Klaus Schwab : retour vers les heures les plus sombres de notre Histoire

par | 9 novembre 2021 | 9 Commentaires 

Le jour­na­liste indé­pen­dant qué­be­cois Guy Boulianne publie sur son site un docu­ment rigou­reu­se­ment docu­men­té sur Klaus Schwab. Guy Boulianne écrit sur son site : « Ce qui suit est un long extrait d’un article écrit par le jour­na­liste d’investigation Johnny Vedmore le 20 février 2021, s’intitulant “Schwab Family Values”. J’ai tra­duit et trans­crit ce texte avec l’aimable auto­ri­sa­tion de l’auteur : “J’autorise bien une telle entre­prise et je vous en remer­cie”. »

À notre tour nous sou­hai­tons reprendre cette infor­ma­tion car elle est essen­tielle dans la com­pré­hen­sion des évé­ne­ments qui se déroulent sous nos yeux et sur­tout qui se pré­parent en cou­lisse. Johnny Vedmore com­mence ain­si son article :

Le vrai Klaus Schwab est-il ce vieux ton­ton bien­veillant qui ne sou­haite que du bien à l’hu­ma­ni­té, ou est-il en fait le fils d’un col­la­bo­ra­teur nazi qui a fait tra­vailler des esclaves et contri­bué aux efforts des Nazis pour obte­nir la pre­mière bombe atomique ?

Cette enquête très fouillée est syn­thé­ti­sée ci-des­sous en plu­sieurs cha­pitres que l’on ouvre en cli­quant sur le petit signe à droite.

Origine ashkénaze

Selon Ancestry.com, les parents de Klaus Schwab sont Eugen Wilhelm Schwab (né le 27 avril 1899 – décé­dé en 1982) et la Suisse d’origine juive Emma Gisela Tekelius Schwab (née Kilian), mariés à Karlsruhe en Allemagne le 2 octobre 1926. L’arbre généa­lo­gique de Klaus Schwab a été publié dans la “Crimeline & Evidence Library” gérée par les enquê­teurs du site “Americans for Innovation”.

Le quo­ti­dien suisse “Berner Zeitung” nous informe que Eugen Wilhelm Schwab diri­geait une usine de la socié­té suisse Escher, Wyss & Cie à Ravensburg, où Klaus Schwab est né le 30 mars 1938, selon son cur­ri­cu­lum vitae publié par le FEM. Des détails sur la famille pater­nelle de Klaus Schwab sont éga­le­ment divul­gués dans un arrêt du Tribunal fédé­ral suisse de 1950, consul­table à l’Université de Berne. Klaus Schwab se trouve dans l’exécution de la cour avec son frère cadet Urs Reiner men­tion­né à la page 376 du docu­ment. Toujours selon son cur­ri­cu­lum vitae, de 1967 à 1970 Klaus Schwab a été membre du direc­toire à Zurich pour la même entre­prise que son père, Escher, Wyss & Cie, rache­tée en 1969 par le groupe indus­triel Winterthur-Sulzer, qui chan­gea de nom en 1983 pour Sulzer-Escher Wyss AG.

Toujours selon Ancestry.com, le nom de famille Schwab a une ori­gine alle­mande et juive, c’est-à-dire ash­ké­naze. Par exemple, nous retrou­vons les Mémoires d’Henri Schwab (né en 1890), un locu­teur yid­dish du vil­lage alsa­cien de Gerstheim, dans le Bas-Rhin, qui furent publiées dans la revue Yod en 2011. Ou bien encore le rab­bin Marvin Schwab qui, en 2013, exa­mi­nait un rou­leau de la Torah qui a sur­vé­cu à l’extermination nazie des Juifs et de leurs objets reli­gieux dans la Tchécoslovaquie des années 1940. Cette ascen­dance est confir­mée par le site “Jewish Genealogy in Argentina” (Hebrew Surnames) qui écrit à pro­pos du nom Schwab : « La grande majo­ri­té des Juifs argen­tins des­cendent d’immigrants venus d’Europe. Ces Juifs ash­ké­nazes ont émi­gré de petites villes ou shte­tels de Pologne, de Lituanie, de Russie, d’Allemagne, de Roumanie ou d’Ukraine, lais­sant der­rière eux la plu­part de leurs parents juifs. Après deux ou trois géné­ra­tions, ces familles juives ont per­du la trace de leurs proches, ayant été sau­vées de la guerre, ont émi­gré vers d’autres pays comme les États-Unis, l’Angleterre ou l’Australie. »

