Rencontre avec Norbert Calderaro à propos de la Résistance spirituelle
L’essai de Norbert Calderaro , intitulé La résistance spirituelle, avait enchanté la rédaction de Nice Provence Info (lire notre article du 16 février 2021). Cet essai nous ouvre des voies pour comprendre et dépasser la période douloureuse que nous traversons. Nous écrivions alors :
Norbert Calderaro présentera cet opus
le mardi 17 mai 2021 à 17 heures
au Couvent des Dominicains, salle saint Dominique
9 rue François-de-Paule à Nice (face à l’opéra)
Arrêt de tram : Opéra Vieille Ville
La résistance spirituelle trouve sa source dans la Bible et dans le psaume 84 (ou 85) et dans les quatre valeurs spirituelles fondamentales d’amour, de vérité, de justice et de paix. Elle s’enracine dans la Souveraineté de Dieu et dans la place, nécessairement subordonnée, du pouvoir politique dans l’histoire du peuple hébreu. Elle a été lumineusement formulée par Jésus dans son adage : Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
Elle a lentement germé, au cours des siècles, dans l’Occident chrétien, grâce à l’émergence d’un pouvoir papal indépendant, puis par la naissance et le développement des Droits de l’Homme. Radicalement non-violente, mais pourtant profondément active, elle s’est développée dans des contextes historiques et culturels divers et a été notamment mise en œuvre par Gandhi, Martin Luther King, Dietrich Bonhœffer, Jean-Paul II, Jergy Popieluszko et Alexandre Men, prêtre orthodoxe russe assassiné en 1990.
Une rencontre à ne pas manquer !
Lire également :
• Il n’y a pas de justice sans paix, il n’y a pas de paix sans amour du 6 mars 2020
• La résistance spirituelle par Norbert Calderaro du 16 février 2021
Jean Claude
C’est bien de reprendre les évangiles et de se rappeler les paroles
de la prière modèle : » Que ton royaume vienne, ici (sur terre) comme au ciel (son installation)… »
Ne pas se mettre toujours à la place de Dieu et du Christ, ils sont fort capables de rétablir toutes choses,
puisqu’ils en sont les auteurs (génèse), sans avoir besoin de nous, qui, en plus, sommes réduits à l’état d’imperfection,
de décrépitude (à cause de la désobéissance d’Adam) : personne n’est capable de rétablir le bon sens de la gouvernance des nations, même le meilleur président n’est qu’un humain, même dégagé (comment ?) de l’emprise du Diable (Ah ! le Pouvoir !). Relisez, relisez, pas d’exégèse !