Paysans, ne gaspillez pas votre fumier !
La presse locale titrait ce vendredi 29 novembre 2024 :
Les agriculteurs des Alpes-Maritimes ont donc joué exactement le même scénario que le 26 janvier de cette même année :
Nous écrivions alors dans notre article du 27 janvier 2024 : Paysans des Alpes Maritimes : bien trop gentils :
Ces paysans sont bien trop gentils avec leurs élus qui sont les artisans de leur malheur. On aurait pu imaginer qu’ils les interpellent publiquement, frontalement. Au lieu de tout cela ils ont déversé très rituellement une remorque de fumier devant les grilles bien fermées de la préfecture et s’en sont allés. Ce fumier livré gratuitement sera une aubaine pour les jardiniers de la préfecture.
Les manifestations de janvier n’ont servi à rien !
Tandis que vous agonisez, l’Europe de Bruxelles continue impertubablement ses négocations avec le Mercosur. Les élus suivent les orientations mondialistes imposées par la Commission, qui elle-même reçoit ses directives de Washington.
L’Europe doit détruire la paysannerie française, parce-que « c’est son projet »
Les tas de fumier que les paysans déversent devant les bâtiments publics, ne servent à rien. La preuve ! Nous le répétons : « Ce fumier livré gratuitement sera une aubaine pour les jardiniers de la préfecture ». Gardez le pour vos cultures ! C’est déjà bien mieux que le glyphosate. C’est une matière précieuse qui mérite mieux que les façades des bâtiments publics. Il fut un temps — pas si lointain — où le fumier était un signe extérieur de richesse (notre illustration à la une). Il était présenté devant la ferme.
Il vous appartient de trouver des formes de protestation plus efficaces :
• Pour commencer méfiez vous des représentants de tout poil, appointés par leurs organisations (FNSEA)(1) quand ce n’est pas par l’État (tous nos élus), ou — pire — par l’administration européenne de Bruxelles. Tous vous roulent dans la farine car ils ne pensent qu’à leur panse. N’oubliez pas que notre Premier ministre à 25 000 euros par mois de retraite (hors sa rémunération de Premier ministre), fut en 2009 votre ministre de l’Agriculture qui voulait que le vin rosé puisse se faire par assemblage de vin rouge et de vin blanc, parce-que l’Europe l’avait décidé !
• Profitez du capital de sympathie des Français : les racines paysannes de la grande majorité des Français restent encore très vivaces. Vous êtes ces cousins lointains qui maintiennent le socle de la France qu’on aime.
• Ce sont les décideurs qu’il faut harceler, notamment les députés européens, mais ce n’est pas facile car ils sont peu accessibles. C’est fait délibérement. Alors prenez vous en à leurs potes élus locaux et complices, qui ne rêvent du reste que d’une chose : devenir député européen car c’est un bon job, bien payé à ne rien faire. Rien faire d’autre que d’approuver les décisions venues d’ailleurs et qui n’ont pour but que de nous tuer, tous.
Les manifestations de janvier n’ont servi à rien !
Gardez votre fumier et harcelez partout vos élus complices de votre mort programmée !
Les Français vous accompagneront, car ils ne veulent pas mourir non plus.
La FNSEA ne défend pas la paysannerie. Elle est le relais de la politique mondialiste orchestrée à Bruxelles.
Son président, Arnaud Rousseau, propriétaire de 700 hectares de céréales, est administrateur ou dirigeant d’une quinzaine d’entreprises, directeur de la multinationale Avril(2) (Lesieur, Puget, Matines…) :
« Les élus suivent les orientations mondialistes imposées par la Commission, qui elle-même reçoit ses directives de Washington » —> C’est comme ça depuis des décennies… Et ce ne sera pas « pacifiquement » ou avec des « kastors », que les enkravaté(e)s (initié(e)s), changeront leurs portefeuilles d’épaules…