La Suisse fournissait des armes aux Nazis

Au milieu des années 1930, Escher-Wyss s’est à nou­veau retrou­vé en dif­fi­cul­té finan­cière. Afin de sau­ver l’entreprise cette fois, un consor­tium a été mobi­li­sé pour sau­ver la firme d’ingénierie en dif­fi­cul­té. Le consor­tium a été en par­tie for­mé par la Banque fédé­rale de Suisse (qui était diri­gée par coïn­ci­dence par un Max Schwab, qui n’a aucun lien avec Klaus Schwab) et une nou­velle restruc­tu­ra­tion a eu lieu. En 1938, il a été annon­cé qu’un ingé­nieur de l’entreprise, le colo­nel Jacob Schmidheiny devien­drait le nou­veau pré­sident du conseil d’administration d’Escher-Wyss. Peu de temps après le déclen­che­ment de la guerre en 1939, Schmidheiny a été cité en disant : « Le déclen­che­ment de la guerre ne signi­fie pas néces­sai­re­ment le chô­mage pour l’industrie des machines dans un pays neutre, au contraire. »

Dans les années d’avant-guerre des années 1930 qui ont pré­cé­dé l’annexion de la Pologne par l’Allemagne, l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, désor­mais gérée direc­te­ment par le père de Klaus Schwab, Eugen Schwab, a conti­nué d’être le plus gros employeur de Ravensburg. Non seule­ment l’usine était un employeur impor­tant dans la ville, mais le propre par­ti nazi d’Hitler a décer­né à la suc­cur­sale Escher-Wyss de Ravensburg le titre de « Société modèle natio­nal-socia­liste » alors que Schwab était à la barre. Les nazis cour­ti­saient poten­tiel­le­ment la socié­té suisse pour la coopé­ra­tion dans la guerre à venir, et leurs avances ont fina­le­ment été réciproques.

Eugen Schwab dirigeant d’une société modèle nationale-socialiste…

De retour dans l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, Eugen Schwab était occu­pé à faire tra­vailler des tra­vailleurs for­cés dans son entre­prise nazie modèle. Pendant les années de la Seconde Guerre mon­diale, près de 3 600 tra­vailleurs for­cés ont tra­vaillé à Ravensburg, y com­pris à Escher Wyss. Selon l’archiviste de la ville de Ravensburg, Andrea Schmuder, l’usine de machines Escher-Wyss à Ravensburg employait entre 198 et 203 tra­vailleurs civils et pri­son­niers de guerre pen­dant la guerre. Karl Schweizer, un his­to­rien local de Lindau, déclare qu’Escher-Wyss a main­te­nu un petit camp spé­cial pour les tra­vailleurs for­cés dans les locaux de l’usine.

L’utilisation de masses de tra­vailleurs for­cés à Ravensburg a ren­du néces­saire l’installation de l’un des plus grands camps de tra­vaux for­cés nazis enre­gis­trés dans l’atelier d’une ancienne menui­se­rie de la Ziegelstrasse 16. À une cer­taine époque, le camp en ques­tion abri­tait 125 pri­son­niers de guerre fran­çais qui ont ensuite été redis­tri­bués dans d’autres camps en 1942. Les tra­vailleurs fran­çais ont été rem­pla­cés par 150 pri­son­niers de guerre russes qui, selon la rumeur, ont été trai­tés le plus mal de tous les pri­son­niers de guerre. L’une de ces pri­son­nières était Zina Jakuschewa, dont la carte de tra­vail et le cahier de tra­vail sont conser­vés par le United States Holocaust Memorial Museum. Ces docu­ments l’identifient comme une tra­vailleuse for­cée non juive affec­tée à Ravensburg, en Allemagne, en 1943 et 1944.

Eugen Schwab main­tien­drait conscien­cieu­se­ment le sta­tu quo pen­dant les années de guerre. Après tout, avec le jeune Klaus Martin Schwab né en 1938 et son frère Urs Reiner Schwab né quelques années plus tard, Eugen aurait vou­lu gar­der ses enfants à l’abri du danger.

