
Le Grand Effacement
Dans le droit fil du Grand Remplacement de Renaud Camus, 305 députés ont acté le Grand Effacement ce mardi 27 mai.
Les vétérinaires achèvent bien les chevaux qui ont une patte cassée, les médecins vont pouvoir achever les Français trop en mal de vivre. Par la loi génocidaire de l’aide à mourir, Le serment d’Hippocrate devient le serment d’hypocrite.
La loi sur le Grand Effacement est adoptée par 305 criminels.
On notera que 101 députés RN ont voté Contre et 19 égarés Pour.

Ici la préférence nationale est de mise
Le triptyque du Grand Effacement :
• Pour les Français à naitre qui auront réussi à échapper à l’avortement,
• Les jeunes pourront toujours aller se faire déchiqueter en Ukraine ou en OPEX dans les guerres de la République,
• Et ceux qui survivent ? Il leur restera l’EU-tha-NAZIE. En novlangue : le suicide assisté ou plus consensuel : l‘« aide à la fin de vie ».
Il faut bien dire qu’un cacheton létal coûtera certainement moins cher que ces soins palliatifs qui nous coûtent un pognon de dingue.
Que les Français achèvent de mourir. Fin de race. Bon courage.
Michel Lebon
Oui, Hitler avec sa « Gnadentod » et « Aktion T4 », Attali avec son livre de 1981 déclarant que l’euthanasie sera un progrès pour la civilisation, les déclarations de Macron à la Grande Loge et le silence du Grand Orient en disent long sur cette conspiration anti-humaine de la part d’individus se disant « humanistes ».
L’euthanasie reste une transgression pour laquelle aucune législation n’est justifiée. Ceux qui conseillent cette loi (Pr Touraine) l’ont peut-être pratiquée ou plutôt n’ont pas osé la pratiquer, oser en prendre l’entière responsabilité, et se dédouanent en légalisant ce qui doit rester un crime aux yeux de la loi.
L’euthanasie doit rester un recours ultime quand tout est perdu, fors le courage de transgresser, avec le consentement, la demande du mourant et de ses très proches, dans la clandestinité, l’intimité et son secret. Le criminel, s’il n’est pas dénoncé, gardera un sentiment de culpabilité, mais aussi d’avoir soulagé la souffrance, alors que tous les moyens utilisés pour la combattre n’ont plus eu l’effet de soulagement avec l’évolution du mal.
Beaucoup de monde n’a pas le syndrome du Saint Bernard, ou n’a jamais côtoyé au quotidien pendant des années (voire une VIE), ou avait les moyens financiers et autres, pour maintenir un proche gravement malade ou alité, en vie …
Confondre l’aide volontaire, à quelqu’un en rémission, est complétement différent de quelqu’un condamné… Pareil pour le malade !
Certains dépensent sang et eau pour un animal agonisant, là où d’autres abrègent, sans aucune hésitation, les souffrances inutiles :
Courage ? Ténacité ? Pragmatisme ? Couardise ? Geignard ? Syndrome du Saint Bernard ?
Les moralisateurs ne sont ni des soutiens durables, ni les payeurs !
Pour faire la morale, faut-il encore savoir de quoi il est TOTALEMENT sujet, et en avoir les moyens ! Vouloir et pouvoir, c’est autre chose…
Vous avez oublié le bébé et ses 11 vaccins obligatoires !