Publicité mensongère

1 sep­tembre 2021 | 19 Commentaires 

Drôle de « vac­cin » dont il faut assu­rer la pro­mo­tion à coups [… coûts] de cam­pagne publi­ci­taire mas­sive pour convaincre les malades de son bien­fait. Si la pan­dé­mie en était une, et si le vac­cin en était un, tout le monde ferait la queue pour se faire injec­ter le remède.

Le gouvernement est contraint de faire la pub de la vaccination

On le voit depuis le début de cette drôle d’af­faire : pour par­ve­nir à leurs fins, que l’on aime­rait bien connaître, nos diri­geants trichent, mentent, s’emmêlent, se contre-disent, contraignent et pra­tiquent l’illé­ga­li­té. Cette cam­pagne publi­ci­taire s’ins­crit dans cette embrouille per­ma­nente.Vaccin - Publicité mensongèreLe fait d’an­non­cer qu”« aujourd’­hui, 8 per­sonnes sur 10 hos­pi­ta­li­sées à cause du Covid ne sont pas vac­ci­nées » est faux.

La publicité est mensongère

La réa­li­té, c’est que :
les vac­ci­nés infec­tés seraient aus­si conta­gieux que les autres [source RéInfo Covid]
vac­cins : Israël, mon­tré en exemple puis rat­tra­pé par le virus [Le Figaro]
les infec­tions chez les per­sonnes vac­ci­nées au Royaume-Uni dépassent les infec­tions chez les non vac­ci­nées [source Mercola France]
la plu­part des infec­tions en Israël ont lieu par­mi les per­sonnes vac­ci­nées [tou­jours selon Mercola France]
le vac­cin Pfizer Covid-19 détruit les cel­lules T et affai­blit le sys­tème immu­ni­taire [source]
la vac­ci­na­tion libère le virus, pas de fin à la pan­dé­mie par le doc­teur Astrid Stuckelberger [source]
tous vac­ci­nés, mais pas pro­té­gés [source]
des infor­ma­tions affluent et sont défa­vo­rables au vac­cin [source]
etc.
Bref d’in­nom­brables sources d’in­for­ma­tion fiables démontrent que l’in­jec­tion de potion génique à ARN mes­sa­ger ne pro­tège pas du virus ! Il y a autant, si ce n’est plus, de per­sonnes conta­mi­nées chez les piquou­zés que chez les non-piquouzés.

Le pré­sident de Région Renaud Muselier, méde­cin de pro­fes­sion, est avant tout un homme poli­tique macro­niste qui prône donc la vac­ci­na­tion pour tous. Vacciné lui même pour s’é­ri­ger en exemple, il est deve­nu la vic­time emblé­ma­tique de l’in­ca­pa­ci­té de ces pseu­do-vac­cins qui ne pro­tègent de rien du tout. Ira-t-il dis­crè­te­ment(1) se faire ino­cu­ler de l’hy­droxy­chlo­ro­quine(2) auprès du Professeur Raoult, son proche voisin ?

Muselier - masque
La vac­ci­na­tion ne pro­tège pas. Le masque ne pro­tège pas.

Le Pouvoir uti­lise des moyens men­son­gers, consi­dé­rables et extra­or­di­nai­re­ment coer­ci­tifs pour injec­ter à tout le monde une potion qui est tou­jours en phase d’es­sai, dont le conte­nu est rigou­reu­se­ment tenu secret, qui ne soigne pas et dont les effets secon­daires peuvent être nocifs.

Avant de se faire injecter cette potion, il faut se demander : quel est le but de cette vaccination obligatoire ? 

Puisqu’il ne s’a­git en aucune manière de soi­gner les gens.

Georges Gourdin


(1) L’unité du Professeur Raoult soigne des VIPs avec un trai­te­ment à base d’hydroxychloroquine.
(2) N’oublions pas que le Pouvoir a inter­dit ce trai­te­ment pré­ci­sé­ment parce-qu’il était effi­cace. Ceci consti­tue la preuve tan­gible et abjecte que l’ob­jec­tif de nos diri­geants n’est pas de soi­gner mais de vacciner.


Bonus :

Intervention du Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de phy­sio­lo­gie ou méde­cine en 2008, pour la décou­verte, en 1983, du virus de l’im­mu­no­dé­fi­cience humaine (VIH)

Pour le Pr Luc Montagnier : « Vacciner en période épidémique est un non-sens, augmentant les effets indésirables : les épidémiologistes le savent » (⊕ pour ouvrir)

Le 7 août 2021 le Pr Luc Montagnier s’est expri­mé publi­que­ment et scien­ti­fi­que­ment à pro­pos du coro­na­vi­rus et des vac­cins à ARN mes­sa­ger. Beaucoup de per­sonnes ont deman­dé des expli­ca­tions pour mieux com­prendre les pro­pos du Prix Nobel. A ma demande, Luc Montagnier a accep­té que soient publiées sur mon site inter­net ses expli­ca­tions sui­vantes en 10 points. Je le remer­cie cha­leu­reu­se­ment pour vous tous. N’hésitez à dif­fu­ser ce texte inté­gra­le­ment et très largement.