… qui n’a pas été bombardée par les Alliés

Ravensburg était une ano­ma­lie dans l’Allemagne de guerre, car elle n’a jamais été la cible de frappes aériennes alliées. La pré­sence de la Croix-Rouge et la rumeur d’un accord avec diverses socié­tés, dont Escher-Wyss, ont vu les forces alliées accep­ter publi­que­ment de ne pas cibler la ville du sud de l’Allemagne. Elle n’a pas été clas­sée comme cible mili­taire impor­tante tout au long de la guerre et, pour cette rai­son, la ville conserve encore bon nombre de ses carac­té­ris­tiques d’origine. Cependant, des choses beau­coup plus sombres se pré­pa­raient à Ravensburg une fois la guerre commencée.

Eugen Schwab a conti­nué à gérer la « Société modèle natio­nal-socia­liste » pour Escher-Wyss, et la socié­té suisse aide­rait la Wermacht nazie à pro­duire des armes de guerre impor­tantes ain­si que des arme­ments plus basiques. La socié­té Escher-Wyss était un lea­der dans la tech­no­lo­gie des grandes tur­bines pour les bar­rages hydro­élec­triques et les cen­trales élec­triques, mais elle fabri­quait éga­le­ment des pièces pour les avions de chasse alle­mands. Ils étaient éga­le­ment inti­me­ment impli­qués dans des pro­jets beau­coup plus sinistres se dérou­lant dans les cou­lisses qui, s’ils étaient ache­vés, auraient pu chan­ger l’issue de la Seconde Guerre mondiale.

Le ren­sei­gne­ment mili­taire occi­den­tal était déjà au cou­rant de la com­pli­ci­té et de la col­la­bo­ra­tion d’Escher-Wyss avec les Nazis. Il existe des docu­ments dis­po­nibles auprès du ren­sei­gne­ment mili­taire occi­den­tal à l’époque, en par­ti­cu­lier le groupe d’enregistrement 226 (RG 226) à par­tir des don­nées com­pi­lées par l’Office of Strategic Services (OSS), qui montrent que les forces alliées étaient au cou­rant de cer­taines des rela­tions com­mer­ciales d’Escher-Wyss avec les Nazis.

Klaus Schwab sur les traces de son père

Klaus Schwab est allé tra­vailler pour l’ancienne entre­prise de son père, Escher-Wyss, qui devien­dra bien­tôt Sulzer Escher-Wyss AG, Zurich, en tant qu’assistant du pré­sident pour aider à la réor­ga­ni­sa­tion des socié­tés qui fusionnent.

C’est ici, à la fin des années 1960, que nous voyons Klaus com­men­cer à émer­ger en tant que per­son­nage plus public. À cette époque, la socié­té Sulzer Escher-Wyss s’est éga­le­ment plus que jamais inté­res­sée à s’engager avec la presse. En jan­vier 1969, les géants suisses mettent en place une séance de consul­ta­tion publique inti­tu­lée « Press Day of the Machine Industry », qui porte prin­ci­pa­le­ment sur des ques­tions de ges­tion d’entreprise. Au cours de l’événement, Schwab a décla­ré que les entre­prises uti­li­sant des styles de ges­tion d’entreprise auto­ri­taires sont « inca­pables d’activer plei­ne­ment le “capi­tal humain” », un argu­ment qu’il a uti­li­sé à plu­sieurs reprises à la fin des années 1960.

En 1967, Klaus Schwab a pris la tête de la fusion entre Sulzer et Escher-Wyss, ain­si que des alliances fruc­tueuses avec Brown Boveri et d’autres. Brown Boveri est un groupe d’entreprises suisses d’ingénierie élec­trique qui avait éga­le­ment tra­vaillé pour les nazis, four­nis­sant aux Allemands une par­tie de leur tech­no­lo­gie de sous-marin uti­li­sée pen­dant la Seconde Guerre mon­diale. Brown Boveri a éga­le­ment été décrit comme « entre­pre­neurs en élec­tri­ci­té liés à la défense » et trou­ve­rait que les condi­tions de la course aux arme­ments de la guerre froide étaient béné­fiques pour leur entreprise.

En décembre 1967, Klaus s’exprimait lors d’un évé­ne­ment à Zurich devant les plus grandes orga­ni­sa­tions suisses d’ingénierie méca­nique ; l’Association patro­nale des fabri­cants suisses de machines et de métaux et l’Association des fabri­cants suisses de machines.

