboÂtoÂmiÂsés de l’après-2020, à savoir les Français eux-mêmes.
Cette préÂsenÂtaÂtion nous perÂmet égaÂleÂment de monÂtrer que Macron n’a pas grand mérite à revenÂdiÂquer la desÂtrucÂtion de la France, dans son corps et dans son esprit : le gros du traÂvail a été fait bien avant son arriÂvée au Pouvoir ; il n’a eu qu’à pousÂser ce qui allait tomÂber. Il est une sorte d’exécutant des basses Å“uvres, en clair, on appelle ça un bourreau.
Le règne du démon
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J’ai souÂvent démonÂtré que Titan et Satan ont la même oriÂgine sémanÂtique et même foncÂtionÂnelle, les deux faces d’une même médaille, tous les deux rêvant de remÂplaÂcer Dieu sur Terre, le preÂmier traÂvaillant dans le cadre de la sociéÂté traÂdiÂtionÂnelle afin de la corÂrompre dans le déchaîÂneÂment techÂnoÂloÂgique et roboÂtique qui est l’apanage de la matéÂriaÂliÂté, du « proÂgrès », et le second, créaÂture maléÂfique issue des reliÂgions du Livre, attenÂdant l’heure de se maniÂfesÂter au grand jour et de se proÂclaÂmer roi de ce monde, en tout cas roi du monde cauÂcheÂmarÂdesque pour les humains qui se met en place.
Satan a déjà comÂmenÂcé à actiÂver ses réseaux d’adeptes de par le monde ; les céréÂmoÂnies ouvrant et ferÂmant les J.O. sont là pour le prouÂver ainÂsi que les divers specÂtacles offerts par les salÂtimÂbanques sataÂnistes qui rasÂsemblent, chaÂcun, des dizaines de milÂliers de fans (fanaÂtiques). Actuellement, ce sont les scanÂdales à connoÂtaÂtion pédoÂphile, impliÂquant cerÂtains membres de « l’élite », qui sont révéÂlés de plus en plus nomÂbreux comme l’éclosion de fleurs vénéÂneuses qui surÂgissent brusÂqueÂment de la pourÂriÂture des proÂfonÂdeurs(3).
C’est l’action de ces frères jumeaux, Satan-Titan, et celle de leurs supÂpôts au traÂvers de diverses sectes penÂdant de nomÂbreux siècles qui a proÂduit cette dégéÂnéÂresÂcence, voire cette disÂpaÂriÂtion à court terme, dont nous sommes vicÂtimes.
Ce qui se passe réelÂleÂment, en ce moment même, est hors de porÂtée de comÂpréÂhenÂsion de nos conciÂtoyens pateÂlins.
Il me faut encore recouÂrir à l’aide de nos ancêtres les Gaulois qui penÂsaient qu’il exisÂtait trois mondes : celui d’en bas, celui d’en haut et le leur, celui qu’ils co-naisÂsaient et dont ils s’appropriaient le sol pour l’enrichir de leurs labours et de leurs moisÂsons : la surÂface de la Terre.
Celui d’en bas est le royaume de Satan, tapi jusqu’à préÂsent dans les proÂfonÂdeurs de la plaÂnète, seconÂdé d’une manière plus voyante par son comÂpère Titan qui ne cesse de ravaÂger, par ses construcÂtions et implanÂtaÂtions artiÂfiÂcielles tapaÂgeuses et polÂluantes, la terre de nos ancêtres qui étaient essenÂtielÂleÂment des artiÂsans et des payÂsans jusqu’à une période encore récente.
Il y eut un tourÂnant déciÂsif lorsque le diable est sorÂti de sa boîte en 2020, accomÂpaÂgné de sa cohorte de zombies.
J’ai dit et répéÂté maintes fois que de l’inférieur ne peut naître le supéÂrieur, que le monde spiÂriÂtuel est supéÂrieur au monde matéÂriel, que le grand priÂviÂlège du monde d’en haut, le monde spiÂriÂtuel, est d’avoir la capaÂciÂté de desÂcendre s’il en est besoin alors qu’il est stricÂteÂment imposÂsible au monde d’en bas, le monde matéÂriel, de monÂter sans autoÂriÂsaÂtion du monde spiÂriÂtuel ; c’est pour cette raiÂson qu’il est utoÂpique pour les titaÂno-sataÂnistes de penÂser gagner la guerre des deux mondes qu’ils ont bien impruÂdemÂment déclenÂchée.