Pr Henri Joyeux

« Une erreur stratégique qui impacte l’avenir de l’humanité » : appel du Pr Luc Montagnier

[source : France Soir, publié le 07/​08/​2021]

Depuis le début de la pan­dé­mie, le pro­fes­seur Luc Montagnier, prix Nobel de méde­cine, a fait plu­sieurs décla­ra­tions qui ont défrayé la chro­nique. L’un d’elles est sur l’origine « fabri­quée » du virus et de ses inser­tions iden­ti­fiées au tra­vers de modèles mathé­ma­tiques per­met­tant d’identifier les rup­tures d’harmonie atten­due. Cette révé­la­tion a été confir­mée dans une étude, revue par les pairs, écrite avec le mathé­ma­ti­cien Jean-Claude Perez, puis sur le pla­teau de France Soir, ain­si que par de nom­breux experts inter­na­tio­naux jusqu’à deve­nir une des hypo­thèses les plus pro­bables et non plus une thèse com­plo­tiste comme nombre de médias mains­tream l’ont représentée.
Ceci est un appel aux diri­geants qui font la pro­mo­tion dans leur pays et au niveau inter­na­tio­nal d’une vac­ci­na­tion mas­sive pour la pré­ven­tion de la dif­fu­sion du coro­na­vi­rus Covid-19.
Sur la base de don­nées encore expé­ri­men­tales, ils ont per­mis et encou­ra­gé des cam­pagnes d’inoculation mas­sive de nou­veaux types de vaccins.
Ces vac­cins portent une par­tie de l’ARN du virus codant pour sa pro­téine de sur­face per­met­tant sa fixa­tion sur des cel­lules-cibles. Les fabri­cants de ces vac­cins ont naï­ve­ment cru et fait croire que les orga­nismes injec­tés allaient mon­ter une forte réponse en anti­corps neu­tra­li­sant cette pro­téine de sur­face et ain­si empê­cher la trans­mis­sion du virus.
Or les faits contre­disent cet espoir : les vac­cins Pfizer , Moderna, Astra Zeneca n’empêchent pas la trans­mis­sion du virus de per­sonne à per­sonne et les vac­ci­nés sont aus­si trans­met­teurs que les non-vaccinés .
Par consé­quent l’espoir d’une « immu­ni­té col­lec­tive » par une aug­men­ta­tion du nombre de vac­ci­nés est tota­le­ment vain.
L’explication de cet échec est simple : la haute capa­ci­té de muta­tion du virus liée à sa haute trans­mis­si­bi­li­té per­mettent la sélec­tion de variants résis­tant aux vaccins.
C’est une course où le virus aura tou­jours une lon­gueur d’avance. Il faut l’abandonner, et refu­ser la vac­ci­na­tion obli­ga­toire, notam­ment des per­son­nels médi­caux déjà bien infor­més des effets secon­daires des vac­cins actuels.
Je pro­pose aux auto­ri­tés des solu­tions salvatrices :
1. Une vac­ci­na­tion par un vac­cin géné­rant une forte immu­ni­té cel­lu­laire de type T tel le BCG (les pays pra­ti­quant cette vac­ci­na­tion ont une faible inci­dence de Covid19),
2. Le trai­te­ment pré­coce de l’infection par iver­mec­tine et anti­bio­tique bac­té­rien car il existe un cofac­teur bac­té­rien ampli­fiant les effets du virus. »
Le pro­fes­seur Montagnier a donc pesé cha­cun de ses mots en lan­çant cet appel qui est reçu favo­ra­ble­ment par la com­mu­nau­té des soi­gnants, dont cer­tains sont dévas­tés par la déci­sion du Conseil consti­tu­tion­nel de rendre la vac­ci­na­tion obligatoire.
Un méde­cin réagit : « Merci au pro­fes­seur Montagnier, nous espé­rons que de nom­breux scien­ti­fiques comme lui vien­dront se joindre à cet appel afin que le gou­ver­ne­ment puisse enfin ouvrir le débat ».
Aujourd’hui, de nom­breuses mani­fes­ta­tions contre le passe sani­taire et la vac­ci­na­tion obli­ga­toire du per­son­nel médi­cal vont se tenir dans plus de 180 villes de France.

Auteur(s): France Soir

CERTITUDES et INCERTITUDES en 10 points, du Pr Luc MONTAGNIER

1/​Les Coronavirus d’une manière générale ne sont pas dangereux.

Ils sont res­pon­sables de syn­dromes grip­paux. Mais le SARS-Cov2 peut en outre être res­pon­sable de troubles tem­po­raires de cer­tains sens (goût, odo­rat et même audi­tion). Ils peuvent se com­pli­quer s’ils ne sont pas trai­tés pré­co­ce­ment. Les com­pli­ca­tions les plus dan­ge­reuses sont sur­tout au niveau res­pi­ra­toire (infec­tion et insuf­fi­sance res­pi­ra­toire néces­si­tant assis­tance) et au niveau car­diaque (myo­car­dites et péri­car­dites) met­tant la vie en dan­ger. Ils atteignent sur­tout des per­sonnes en co-mor­bi­di­tés (sur­poids-obé­si­té, dia­bète, hyper­ten­sion arté­rielle, immu­no­dé­pres­sions connues ou inconnues…).
En mutant le virus ori­gi­nal se trans­forment en ”variants”. Ceux-ci heu­reu­se­ment dimi­nuent leur dan­ge­ro­si­té (charge patho­gène) au fur et à mesure de leur évo­lu­tion à par­tir du virus original.