Klaus Schwab aidait à faire de Sulzer Escher-Wyss quelque chose de plus qu’un simple géant de la construc­tion de machines, il les trans­for­mait en une entre­prise tech­no­lo­gique condui­sant à grande vitesse vers un ave­nir de haute tech­no­lo­gie. Il convient éga­le­ment de noter que Sulzer Escher-Wyss a chan­gé d’orientation de son acti­vi­té pour les aider à « consti­tuer la base des pro­duits de tech­no­lo­gie médi­cale », un domaine qui n’était pas men­tion­né aupa­ra­vant comme une indus­trie cible pour Sulzer et/​ou Escher-Wyss.

L’entreprise de Klaus Schwab impliquée dans la fabrication illicite de l’arme nucléaire

Escher-Wyss avait par­ti­ci­pé à la fabri­ca­tion et à l’installation de la tech­no­lo­gie nucléaire au moins dès 1962, comme le montrent ce bre­vet pour un « dis­po­si­tif d’échange de cha­leur pour une cen­trale nucléaire » et ce bre­vet de 1966 pour un « réac­teur nucléaire à tur­bine à gaz. avec refroi­dis­se­ment d’urgence ». Après que Schwab ait quit­té Sulzer Escher-Wyss, Sulzer aide­rait éga­le­ment à déve­lop­per des tur­bo­com­pres­seurs spé­ciaux pour l’enrichissement de l’uranium afin de pro­duire des com­bus­tibles pour réacteurs.

Lorsque Klaus Schwab a rejoint Sulzer Escher-Wyss en 1967 et a com­men­cé la réor­ga­ni­sa­tion de l’entreprise en une socié­té tech­no­lo­gique, l’implication de Sulzer Escher-Wyss dans les aspects les plus sombres de la course mon­diale aux arme­ments nucléaires est deve­nue immé­dia­te­ment plus pro­non­cée. Avant que Klaus ne s’implique, Escher-Wyss s’était sou­vent concen­tré sur l’aide à la concep­tion et à la construc­tion de pièces pour les uti­li­sa­tions civiles de la tech­no­lo­gie nucléaire, par exemple la pro­duc­tion d’énergie nucléaire. Pourtant, avec l’arrivée de l’ardent M. Schwab, l’entreprise a éga­le­ment par­ti­ci­pé à la pro­li­fé­ra­tion illé­gale de la tech­no­lo­gie des armes nucléaires. En 1969, l’incorporation d’Escher Wyss dans Sulzer était entiè­re­ment ache­vée et ils seraient renom­més en Sulzer AG, sup­pri­mant le nom his­to­rique Escher-Wyss de leur nom.

Il a fina­le­ment été révé­lé, grâce à un exa­men et à un rap­port réa­li­sé par les auto­ri­tés suisses et un homme du nom de Peter Hug, que Sulzer Escher-Wyss avait com­men­cé secrè­te­ment à se pro­cu­rer et à fabri­quer des pièces clés pour les armes nucléaires au cours des années 1960. La socié­té, alors que Schwab était membre du conseil d’administration, a éga­le­ment com­men­cé à jouer un rôle clé dans le déve­lop­pe­ment du pro­gramme d’armes nucléaires illé­gales de l’Afrique du Sud pen­dant les années les plus sombres du régime d’apartheid. Klaus Schwab était une figure de proue dans la fon­da­tion d’une culture d’entreprise qui a aidé Pretoria à construire six armes nucléaires et à en assem­bler par­tiel­le­ment une septième.

Les banques suisses aide­raient à finan­cer la course sud-afri­caine aux armes nucléaires et, en 1986, Sulzer Escher-Wyss pro­dui­sait avec suc­cès des com­pres­seurs spé­ciaux pour l’enrichissement de l’uranium.

La fondation du Forum Économique Mondial

En 1970, le jeune arri­viste Klaus Schwab écrit à la Commission euro­péenne et demande de l’aide pour mettre en place un « think tank non com­mer­cial pour les chefs d’entreprise euro­péens ».

Session inaugurale - Forum Économique Mondial - 1971

Klaus Schwab accueille les par­ti­ci­pants lors du 1er Forum Économique Mondial de 1971. Otto von Habsburg (à gauche) avait pro­non­cé le dis­cours d’ou­ver­ture. [source]

Ainsi, en 1970, Schwab a quit­té Escher Wyss pour orga­ni­ser une confé­rence de ges­tion d’entreprise de deux semaines. En 1971, la pre­mière réunion du Forum éco­no­mique mon­dial – alors appe­lé European Management Symposium – s’est tenue à Davos, en Suisse.