C’est vrai qu’ils auront quand même un avanÂtage : la guerre, du fait de l’impossibilité du monde d’en bas de monÂter, se fera sur le terÂrain qui est le leur, qu’ils parÂtagent avec l’Humanité dont ils ne rêvent que de se débarrasser.
Diable ! Le moment est arriÂvé où je viens de perdre encore 90 % des 10 % de lecÂteurs qu’il me resÂtait à convaincre. Nous en sommes donc désorÂmais à 1 % de lecÂteurs capables de nous suivre. C’est ampleÂment sufÂfiÂsant pour continuer.
Une nouvelle génération d’éveilleurs
Le monde des étoiles apparÂtient au monde d’en haut. C’est une lapaÂlisÂsade.
Nos ancêtres ont obserÂvé le ciel penÂdant des milÂléÂnaires (ils ne se contenÂtaient pas de griÂbouiller au fond de leurs cavernes) ; leurs connaisÂsances en astroÂnoÂmie étaient même quelÂqueÂfois supéÂrieures à celles de nos savants contemÂpoÂrains, et ils disÂpoÂsaient de bien d’autres pouÂvoirs inacÂcesÂsibles aux petits hommes d’aujourd’hui obliÂgés d’inventer des proÂthèses, comme tout ce qui a trait au domaine de la techÂnoÂloÂgie, pour remÂplaÂcer ces pouÂvoirs perÂdus.
Même l’intelligence devient artiÂfiÂcielle ; ces petits hommes en sont fiers(4), qui consiÂdèrent cette I.A. comme l’aboutissement de leurs recherches et leur ultime espoir de pouÂvoir transÂforÂmer les hommes en robots.
L’I.A. ne pourÂra pourÂtant jamais remÂplaÂcer cette petite flamme qui brille en chaque être humain depuis la nuit des temps et qui le relie, comme un hériÂtage préÂcieux et perÂmaÂnent, aux oriÂgines de la vie, aux oriÂgines de l’Homme, aux oriÂgines du monde, mais ausÂsi aux oriÂgines de lui-même, cette petite flamme transÂmise, concrèÂteÂment et symÂboÂliÂqueÂment, de généÂraÂtion en généÂraÂtion penÂdant plus d’un milÂlier d’années par les vesÂtales romaines, qu’ont évoÂquée quelques grands penÂseurs, dans des registres bien difÂféÂrents, comme Jean Giono, ou René Guénon(5).
Une amie m’a conseillé de regarÂder les vidéos d’un jeune astroÂlogue qui reprend cette idée dans une vidéo qu’il intiÂtule : Message pour la Résistance de 2050 :
YouTube requiert une authenÂtiÂfiÂcaÂtion pour accéÂder à cette vidéo
François Barthomeuf assiÂmile cette petite flamme à ce qui constiÂtue la parÂtie immorÂtelle de l’être humain, l’âme, à traÂvers la sucÂcesÂsion des vies pasÂsées et à venir, sans pour autant proÂnonÂcer le mot de « réinÂcarÂnaÂtion », peut-être pour ne pas effaÂrouÂcher ses audiÂteurs. Il rejoint nos proÂpos sur le sujet en préÂdiÂsant que cette petite flamme sera la seule issue de secours contre les proÂjets funestes que nous a concocÂté l’Ordre monÂdial.
C’est encore dans cette vidéo qu’il explique que la séquence « vacÂcin », ou pluÂtôt « pseuÂdo-vacÂcin », de 2020 était surÂtout desÂtiÂnée à inauÂguÂrer le cycle d’intrusion du proÂjet totaÂliÂtaÂriste dans ce que l’être humain a de plus intime : l’intérieur de son corps et il démontre de façon magisÂtrale que l’Intelligence artiÂfiÂcielle n’aboutira qu’à nier le staÂtut même de l’être humain qui, pasÂsant par l’hybridation, sera proÂgresÂsiÂveÂment transÂforÂmé en robot(6).