2/​Le Coronavirus SARS-COV2 a une origine naturelle qui a été modifiée dans un laboratoire d’où il est sorti. C’est une chimère pathogène.

Quel labo­ra­toire, je ne sais pas. Celui de Wuhan en Chine désor­mais très connu a été inau­gu­ré en pré­sence des plus hautes per­son­na­li­tés françaises.
Ce SARS-Cov2 est un virus à ARN. Il contient deux par­ties qui appar­tiennent étonnamment :
a) l’une au virus du Sida, virus éga­le­ment à ARN, très instable contre lequel depuis 1982 la science cherche encore un vac­cin effi­cace d’importance mondiale.
Des mor­ceaux d’ARN du coro­na­vi­rus sont iden­tiques à des séquences pré­sentes dans le génome des virus du Sida VIH‑1 et VIH‑2. Elles sont loca­li­sées dans la région du gène codant pour la pro­téine de fixa­tion (pro­téine Spike) du coro­na­vi­rus sur les cel­lules où le virus peut se multiplier.
Bien que petites les séquences des VIH peuvent coder pour un motif anti­gé­nique de la pro­téine d’enveloppe du VIH.
b) l’autre au plas­mo­dium du para­site du Paludisme contre lequel aus­si les cher­cheurs s’acharnent pour mettre au point un vac­cin effi­cace d’importance mondiale.
New Microbes New Infect. 2020 Nov ; 38 : 100817. Published online 2020 Nov 19. doi : 10.1016/j.nmni.2020.100817
SARS-CoV‑2 and Plasmodium fal­ci­pa­rum com­mon immu­no­do­mi­nant regions may explain low COVID-19 inci­dence in the mala­ria-ende­mic belt – M.A.M. Iesa, and al.
Ces deux par­ties que viennent-elles faire là ? Peut-être pour la recherche dans un but vac­ci­nal contre le Sida et le Paludisme. Une forte probabilité.
Tout ceci implique des mani­pu­la­tions expertes d’origine humaine.
À la dif­fé­rence du virus de la grippe dont le génome est fait de 8 chaines d’ARN qui le rendent très instable, le SARS-COV2, pos­sède une seule chaîne d’ARN, ce qui est rare.

3/​Les virus à ADN comme à ARN sont constitués des bases azotées qui appartiennent à des nucléotides.

Dans tout orga­nisme vivant existent 5 bases azo­tées (molé­cules conte­nant plu­sieurs atomes d’azote) sym­bo­li­sées par des lettres (A, T, G, C, U) : A pour Adénine, T pour Thymidine, G pour Guanine, C pour Cytosine et U pour Uracile.
L’ADN ou acide désoxy­ri­bo­nu­cléique est dans le noyau de la cellule.
L’ARN ou acide ribo­nu­cléique est fabri­qué par trans­crip­tion à par­tir de l’ADN du noyau cel­lu­laire. A par­tir de l’ARN, les ribo­somes, petites usines, pré­sente s dans la cel­lule, fabriquent par tra­duc­tion des protéines.
ADN et ARN sont consti­tués d’un enchaî­ne­ment de nucléo­tides. Chaque nucléo­tide contient un groupe phos­phate, un sucre (le ribose ou le desoxy­ri­bose) et une base azo­tée (ou base nucléique).
Les nucléo­tides s’accrochent les uns aux autres pour consti­tuer les brins d’ARN et/​ou d’ADN. C’est la base azo­tée qui fait la dif­fé­rence des nucléotides.
Une base ne peut se lier qu’à une autre base.
Dans l’ADN, les 4 bases azo­tées qui se suc­cèdent sont A‑T et G‑C. Elles sont fixées au sucre, le desoxy­ri­bose, d’où le nom Acide Désoxy…
L’ADN a une struc­ture très stable de double hélice consti­tuée de 2 brins entrelacés.
La den­si­té de l’ADN est à 1,7 car elle contient une molé­cule d’eau sup­plé­men­taire avec le desoxyribose.
Dans l’ARN, les 4 bases azo­tées ou ”lettres” qui se suc­cèdent sont A‑U et G‑C. Elles sont fixées au sucre qu’est le ribose, d’où le nom Acide Ribo…
L’ARN est une copie d’une région de l’un des 2 brins de l’ADN. L’ARN a géné­ra­le­ment un seul brin indépendant.
Les liai­sons G‑C sont plus fortes, plus solides que les liai­sons A‑U.
Ces liai­sons G‑C sont pré­sentes dans les vac­cins à ARN mes­sa­ger pour se main­te­nir plus long­temps dans l’organisme.
Le génome du coro­na­vi­rus est consti­tué de 30 000 lettres, publié pour la pre­mière fois le 11 jan­vier 2020, tan­dis que le génome humain est consti­tué de 3 mil­liards de lettres.