Environ 450 par­ti­ci­pants de 31 pays pren­draient part au pre­mier Symposium euro­péen de ges­tion de Schwab, prin­ci­pa­le­ment com­po­sé de diri­geants de diverses entre­prises euro­péennes, de poli­ti­ciens et d’universitaires amé­ri­cains. Le pro­jet a été enre­gis­tré comme orga­ni­sé par Klaus Schwab et sa secré­taire Hilde Stoll qui, plus tard la même année, devien­dra l’épouse de Klaus Schwab.

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Henry Kissinger et son ancien élève, Klaus Schwab, accueillent l’ancien Premier ministre bri­tan­nique Ted Heath lors de la réunion annuelle du FEM en 1980. Source : Forum éco­no­mique mon­dial.

Références

Rappelons que cette syn­thèse est issue d’un article de Guy Boulianne qui s’est don­né la peine de tra­duire l’en­quête de Johnny Vedmore.

Aujourd’hui Klaus Schwab veut nous conduire vers la mon­naie vir­tuelle, vers le trans­hu­ma­nisme, vers le puçage électronique.

Faut-il faire confiance à cet homme-là ?

Georges Gourdin

9 Commentaires 

  1. Il manque dans tout cela ce qui a déclen­ché l’ire de l’Adolph contre les « juifs ». Rappelons que l’Adolph n’a pas man­qué de faire exé­cu­ter son amant Röhm. L’Adolph était une petite p.t..n homo. La maî­tresse du ci-devant Röhm. Cela devrait éveiller des réflexions, non ? Ce petit point de « détail » ci-des­­sus évo­qué manque à l’é­la­bo­ra­tion, la concré­ti­sa­tion, de ma réflexion. Je cherche et ne trouve pas l’élé­ment déclen­cheur de la haine dévas­ta­trice dudit Adolph car juifs — « juif » étant un sim­pli­fi­ca­teur ter­mi­no­lo­gique sans conno­ta­tion dans mon esprit — et nazis ont étroi­te­ment col­la­bo­ré jus­qu’en octobre 1942, ce à bien des égards et contre tout ce que l’on veut faire accroire.

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  2. Historiquement par­lant,
    – Pétain a pro­té­gé les Juifs fran­çais
    – Hitler a pro­té­gé les Juifs qui fabri­quaient des armes.
    Je sais bien que ce n’est pas ce qu’on nous apprend à l’é­cole et à la télé, mais c’est bien la véri­té.
    De sur­croît on peut s’in­ter­ro­ger sur les rai­sons pour les­quelles l’u­sine Escher-Wyss de Ravensbourg de papa Schwab n’a pas été bom­bar­dée par les Alliés. Alliés de Qui ?

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  3. Excellente enquête que Nice Provence Info a le mérite de relayer.
    Les Nazis ont per­du la guerre, mais pas ceux qui ont mani­gan­cé tout ça.
    Maintenant je com­prends pour­quoi des Soros ou des Schwab se retrouvent aujourd’­hui aux manettes.
    Comme toutes les guerres depuis Napoléon, les mêmes puis­sances fomentent toutes les guerres et financent les deux par­ties : pile je gagne, face tu perds.
    Ainsi « ils » sont sûrs de gagner.

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    • Réponse à Mireille
      Ceux qui perdent, ce sont tou­jours les mêmes : le peuple des gueux, des moins que rien, des sans-dents, la chair à canon qui va mou­rir « héroï­que­ment » à la guerre, et qui aujourd’­hui se fait vac­ci­ner. Tout s’é­claire peu à peu.

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  4. Macron, on le voit bien sur la pho­to, rem­plit son rôle de pan­tin.
    Il est ridi­cule.
    C’est affli­geant pour la France.
    On va s’en sor­tir ou pas ?

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    • Il paraît que oui, mais avant ça, on va dégus­ter, d’où le moto : se pré­pa­rer à être indé­pen­dant le plus pos­sible car l’a­ve­nir n’est pas dépeint très rose.

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    • Faut avoir confiance en l ave­nir. C’est dur pour cer­tains car ça prend du temps. Il faut etre posi­tif surtout.

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  5. Mais c’est bien sûr… Tout cela se tient : les nazis et les pseu­­do-juifs, l’arme nucléaire, le vac­cin, le pas­se­port numé­rique et le trans­hu­ma­nisme.
    L’écran de fumée s’es­tompe peu à peu.
    Merci à Nice Provence Info

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  6. On retrouve tou­jours les mêmes.
    Ça pue, ça pue, ça pue !

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