Le titre de cette vidéo sugÂgère que la parÂtie de l’espèce humaine, qui ne s’est pas souÂmise aux injoncÂtions du Système, finiÂra par se révolÂter et casÂser le proÂcesÂsus de roboÂtiÂsaÂtion dans les années 2050. Il nous paraît que cette échéance est bien loinÂtaine et que l’auteur de cette vidéo ne tient pas compte de l’accélération qui se proÂduit en fin de cycle, si tant est que son anaÂlyse astroÂloÂgique intègre le prinÂcipe même d’un temps cyclique, une notion natuÂrelle issue de l’observation des cycles des végéÂtaux, des aniÂmaux, des saiÂsons et des astres qui était comÂmune à toutes les anciennes civiÂliÂsaÂtions traÂdiÂtionÂnelles dont se réclament les priÂmorÂdiaÂlistes, avant que cette notion ne soit abanÂdonÂnée pour celle, toute artiÂfiÂcielle, d’un temps linéaire (un début-une fin) avec l’arrivée des reliÂgions du Livre.
Cet astroÂlogue nouÂvelle généÂraÂtion anime un site consaÂcré à l’astrologie(7) où il proÂpose notamÂment des cycles de forÂmaÂtion à cette disÂciÂpline qui constiÂtue l’une des plus anciennes sciences sacrées (avec l’astronomie ou l’alchimie, entre autres).
Les Chaldéens mésoÂpoÂtaÂmiens sont les plus anciens sages connus ayant exerÂcé cette disÂciÂpline et l’ayant transÂmise de par le monde.
Diodore de Sicile écrit ceci, à leur proÂpos, dans son ouvrage Bibliothèque hisÂtoÂrique : « Les Chaldéens enseignent que le monde est éterÂnel de par sa nature, qu’il n’a jamais eu de comÂmenÂceÂment et qu’il n’auÂra pas de fin. Selon leur phiÂloÂsoÂphie, l’ordre et l’arÂranÂgeÂment de la matière sont dus à une proÂviÂdence divine ; rien de ce qui s’obÂserve au ciel n’est l’efÂfet du hasard ; tout s’acÂcomÂplit par la volonÂté immuable et souÂveÂraine des dieux. Ayant obserÂvé les astres depuis les temps les plus recuÂlés, ils en connaissent exacÂteÂment le cours et l’inÂfluence sur les hommes, et préÂdisent à tout le monde l’aÂveÂnir. »
Lorsqu’on s’aventure sur Wikipedia, désorÂmais totaÂleÂment sous la tutelle du Système, on s’aperçoit que l’article consaÂcré à l’astrologie a été paraÂsiÂté par ce qu’on appelle les offiÂcines de « vériÂfiÂcaÂtion », en fait, la nouÂvelle Inquisition qui frappe d’excommunion (ou d’excommunication) toute idée ou proÂpos qui ne s’insère pas dans le poliÂtiÂqueÂment corÂrect étaÂbli par l’Ordre monÂdial et nos nouÂveaux maîtres titaÂno-sataÂnistes. Mais leur interÂvenÂtion est telÂleÂment cariÂcaÂtuÂrale qu’elle enlève toute créÂdiÂbiÂliÂté à leurs proÂpos, jugez-en vous-mêmes : « L’astrologie est consiÂdéÂrée comme une pseuÂdosÂcience releÂvant du charÂlaÂtaÂnisme, une croyance indûÂment préÂsenÂtée comme scienÂtiÂfique, ou comme une superÂstiÂtion. L’astrologie se place, par sa méthode même, en dehors du domaine rationÂnel ou scienÂtiÂfique. Ses préÂtenÂdues capaÂciÂtés préÂdicÂtives ont été réfuÂtées par diverses études scienÂtiÂfiques. »
En quatre lignes, tous les mots-clés propres à effrayer le « proÂgresÂsiste » moyen y sont : pseuÂdosÂcience, charÂlaÂtaÂnisme, croyance, superÂstiÂtion.
Nous pouÂvons en déduire que le Système sait parÂfaiÂteÂment où sont ses enneÂmis. Cela nous conforte dans l’idée que nous sommes sur la bonne voie.
François Barthomeuf consacre trois autres vidéos au thème astral d’Emmanuel Macron qui nous apportent de surÂpreÂnantes révéÂlaÂtions :
• Épisode 1 : Pluton et le thème d’Emmanuel Macron(8)
Macron est arriÂvé au pouÂvoir en se cachant sous un masque, ce qui est l’une des caracÂtéÂrisÂtiques de ceux qui sont marÂqués par la plaÂnète Pluton. Mais François Barthomeuf avait détecÂté, dès son accesÂsion à la Présidence, sa vériÂtable perÂsonÂnaÂliÂté qui est celle d’un dicÂtaÂteur en potenÂtiaÂliÂté.