4/​Les variants sont d’autant plus fréquents que les vaccins se généralisent.

Le coro­na­vi­rus comme tous les virus à ARN, a une forte capa­ci­té à chan­ger, se modi­fier, varier, on dit aus­si muter.
Il vit et se repro­duit après avoir péné­tré dans les cel­lules humaines. Pour cela il copie son génome au sein de la cel­lule qu’il a infec­tée, ce qui consiste à reco­pier chaque lettre (base) de son brin d’ARN. De nou­velles par­ti­cules de virus vont être for­mées dans la cel­lule infec­tée, conte­nant ces copies d’ARN et vont ren­trer dans d’autres cel­lules et les infec­ter à leur tour.
L’entrée du virus dans la cel­lule se fait à l’aide de la pro­téine Spike du coro­na­vi­rus qui se fixe sur cer­tains récep­teurs de la cel­lule du patient, dits ACE2, loca­li­sés en par­ti­cu­lier au niveau du pou­mon et de l’intestin grêle.
Sur ces récep­teurs, la pro­téine Spike fonc­tionne comme une clef pour ouvrir une porte.
Les nou­veaux variants se forment d’autant plus que l’on vac­cine. Ils sont cau­sés par des muta­tions sur la pro­téine Spike. Le virus sait par­fai­te­ment contour­ner les vac­cins dont l’efficacité se réduit au fur et à mesure de leur uti­li­sa­tion. Les vac­cins ont déjà per­du 50% de leur effi­ca­ci­té face au variant delta.
Lors de la copie du génome du coro­na­vi­rus, des erreurs sont obser­vées : une lettre peut être rem­pla­cée par une autre (sub­sti­tu­tion), rajou­tée (inser­tion) ou effa­cée (délé­tion). Ce sont les muta­tions et elles appa­raissent aléa­toi­re­ment. On ne sait pas quand, ni où elles vont appa­raître dans la molé­cule d’ARN, sur quelle molé­cule de pro­téine, ni quelle erreur va être créée. C’est un phé­no­mène nor­mal que l’on observe dans tous les virus.
Les vac­cins à ARN mes­sa­ger (ARNm) injectent dans le corps du vac­ci­né de l’ARNm qui va faire fabri­quer la pro­téine Spike en grande quan­ti­té. En réac­tion les défenses immu­ni­taires de l’organisme (si elles sont robustes) pro­duisent des anti­corps anti-pro­téine Spike pour évi­ter les com­pli­ca­tions de la maladie.
Les muta­tions affec­tant la pro­téine Spike sont très sui­vies par les scien­ti­fiques. Au 15 décembre 2020, les cher­cheurs qui ana­lysent les coro­na­vi­rus bri­tan­niques avaient déjà iden­ti­fié 1777 muta­tions dif­fé­rentes qui modi­fient la pro­téine Spike.
On a mesu­ré que pour SARS-CoV‑2, envi­ron 2 muta­tions appa­raissent chaque mois.
Le virus est plus malin que les vac­cins. Quand il mute, il mute sur la pro­téine Spike fabri­quée après vac­ci­na­tion. La vac­ci­na­tion favo­rise donc la fabri­ca­tion des variants.
Ainsi les variants peuvent deve­nir plus conta­gieux, mais ne l’oublions pas, ils sont moins dangereux.

5/​Les vaccins à ARN messager ont pour but de fabriquer un antigène toxique : la protéine Spike.

Après un vac­cin à ARNm (vac­cins Pfizer et Moderna) ou à pro­téine recom­bi­nante (Johnson & Johnson), le sys­tème immu­ni­taire peut contrer cette pro­téine en fabri­cant des anti­corps anti-pro­téine Spike dont la durée de vie risque d’être courte, d’où les revac­ci­na­tions pré­vues chaque année, et déjà la 3e puis on voit venir la 4e dose.
Les vac­ci­nés ont donc un sys­tème immu­ni­taire qui va fabri­quer essen­tiel­le­ment des anti­corps anti-pro­téine Spike (anti‑S) qui seront libé­rés dans leur cir­cu­la­tion sanguine.
Les non-vac­ci­nés qui ont déve­lop­pé la Covid, avec ou sans symp­tômes, ont dans leur cir­cu­la­tion san­guine, dosables dans une simple prise de sang deux types d’anticorps :
• les anti­corps anti-pro­téines Spike (anti‑S) ;
• les anti­corps anti-pro­téine N (anti‑N) contre la Nucléocapside du virus laquelle pro­tège son génome : ces anti­corps anti-pro­téine N (anti‑N) peuvent per­sis­ter long­temps (au moins 8 mois*) et peut être à vie (l’avenir nous le dira), si le sys­tème immu­ni­taire de la per­sonne fonc­tionne bien.
Ainsi la pro­tec­tion immu­ni­taire après avoir eu la Covid peut être meilleure et plus longue qu’après la vaccination.
Chez ces per­sonnes, au moins 10 mil­lions, c’est une aber­ra­tion scien­ti­fique d’imposer même une seule injec­tion d’un vac­cin à ARN mes­sa­ger. Ils ont suf­fi­sam­ment d’anticorps pour neu­tra­li­ser un nou­veau variant, et éven­tuel­le­ment déve­lop­per une nou­velle Covid à mini­ma en accueillant un nou­veau variant.

