L’éducation sexuelle à l’école : la nouvelle priorité
Le parcours en école primaire est une catastrophe
Le site du ministère de l’Éducation nationale reconnaît que « 20 % des élèves ne maîtrisent pas les savoirs fondamentaux à la fin de l’école primaire »(source). Ces chiffres officiels sont très vraisemblablement sous-évalués, le ministère en charge n’étant guère enclin à « charger la mule ». Pour France stratégie : « 40 % des élèves en fin de primaire ne possèdent pas les connaissances fondamentales en lecture et en maths qui leur permettraient de suivre une scolarité au collège dans les bonnes conditions »(source).
Tout le monde s’aperçoit que la maîtrise des fondamentaux en français et en calcul n’est pas assurée par les jeunes adultes malgré des dizaines d’années passées sur les bancs de l’école et des centaines de milliards dépensés par l’État pour rien.
Pour faire face à cette plaie, que décident nos dirigeants ? Ils mettent en place l’enseignement de la théorie du genre et de la sexualité à l’école primaire !
En un temps record les programmes sont établis. Malgré la réticence affichée des parents, toute la machine d’État se met en branle pour imposer ces nouveaux enseignements malséants. Toutes les moyens sont mis en œuvre pour atteindre ces objectifs, contre l’avis des parents.
Le très institutionnel Conseil Économique Social et Environnemental (CESE), qui coûte un pognon de dingue(3), participe activement à ce programme. Tous ces comités Théodule, très coûteux ont un double objectif :
• servir de relais au Pouvoir
• caser les copains et les copines.
Ainsi le CESE a mis réemment en ligne un questionnaire participatif destiné aux enfants et aux jeunes. Ce questionnaire s’adresse à une large classe d’âge puisque les enfants de moins de onze ans sont invités à y répondre.
Ce questionnaire entérine la théorie du genre
Il est clair que l’appareil d’État impose ce programme contre l’avis des parents :
Enquête réalisée en Belgique le 14 septembre 2023 sur 28 000 participants.
Il existe donc des forces obscures qui agissent avec détermination pour orienter la société là où elle ne veut pas aller.
Il s’agit bien d’un COMPLOT contre le Peuple
Dans cette guerre contre le Peuple, annoncée par nos dirigeants — « Nous sommes en guerre !» — il y a les Collabos et les Résistants. Parmi les Résistants, Juristes pour l’enfance prend toute sa part et exige du CESE dans un communiqué qu’il retire ce questionnaire :
En outre, le cadre institutionnel du CESE semble valider l’idéologie ainsi promue de l’existence d’une multitude de sexes (« autres ») distincts du féminin et du masculin qui, encore une fois, est dépourvue de toute base scientifique et de réalité objective.
Juristes pour l’enfance demande ce jour au CESE de corriger sans délai ce test afin de conformer la question relative au sexe de l’élève tant à ce donné anthropologique de base que les êtres humains sont homme ou femme qu’à la loi française qui ne connait en conséquence que les sexes homme ou femme.
Les parents doivent assumer leur responsabilité
C’est Emmanuel Macron lui-même qui le dit :
Parents, vous n’approuvez pas cette dérive de l’école primaire. Vous envoyez vos enfants à l’école pour qu’ils apprennent avant tout à lire, à écrire et à calculer, sans aucune espèce d’endoctrinement pervers.
Faites le savoir aux enseignants !
Document PDF accessible ici
On sent dans ces questionnaires le vice d’une administration d’inquisition et amorale.
On sait de façon pertinente que ceci n’est qu’un outil du mondialisme pour asservir et détruire l’humain tel que nous le connaissons. Celui ci ne sera plus qu’un objet stéréotypé sans personnalité et sans âme, jouet d’une grande machine infernals qui se moque pas mal de lui.
Il faut détruire ces théories machiavéliques et ne pas oublier tous les autres pièges de ce mondialisme criminel qui attaque sur tous les fronts à la fois, affaiblissant la défense.
Une unité doit se faire autour de tous les sujets et que chacun comprenne que s’il veut avoir une chance de réussir à vaincre cette entité, c’est l’union de la société contre tout le programme de Davos qui doit s’opérer.
Entièrement d’accord avec l’auteur de cet article où, plutôt que d’apprendre aux écoliers à lire, écrire et compter (il faut voir la note catastrophique de la France sur le niveau de l’enseignement en France), on leur donne un enseignement très axé sur la sexualité et particulièrement sur les « bienfaits » d’une sexualité inspirée du wokisme multisexuel très en vogue aux USA.
J’ajouterai à ce phénomène l’écriture dite « inclusive » qui est catastrophique pour la langue française et que certains pratiquent déjà alors qu’elle n’est pas (encore) autorisée. Pauvre France !!
J’ajouterai que l’affiche de l’article au sujet du « conteur » montre un individu plus laid qu’une sorcière. On critiquait les Contes de Grimm et Perrault fauteurs d’angoisses chez les enfants, mais là, on dépasse le summum de l’horreur et du ridicule.
Je suis très tolérant de nature, mais on ne doit pas mêler les enfants à la perversité des adultes.
Le « Transgenre » est une contre-nature, quoi qu’en disent leurs fanatiques. Le Genre n’est pas une « construction sociale », c’est un principe naturel fondamental. Ce sont les « Sentiments » et le « Comportement » qui sont une construction sociale. Toutes les théories, dogmes, affirmations ne pourront empêcher une Femme d’avoir un utérus et un clitoris, et l’Homme avoir un phallus et des testicules. Il n’y a qu’un trouble psychologique profond qui peut engendrer la « dysphorie du genre » qui peut mener au transsexualisme.
Tout le reste est un ergotage politique qui est dangereux pour les générations futures qui subissent cet enseignement absurde.