Le pouÂvoir va mater féroÂceÂment les preÂmières révoltes (Gilets jaunes, payÂsans).
C’est le règne du menÂsonge et de la disÂsiÂmuÂlaÂtion qui atteinÂdra son apoÂgée avec les preÂmières mesures vexaÂtoires envers le peuple sous couÂvert de pseuÂdo-panÂdéÂmie en 2020 ; les macroÂnistes en proÂfitent pour démanÂteÂler les strucÂtures finanÂcières et écoÂnoÂmiques de la France et vendre à l’encan nos pépites indusÂtrielles.
• Épisode 2 : Le Monarc(9)
L’anagramme de Macron dévoile sa vériÂtable ambiÂtion : Monarc ; Macron se dénomÂmeÂra lui-même Jupiter, le roi des dieux, ce qui est conforme à sa mégaÂloÂmaÂnie.
Dans cette phase, où les citoyens comÂmencent à monÂtrer les dents, Macron va s’ingénier à fragÂmenÂter les revenÂdiÂcaÂtions et à dresÂser les difÂféÂrentes fracÂtions sociales les unes contre les autres pour gagner du temps avant que le peuple, dans son ensemble, ne s’aperçoive qu’il a affaire à un pouÂvoir totaÂliÂtaire et que les élites ne sont pas du tout bienÂveillantes envers lui mais, bien au contraire, qu’elles ne visent qu’à le détruire.
• Épisode 3 : Révolution de 1789 et Révolution de 2026(10) :
François Barthomeuf évoque une confiÂguÂraÂtion excepÂtionÂnelle en mars-avril 2026 qui annonce des bouÂleÂverÂseÂments déciÂsifs en France : c’est Pluton dans le signe du Verseau oppoÂsé à Jupiter dans le signe du Lion ; quand on remonte le temps, la seule conjoncÂtion idenÂtique se situe en… juillet 1789 !
François Barthomeuf évoque ausÂsi à la même époque l’éventualité d’un proÂcès de Macron, suite à ce qui paraît s’annoncer comme une Révolution, mais il nous fait remarÂquer qu’il faut ausÂsi, pour que cette Révolution réusÂsisse, qu’elle soit menée, d’en haut, par un perÂsonÂnage qui disÂpoÂseÂrait « d’une légiÂtiÂmiÂté morale, par rapÂport à la France, un nom qui résonne à l’oreille des Français, qui dépasse les cliÂvages des parÂtis, qui réunisse toute la popuÂlaÂtion franÂçaise fragÂmenÂtée au traÂvers d’une vision phiÂloÂsoÂphique (spiÂriÂtuelle ?) pour la France. »
J’ai penÂsé, en lisant ce porÂtrait, à Pierre de Gaulle, petit-fils du Général, perÂsonÂnage de caracÂtère mais disÂcret, aux idées pleines de bon sens et de sagesse, sufÂfiÂsamÂment jeune (61 ans) pour exerÂcer de hautes foncÂtions. Encore une fois, c’est en lisant sa bioÂgraÂphie édiÂtée par Wikipedia que je me ralÂlie, par contreÂcoup, à l’éventualité de sa canÂdiÂdaÂture.
En effet, les rédacÂteurs de Wikipedia, anoÂnymes, bien sûr, ont monÂtré, en rédiÂgeant cette bioÂgraÂphie, leurs aspects les plus répuÂgnants, car elle ne peut pas être plus infâme pour cet homme qui, me semble-t-il, mérite le resÂpect. Le Système fera tout pour qu’il ne puisse pas constiÂtuer un recours le moment venu.
Je me suis ausÂsi intéÂresÂsé à François Barthomeuf parce qu’il pourÂrait repréÂsenÂter l’un de ces nouÂveaux éveilleurs de conscience que nous appeÂlons de nos vÅ“ux. L’un de ceux que Julius Evola appeÂlait les « êtres difÂféÂrenÂciés », susÂcepÂtibles de préÂpaÂrer le nouÂveau cycle qui s’annonce.