6/​Le devenir du virus

Isolé, il meurt. Dans une cel­lule, il peut se mul­ti­plier et muter en deve­nant un variant, virus plus conta­gieux mais moins dangereux.
Les cel­lules infec­tées par le virus deviennent inflam­ma­toires et peuvent en outre être infec­tées par les bac­té­ries pré­sentes dans le micro­biote respiratoire.
Le SARS-Cov2 et ses vac­cins ne sont en rien com­pa­rables aux virus et vac­cins contre les diph­té­rie-téta­nos-polio (DTP), les rou­geole-oreillons-rubéole (ROR) ou la variole ou même le bacille de la tuberculose.
Pour être effi­cace, le vac­cin a besoin d’un bon sys­tème immunitaire.
Chez les per­sonnes for­te­ment immu­no-dépri­mées, les vac­cins ne sont pas efficaces.

7/​Vacciner en période épidémique est un non-sens, augmentant les effets indésirables : les épidémiologistes le savent.

En Europe actuel­le­ment, il est très dif­fi­cile de savoir le nombre exact dans chaque pays des effets secon­daires et des éven­tuels décès liés aux dif­fé­rents vaccins.
Plusieurs rai­sons per­mettent de comprendre :
• les ser­vices de phar­ma­co­vi­gi­lance par­tout en Europe ont tou­jours mini­mi­sé les effets indé­si­rables des médi­ca­ments et des vac­cins en particulier.
• les décès liés aux vac­cins sont sys­té­ma­ti­que­ment contes­tés : les ”experts”parlent de tem­po­ra­li­té et jamais de causalité.
• les contrôles post mor­tem sont rare­ment réa­li­sés et même quand ils sont faits, il serait très dif­fi­cile de relier la mort à la vaccination.
• au ”pays de Pasteur”, la poli­tique de san­té est par­ve­nue à impo­ser cette affir­ma­tion : ”vaccins=vie” avec l’argument majeur du rap­port ”bénéfices/​risques”, sans expli­quer que les béné­fices sont finan­ciers pour peu de per­sonnes et les risques pour tous.
Dans l’European Economic Area (EEA), 5 décès sont rap­por­tés aux vac­cins, évi­dem­ment en sou­li­gnant que les per­sonnes étaient âgées ou en comorbidités.
En Belgique, l’agence fédé­rale des médi­ca­ments des pro­duits de san­té (afmps) le 10 août fait état de :
• 6788 cas graves du fait « d’une inca­pa­ci­té de tra­vail tem­po­raire ou de l’impossibilité de quit­ter la mai­son à cause de la fièvre, de dou­leurs mus­cu­laires, d’un malaise et de réac­tions au point d’injection ».
• 199 rap­ports de décès : il n’y a pas de tableau cli­nique com­mun (situa­tions médi­cales dif­fé­rentes) et les délais entre l’administration et le décès dif­fèrent. Comme on pou­vait s’y attendre pas plus de 4 décès sont recon­nus comme étant liés aux vaccins…
En France, l’ANSM fait état de 33 296 cas d’effets indésirables :
• 64 cas de myo­car­dites et 111 cas de péri­car­dites dont on mini­mise les effets.
• des cas de poly­ar­thrite rhu­ma­toïde (22 cas graves depuis le début de la vac­ci­na­tion, dont 15 avaient des anté­cé­dents de poly­ar­thrite) et des cas de néphro­pa­thie glo­mé­ru­laire, un trouble rénal (12 cas depuis le début de la vac­ci­na­tion, dont 8 sont des réci­dives), conduit le comi­té à consi­dé­rer qu’il s’agit de signaux poten­tiels, com­muns aux vac­cins à ARNm (Comirnaty de Pfizer et Spikevax de Moderna).
La majo­ri­té des cas sont sur­ve­nus chez des per­sonnes de plus de 50 ans. Ces évè­ne­ments font l’objet d’une sur­veillance spé­ci­fique et seront par­ta­gés au niveau européen.
Il est éga­le­ment pré­ci­sé : « Depuis le 3 avril 2021, les femmes enceintes, à par­tir du 2e tri­mestre, sont prio­ri­taires pour accé­der à la vac­ci­na­tion avec un vac­cin à ARNm (Comirnaty des labo­ra­toires Pfizer BioNtech et Moderna). Un sui­vi spé­ci­fique des effets indé­si­rables rap­por­tés avec l’ensemble des vac­cins chez les femmes enceintes a donc été mis en place. » Les femmes enceintes jouent le rôle de cobaye.
Évidement les agences de san­té dans le monde entier affirment sans com­plexe : ”Tous les effets indé­si­rables ne remettent pas en cause le rap­port bénéfices/​risques des vac­cins. »
En Suisse l’Institut des pro­duits thé­ra­peu­tiques au 10 août 2021 compte chez les per­sonnes ayant reçu au moins une dose de vaccin :
« 34,7% des décla­ra­tions sont consi­dé­rés comme des cas graves.
Les per­sonnes concer­nées étaient âgées en moyenne de 57,7 ans (au sein d’une four­chette allant de 16 à 101 ans), et par­mi elles, 21,9 % avaient 75 ans ou plus. Dans les cas consi­dé­rés comme graves l’âge moyen était de 61,3 ans, et dans les décla­ra­tions fai­sant état de décès conco­mi­tants à la vac­ci­na­tion la moyenne s’établissait à 80,7 ans. Dans 133 de ces cas graves, l’on a dû déplo­rer le décès de la per­sonne vac­ci­née après un laps de temps plus ou moins long. Malgré la concor­dance tem­po­relle, rien n’indique concrè­te­ment que le vac­cin est à l’origine du décès. »
Pour les USA, le Docteur Jessica Rose, de l’Institute for Pure and Applied Knowledge (IPAK) – Public Health Policy Initiative (PHPI) publie en mai 2021 les dif­fé­rents effets indé­si­rables des vac­cins en ana­ly­sant les don­nées offi­cielles du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) de la Food & Drug Administration (FDA) américaine.**
En résu­mé, elle rap­porte 34 décès par mil­lion de per­sonnes vac­ci­nées en com­pa­rai­son à 1500 décès par mil­lion de per­sonnes infec­tés de la Covid. Cependant elle donne les réfé­rences démon­trant que les effets secon­daires rap­por­tés dans cette base de don­nées sont sous-éva­lués, esti­més à seule­ment 1% de la réa­li­té. Cela por­te­rait le taux réel de décès à 3400 cas par mil­lion, soit plus que la Covid.
L’analyse sug­gère que les vac­cins sont pro­ba­ble­ment aus­si la cause de fausses couches, de réac­tions aller­giques ana­phy­lac­tiques, de mala­dies auto-immunes, car­dio­vas­cu­laires et neu­ro­lo­giques. La vac­ci­na­tion des femmes enceintes n’est cer­tai­ne­ment pas conseillée.

