Vaccination : les Français pas si sereins que ça
Depuis que les sites d’informations médicales ont vu le jour, le comportement des patients a considérablement évolué avec, comme toujours, des dérives que cela ne manque pas d’entraîner dans nos sociétés devenues hyper-hygiénistes (suspicion, hypocondrie, automédication, etc.). Bref, aujourd’hui, on ne fait plus aveuglément confiance à son médecin. Quand ce dernier pose un diagnostic, la première réaction du patient est souvent d’aller faire des recherches sur internet. Pour preuve, en cette période trouble d’injections massives de produits expérimentaux, les consultations des sites médicaux ont explosé. À tel point que certains se sont demandé si le volume de saisies de certains mots dans les moteurs de recherches pouvait fournir une indication sur les effets secondaires rencontrés par les personnes injectées.
Le chroniqueur Antonin Campana (Terre autochtone) s’est attelé à cette petite étude en faisant appel à Google Trends, un outil de Google Labs qui permet de connaître, sur une période donnée, la fréquence à laquelle un mot (ou une expression) est saisi dans le moteur de recherche Google. Il a retenu pour cette exploration la période 2016–2021 qui couvre l’avant et l’après Covid.
Les courbes obtenues sont extraordinairement parlantes
On constate des évolutions complètement atypiques de la popularité de certains termes saisis. Ce qui traduit, à l’évidence, l’intérêt des chercheurs, mais aussi leurs interrogations et, très probablement, leurs inquiétudes.
De novembre 2016 à février-mars 2021, la fréquence, proche de zéro, ne varie pas puis atteint son maximum début 2021 avant de retomber, sans retrouver son niveau des années précédentes. Il n’est donc pas possible de dissocier cette popularité exceptionnelle de la vaccination intensive (précisons que le niveau 100 n’indique pas le nombre d’incidences mais l’évolution de la « popularité »).
Très clairement, l’intérêt pour les effets secondaires des « vaccins » ne précède pas les injections, mais les suivent
Globalement, si la population a fait confiance au discours politique, médiatique et pseudo-scientifique et rejoint les vaccinodromes en courant, elle n’en manifeste pas moins une inquiétude quant aux effets secondaires potentiels ou constatés. Ces personnes inquiètes ont-elles été exposées elles-mêmes à ces effets ou les ont-elles constatés chez des proches ? Peu importe, ce qui est sûr, c’est que sans vaccination ces courbes seraient restées aussi plates qu’avant 2020.
Par ailleurs, cette soudaine popularité des termes recherchés suggère que, pour la plupart des cas, un professionnel de santé a déjà été consulté et a posé un diagnostic. La question se pose donc de savoir si ces consultations ont toutes été remontées vers les Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV). Eu égard à l’opacité qui règne sur les chiffres officiels, on peut en douter.
Enfin et surtout, l’apparition soudaine d’une volonté de signaler les effets secondaires des « vaccins » (dernière courbe) atteste sans ambiguïté que ces effets existent et sont bien imputables aux injections et non à quelque cause relevant du hasard.
Alors, toutes ces courbes valent ce qu’elles valent, certes, mais elles témoignent clairement d’un grand trouble dans la population injectée. Sont-elles le signe que quelque chose de grave est en gestation ? L’avenir le dira.
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
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