Préparer les germes du cycle futur
Pour expliÂquer pourÂquoi j’ai accepÂté, sans trop de chaÂgrin, que cerÂtains de mes lecÂteurs ne me suivent plus à tel moment de cet article, je vouÂdrais rapÂpeÂler que René Guénon disait, dans Le Règne de la quanÂtiÂté que les évéÂneÂments qui vont inéviÂtaÂbleÂment adveÂnir « ne pourÂront pas être comÂpris par la généÂraÂliÂté, mais seuleÂment par le petit nombre de ceux qui seront desÂtiÂnés à préÂpaÂrer, dans une mesure ou dans une autre, les germes du cycle futur. Il est à peine besoin de dire que, dans tout ce que nous expoÂsons, c’est à ces derÂniers que nous avons touÂjours entenÂdu nous adresÂser excluÂsiÂveÂment, sans nous préÂocÂcuÂper de l’inévitable incomÂpréÂhenÂsion des autres ».
En outre le préÂsent article est constiÂtué de pluÂsieurs strates ; son titre évoque la guerre que se livrent depuis bien longÂtemps les forces d’en haut et les forces d’en bas, pour simÂpliÂfier, celles du Bien et celles du Mal.
Les proÂpos de François Barthomeuf évoquent pluÂtôt celles du milieu, qui sont à la surÂface de la Terre qui est le domaine des hommes et que veulent conquéÂrir celles du bas, en éliÂmiÂnant tout simÂpleÂment ses habiÂtants ou en les transÂforÂmant en esclaves ou en robots.
Les cycloÂlogues savent qu’une fin de cycle voit touÂjours le déchaîÂneÂment à la fois des forces surÂnaÂtuÂrelles, celles des hommes et celles de la nature.Les fins de cycle décrites par Mircéa Eliade sont souÂvent liées à des déluges ou à des catasÂtrophes natuÂrelles, mais bien souÂvent ausÂsi couÂplées à des guerres entre les peuples ou entre des forces inviÂsibles, selon les traÂdiÂtions du monde. Il semble bien que, pour la preÂmière fois, il pourÂrait s’agir ausÂsi – en plus – d’une guerre entre les élites au pouÂvoir et leurs propres peuples à un niveau plaÂnéÂtaire, ces élites ayant fait alliance avec les forces d’en bas, que nous appeÂlons titano-satanistes.
François Barthomeuf situe en 2026 une posÂsible révoÂluÂtion en France ; un auteur priÂmorÂdiaÂliste chréÂtien, Jean Phaure (1928−2002)(11), égaÂleÂment astroÂlogue, situe la fin de notre cycle en 2030(12), de même que Nicolas de Cuse (1401−1464). Ces deux dates sont fort proches ; s’agirait-il du même évéÂneÂment, celui de 2026 à l’échelon local, ampliÂfié quatre ans plus tard à l’échelon planétaire ?
L’avenir nous le dira.
Pierre-Émile Blairon
Les articles du même auteur
Lire dans ces colonnes mon autre article : Voyage en Absurdie : les dépuÂtés euroÂpéens votent pour la guerre contre la Russie du 23 sepÂtembre 2024
Lire dans ces colonnes mon autre article : Traditionalistes contre gloÂbaÂlistes : le grand chamÂbarÂdeÂment plaÂnéÂtaire du 22 février 2024
Comme, par exemple, celui incriÂmiÂnant le rapÂpeur milÂliarÂdaire dénomÂmé P. Diddy, qui impliÂqueÂrait notamÂment le prince Harry, soupÂçon dont nous avions déjà souÂleÂvé la perÂtiÂnence dans notre article daté du mois d’avril : L’étrange famille royale d’Angleterre : sous le soleil de Satan ? du 7 avril 2024
Dr Laurent Alexandre : » On va chanÂger de dieu » [source]
Pierre-Émile Blairon, L’Iceberg, p.150 et suiÂvantes, 2021.