8/​La nature est plus forte que les scientifiques : l’immunité collective est un leurre.

La nature a choi­si de s’adapter en uti­li­sant les séries har­mo­niques de nombres, que les artistes connaissent mais peu les scientifiques.
Il s’agit sur­tout de la série Fibonacci que l’on retrouve dans les coro­na­vi­rus, comme dans la nature.
De quoi s’agit-il ? La suite de Fibonacci (Leonardo Fibonacci, mathé­ma­ti­cien ita­lien, 1175–1250) appa­raît sous de nom­breuses formes bio­lo­giques : la répar­ti­tion de la rami­fi­ca­tion des arbres, la dis­po­si­tion des feuilles sur une tige, la dis­po­si­tion d’une pomme de pin, la coquille d’escargot, le nombre de pétales des mar­gue­rites, le nombre d’or…
Le nombre d’or est appe­lé « divine pro­por­tion » ou « rec­tangle d’or ». Il explique entre autres qu’une struc­ture a trois qua­li­tés, la force, l’utilité et la beau­té, et sur­tout que l’architecture peut être une imi­ta­tion de la nature.
Étonnamment, tous les variants du SARS-Cov2 ont de plus en plus de séries Fibonacci à par­tir du rap­port des nucléo­tides A‑U sur G‑C ; mais pas les vac­cins parce qu’ils sont enri­chis en liai­sons fortes G‑C.
Les vac­cins ont donc des dif­fi­cul­tés à s’adapter, d’où la pré­vi­sion des fabri­cants de vac­cins qui pro­mettent de chan­ger l’ARNm autant de fois que nécessaire.

9/​Le passe sanitaire impose la vaccination quasi obligatoire à trop de personnes, pour éviter la responsabilité du gouvernement ou des fabricants.

Il y aura de plus en plus d’accidents car on ne sait rien à l’heure actuelle des effets indé­si­rables des vac­cins expé­ri­men­taux à ARN mes­sa­ger, à moyen et long terme.
Vacciner les femmes enceintes dès le pre­mier tri­mestre de la gros­sesse est une erreur scien­ti­fique énorme, qui uti­lise femmes et enfants à naître comme des cobayes.
Aux USA, les membres du CDC (Center for Diseases d’Atlanta), char­gés du registre ”sécu­ri­té des femmes enceintes”, rap­portent en juin les pre­miers résul­tats*** du taux des fausses couches post vac­ci­na­tion. Entre le 14 décembre 2020 et le 28 février 2021, les taux sont les mêmes chez les femmes vac­ci­nées ou pas. En conclure qu’il est néces­saire de vac­ci­ner les femmes enceintes n’est ni scien­ti­fique ni hon­nête quand on sait comme vu plus haut que seule­ment 1% du nombre des effets indé­si­rables sont rapportés.

10/​Messages à 227 300 médecins français

• Comportez-vous en vrai méde­cin, soi­gnez avec des médi­ca­ments peu coû­teux qui on fait leur preuve : Hydroxychloroquine, Ivermectine, Antibiotiques (Azithromycine) selon l’état infec­tieux du malade ; anti­coa­gu­lants selon le bilan bio­lo­gique (D‑Dimères); et anti-inflam­ma­toires (cor­ti­coïdes). De plus, com­plé­men­tez vos patients en Zinc, Vitamines D et C en plus d’une ali­men­ta­tion très végé­tale de qualité.
• Ne vous faites pas vac­ci­ner, ne vac­ci­nez pas, entrez en RÉSISTANCE et unisssez-vous.
• Ne vac­ci­nez ni les enfants, ni les jeunes, ni les femmes enceintes TOUS en bonne san­té. Les risques de la vac­ci­na­tion pour ces popu­la­tions sont supé­rieures aux béné­fices atten­dus. Leurs défenses immu­ni­taires suf­fisent pour qu’ils déve­loppent la covid à mini­ma et sans danger.

Pr Luc Montagnier

* Immunological memo­ry to SARS-CoV‑2 asses­sed for up to 8 months after infec­tion. Dan JM, et al. Science. 2021. PMID : 33408181
** A Report on the U.S. Vaccine Adverse Events – Reporting System (VAERS) of the COVID-19 Messenger Ribonucleic Acid (mRNA) Biologicals – Jessica Rose, PhD, MSc, BSc – Science, Public Health Policy, and The Law Volume 2:59–80 ‑May, 2021
*** Preliminary Findings of mRNA Covid-19 Vaccine Safety in Pregnant Persons – June 17, 2021 – N Engl J Med 2021 ; 384:2273–2282 DOI : 10.1056/NEJMoa2104983

19 Commentaires 

  1. Cet excellent article ouvre-t-il la voie du pro­chain ? La publi­ci­té ou réclame, termes désuets et inap­pro­priés pour par­ler de ce qui nous « lobo­to­mise » aujourd’­hui : la pro­pa­gande !
    Il ne s’a­git pas d’autre chose que de la « publi­ci­té » idéo­lo­gique.
    Celle-ci est doré­na­vant « Woke » !
    Donc il serait peut-être judi­cieux d’a­ler­ter les esprits curieux (pour les autres en tant que « méduses », c’est mort !) sur cette extra­or­di­naire cam­pagne du Ministère de l’é­du­ca­tion et de… concer­nant « a prio­ri » la laï­ci­té qui reste non cri­ti­quable en soi mais qui tape com­plè­te­ment à coté en n’a­bor­dant que la mixi­té ! Je modère mon pro­pos en ajou­tant : la mixi­té entre mino­ri­tés. Car quid du Français de souche, du blanc cau­ca­sien qui méri­te­rait autant que Rachid, Slimane, Fatoumata ou Fatiah d’ap­prendre à lire et à rire ? Début de réponse : il n’y a pas besoin de les inté­grer dans un clip, les enfants des com­man­di­taires ne sont pas tou­chés par le phé­no­mène, il y a long­temps qu’ils sont à l’a­bri dans des struc­tures dont le ticket d’en­trée n’est pas à la por­tée de toutes les bourses !

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  2. Comme Marie, je remer­cie Monsieur Gourdin pour cet article clair et pré­cis, que je vais, moi aus­si, réper­cu­ter autour de moi.
    Quels ignobles men­songes pro­fé­rés par nos gou­ver­nants pour nous for­cer à nous faire vac­ci­ner !
    Nous ne céde­rons pas mal­gré les menaces.
    J’ai honte de voir ce que devient la France.
    Les « mou­tons » qui vont cou­rir se faire injec­ter la 3ème dose sont deve­nus tel­le­ment peu­reux, qu’ils iront de la même manière rece­voir la 4ème et pour­quoi pas la 5ème dose !

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  3. Merci pour toutes ces infos tou­jours pré­cises et vérifiables.

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  4. L’État Français est il un ter­ro­riste ?
    L’État uti­lise à pro­fu­sion le men­songe qui par­ti­cipe de la peur uti­li­sée pour gou­ver­ner. « La stra­té­gie de la peur » lar­ge­ment mise en évi­dence par tous les obser­va­teurs sérieux est accom­pa­gnée (depuis 2ans) par une « stra­té­gie du choc » qui consiste à souf­fler le chaud et le froid, ras­su­rer et mena­cer, être tout à fait strict mais indul­gent. C’est du « en même temps » pur et dur ! La popu­la­tion est ter­ro­ri­sée. Elle ne réflé­chit plus (pour une part ! Car il y a un cer­tain nombre de gau­lois…), elle est comme hyp­no­ti­sée et sou­mise. La popu­la­tion para­ly­sée est ter­ri­fiée.
    Qui sus­cite la ter­reur ? Un ter­ro­riste ! CQFD

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  5. Ah, ah, ah ! Muselier doit se ron­ger les sangs car il est malade juste au moment de la visite de son men­tor Macron à Marseille.
    Il ne pour­ra pas faire le cacou à ses côtés.
    C’est un signe du ciel.