Voir ausÂsi : Pierre-Émile Blairon, La Tradition priÂmorÂdiale, la quête de nos oriÂgines, la presÂcience du futur, p. 50, 2022 : « J’ai dit que les transÂhuÂmaÂnistes qui cherchent à détruire le dieu qui est en nous n’y arriÂveÂront jamais, car il est repréÂsenÂté par un tout petit organe, une petite flamme intéÂrieure qui ne s’éteint jamais, que leurs moyens techÂniques sont incaÂpables de locaÂliÂser ; ce petit organe est relié par un fil indesÂtrucÂtible à l’univers, un peu comme le fil d’argent qui nous relie à notre corps lorsque nous en sorÂtons, selon les perÂsonnes qui ont expéÂriÂmenÂté cet EMC (état modiÂfié de conscience) »
Philippe Guillemant, l’un des plus émiÂnents scienÂtiÂfiques contemÂpoÂrain, est très créÂdible lorsÂqu’il s’exÂprime sur l’IA ou le transhumanisme :
AstroScience : ici
Lire mon autre article dans ces colonnes : Les quatre paliers de l’Apocalypse (deuxième parÂtie) du 4 sepÂtembre 2024
Bravo, très beau texte, entrer en comÂmenÂtaire sur tel ou tel point n’apÂporÂteÂrait rien au final. J’ai fait suivre à des amis plus porÂtés que moi sur l’asÂtroÂloÂgie. En tous cas, félicitations !
Article super intéressant !
Bonjour Monsieur,
Je vous découvre avec grand bonÂheur et je parÂtage votre anaÂlyse, cepenÂdant je me perÂmets de douÂter sur la nomiÂnaÂtion d’un sauÂveur en la perÂsonne de Pierre de Gaulle.
Après avoir lu « Charles de Gaulle de la légende à la réaÂliÂté » de Philippe Ploncard d’Assac, on ne peut que déploÂrer ce sinistre perÂsonÂnage mis en place par les forces obsÂcures ; de plus Pierre Hillard nous rapÂpelle que nous sommes la conséÂquence bioÂloÂgique, sociale, psyÂchoÂloÂgique, cultuÂrelle des généÂraÂtions préÂcéÂdentes. Il n’y a pas que l’ADN proÂpreÂment bioÂloÂgique que l’on transÂmet à sa desÂcenÂdance, il y a ausÂsi l’ADN de l’âme.
Voilà pourÂquoi j’éÂmets des réserves sur le petit fils du coloÂnel de Gaulle (il s’est octroyé le titre de général).
À proÂpos de dates relaÂtives à notre proche aveÂnir : en 2037–2038, nous pourÂrons céléÂbrer le 400e anniÂverÂsaire du VÅ“u de Louis XIII, vÅ“u par lequel le Roi, par un acte enreÂgisÂtré par le Parlement et publié par lettres patentes le 10 février 1638, met sa perÂsonne, son État, sa couÂronne et tous ses sujets sous la proÂtecÂtion de la Très Sainte Vierge. Consécration solenÂnelle à Abbeville le 15 août 1638, renouÂveÂlée par Louis XV en 1738. Pour céléÂbrer le troiÂsième cenÂteÂnaire de cette conséÂcraÂtion, le Pape Pie XI a accorÂdé aux évêques de France un jubiÂlé d’un an, du 15 août 1937 au 15 août 1938.
Très proÂfonÂdéÂment insÂtrucÂtif et rejoiÂgnant les visions récentes ou non de nombre d’êtres humains ayant accéÂdé au monde d’en haut ou en ayant eu des révéÂlaÂtions au traÂvers d’apÂpaÂriÂtions et visions bien réelles et pas du tout virÂtuelles comme tout ce que notre monde en décomÂpoÂsiÂtion nous propose.
Merci, merÂci, exacÂteÂment ce que j’atÂtenÂdais. J’ai 78 ans et comme la pluÂpart des perÂsonnes à cet âge là , j’ai vu beauÂcoup de choses. Entièrement d’acÂcord avec vous. Chose étrange, j’ai trouÂvé, par hasard, un livre pasÂsionÂnant, que je n’ai pas encore terÂmiÂné…
Un archéoÂlogue, cherÂcheur au CNRS, spéÂciaÂliste de l’homme de Néanderthal, Ludovic Slimak, a écrit « Sapiens nu »… mais avant il a écrit « Néanderthal nu ». Je sens que je vais comÂmerÂcer par celui-là .
Bien à vous.
Le serÂvice public est une arme de desÂtrucÂtion masÂsive, comme d’autres ! Acharnement sur GG (Gérard DEPARDIEU) et proÂbaÂbleÂment bien d’autres —> https://lesalonbeige.fr/france-2-les-manipulations-de-lemission-complement-denquete/
Superbe article !