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  6. Comme le disait si bien et avec panache notre si regret­té Coluche [ ils t’ont assas­si­né tu auras bien­tôt ta revanche cama­rade] :
    « Tous pour un tous pour­ris ! »
    Le Peuple com­mence à com­prendre la super­che­rie cri­mi­nelle et atten­dons que ces per­vers touchent aux enfants !

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  7. La méta­phore de Madeleine est bonne mais incom­plète. Non seule­ment les gens montent dans les wagons sans se poser de ques­tion, vou­lant croire à un impro­bable kar­ma, mais ils ostra­cisent ceux qui font un pas en arrière, les réti­cents.
    Les Français ne sont plus des veaux mais des zom­bies décé­ré­brés par un consu­mé­risme éri­gé en Graal. Il gobent tous les men­songes d’État et sur­tout les plus gros enfon­cés dans leur crâne lobo­to­mi­sés avec leur propre pognon.
    Un triste ave­nir se prépare…

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  8. Je ne com­prends pas pour­quoi des mil­lions de Français, et d’autres mil­lions de per­sonnes de par le monde, ne se posent pas la ques­tion toute bête suivante :
    Pourquoi nos diri­geants imposent-ils la vac­ci­na­tion (qui ne gué­rit pas), alors qu’ils inter­disent tous les trai­te­ments (hydroxy­chlo­ro­quine par exemple) qui sont sus­cep­tibles de soi­gner ?
    C’est sûr que les réponses à ces ques­tions glacent le sang, alors les gens pré­fèrent ne pas y pen­ser et montent doci­le­ment dans les wagons, comme en d’autres temps.

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  9. Quand on observe sur un pan­neau publi­ci­taire que la vac­ci­na­tion est la « seule » « solu­tion », il y a deux men­songes qui doivent sau­ter aux yeux.
    Cela ne fonc­tionne tou­jours pas après une deuxième dose.
    Des trai­te­ments paral­lèles exis­tants étant recon­nus, la « vac­ci­na­tion » « obli­ga­toire » à coups de mul­tiples chan­tages odieux n’a plus lieu d’être imposée.

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  10. pinoc­chiopf
    Nous enten­dons nos poli­ti­ciens nous répé­ter qu’il n” y a que la vac­ci­na­tion contre le Covid 19, on voit bien que ce n’est pas suf­fi­sant pour éra­di­quer le mala­die. Il y a un petit pays de 16 mil­lions d’ha­bi­tants (Madagascar) qui a un labo­ra­toire qui a mis au point un remède à base de plantes dont la prin­ci­pale est l’Artemisia et les autres des plantes endé­miques de Madagascar, et qui a été infec­té par le variant sud-afri­­cain (très viru­lent), ils ont soi­gné la popu­la­tion et depuis 3 mois il n’y a plus un sel malade. Le pré­sident mal­gache a été reçu par Macron à Paris, à sa sor­tie de l’Élysée il a décla­ré aux jour­na­listes pré­sents que le virus a été éra­di­qué a Madagascar et qu’il n’a pas eu besoin de se vac­ci­ner, tous les pour­ris de jour­na­listes n’ont pas dif­fu­sé cette infor­ma­tion, ce sont des pour­ris à l’image de Macron.
    Madagascar = moins de 1000 morts depuis le début de la pan­dé­mie, qui dit mieux ?

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  11. Les variants sont un compte à rebours, une paro­die de l’Apocalypse 22:13 qui dit : » Je suis l’al­pha et l’o­mé­ga, le pre­mier et le der­nier, le com­men­ce­ment et la fin « , le variant omé­ga mar­que­ra la fin du programme.

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  12. Une par­tie de la popu­la­tion n’é­cou­te­ra que la parole gou­ver­ne­men­tale. C’est ain­si. Une autre par­tie s’en fout ou est dans le déni le plus total, puis il y a celle qui s’in­ter­roge. C’est celle-là qu’il faut convaincre à coups d’ar­gu­ments bien fice­lés, les tracts, les vidéos, les livres sont néces­saires pour contre-car­­rer ces publi­ci­tés men­son­gères.
    Les Gilets Jaunes de Cannes s’y emploient très bien, patience la véri­té triomphera !!!!!!

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  13. Et cette pub est payée par nos impôts !
    J’enrage..

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  14. Excellente mise au point de la situa­tion actuelle ! Merci à M. GOURDIN ! Je dif­fuse cet article autour de moi !
    J’apprécie beau­coup votre site d’in­for­ma­tion libre qui s’at­tache à infor­mer les lec­teurs de la STRICTE VÉRITÉ ! Quand ce clip abject passe à la TV (« Aujourd’hui, 8 per­sonnes sur 10 hos­pi­ta­li­sées à cause du Covid ne sont pas vac­ci­nées »), je suis hors de moi, tel­le­ment le men­songe est énorme ! Le men­songe règne en maître !
    Je vais vous envoyer un don…

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