La Sécu dans le trou

par | 21 octobre 2022 | 5 Commentaires 

Décidément la Sécu s’obstine à vouloir « vacciner » tout le monde contre le Covid-19

L’Assurance Maladie des Alpes Maritimes a envoyé une lettre cir­cu­laire aux séniors les inci­tant à se faire « vac­ci­ner » contre le Covid-19 :

Sécu - Vaccin anti-Covid - octobre 2022

Vous avez bien lu : « Vaccinez vous aus­si contre le Covid-19 et vous serez ain­si dou­ble­ment pro­té­gé ! » Ah bon ? Les diri­geants de Pfizer recon­naissent eux mêmes que la « potion injec­tée », abu­si­ve­ment dénom­mée « vac­cin », n’a fait l’ob­jet d’au­cune vali­da­tion avant sa mise sur le mar­ché. Nice Provence Info dénonce depuis mars 2020 la mani­pu­la­tion mon­diale autour de ce virus arti­fi­ciel qui n’a pour objet que de trans­fé­rer des mil­liards d’argent public aux copains et aux coquins de Big Pharma en même temps que de jus­ti­fier un pro­fi­lage numé­rique liber­ti­cide. Mais le Docteur Dominique Martin, méde­cin-conseil natio­nal, ne lit pro­ba­ble­ment pas Nice Provence Info. Et c’est bien dommage.

« Serait-ce pos­sible ! Ce vieux saint dans sa forêt n’a pas encore enten­du dire que Dieu est mort !» (Nietzsche). « Dieu » ici, c’est le « vaccin ».

Le Docteur Dominique Martin, méde­cin-conseil natio­nal, serait alors le der­nier à être infor­mé que son dieu est mort ?
Le Docteur Dominique Martin n’a pas eu connais­sance des sta­tis­tiques très offi­cielles de l’ad­mi­nis­tra­tion euro­péenne sur la sur­mor­ta­li­té actuelle crois­sante liée aux cam­pagnes mas­sives d’in­jec­tions qua­si-obli­ga­toire ?Excès mortalité Europe 2022Le Docteur Dominique Martin n’a pas écou­té la confé­rence de presse de Christine Anderson, dépu­tée et membre de la Commission d’en­quête sur Pfizer ?

Le Docteur Dominique Martin n’a pas enten­du son émi­nent col­lègue, le Professeur Christian Perronne, décla­rer devant par le Parlement euro­péen à Strasbourg : « Les orga­ni­sa­teurs de ce com­plot mon­dial voient que leur plan machia­vé­lique se casse la figure ».
Le Docteur Dominique Martin ne sait tou­jours pas que le Parquet euro­péen enclenche une enquête sur les contrats d’a­chats de mil­liards de fioles de potion dou­teuse à Pfizer :

Tout ceci est très grave

Sur le plan éco­no­mique car des mil­liards d’eu­ros sont détour­nés des caisses de l’Assurance Maladie au pro­fit des labo­ra­toires. Ces mil­liards bien mal acquis par Big Pharma devront un jour reve­nir dans les caisses de la Sécu pour la renflouer.

Sur le plan éthique car le Docteur Dominique Martin recom­mande déli­bé­ré­ment un trai­te­ment hasar­deux au mieux, mais bien plu­tôt néfaste. Il ne peut l’i­gno­rer. Il bafoue ain­si sans ver­gogne le ser­ment d’Hippocrate : « Primo non nocere », Tout d’a­bord ne pas nuire.

Georges Gourdin


Postface : dès 2017 le Docteur Dominique Martin avait mon­tré sa sou­mis­sion à l’in­dus­trie phar­ma­ceu­tique en cou­vrant les méfaits du Lévothyrox nou­velle for­mule.
Il est donc néces­saire de bien com­prendre que le méde­cin-conseil natio­nal de la Sécu est un lam­piste de Big Pharma. Il n’est pas là pour pro­té­ger les malades, les assu­rés et les coti­sants, il est là pour pro­té­ger Big Pharma.
Aujourd’hui encore il per­siste en vou­lant nous faire injecter.

5 Commentaires 

  1. Tout cela est bien gen­til de com­men­ter sur le Covid, les labos, ce méde­­cin-godillot, mais que com­prennent les peuples Français et Européens dans cette énorme propogande.

    Pour quelle rai­son tous les nobels en méde­cine, Professeurs/​médecins, spé­cia­listes en viro­lo­gie, immu­no­lo­gie, etc… ne font-ils eux-mêmes des péti­tions en pre­mier lieu, puis une demande d’au­dience dans les hémi­cycles par­le­men­taire et séna­to­rial… voire une irruption ?

    Répondre
  2. Alors que faire puisque per­sonne ne bouge ?
    Et parce que per­sonne ne bouge tous ces escrocs de la méde­cine et de la science sont tou­jours en place, pro­té­gés par leur Mentor !

    Répondre
  3. Bien d’ac­cord avec tout ce qui est dit dans les deux pré­cé­dents messages.

    Répondre
  4. Je suis fort aise de vous entendre dire tout cela. Je sais tout cela. Beaucoup de gens savent tout cela. Nos « enne­mis » réels agis­sant en tapi­nois pour l’ac­crois­se­ment de leur for­tune, le pou­voir abso­lu par marion­nettes inter­po­sées, la dépo­pu­la­tion et l’es­cla­vage des humains (sic) qu’il res­te­ra sur terre (cf. Guide Stones) savent que beau­coup de gens savent tout cela. Et ils s’en foutent car­ré­ment puisque assu­rés de leur impu­ni­té dans leurs tours d’i­voire. Au moins le croient-ils et pour le temps que cela dure­ra encore. Il est vrai que leurs tours tel le mon­dia­lisme com­mence à res­sem­bler à la tour de Pise. Après une guerre indus­trielle euro­péenne débor­dée et deux guerres mon­diales, toutes capi­ta­listes, je puis leur sou­hai­ter le pire sans état d’âme d’au­tant plus que ceux là fomentent la ruine de l’Europe. Un bon conflit, une bonne épi­dé­mie sou­te­nus par l’empire du men­songe et de la fal­si­fi­ca­tion, cela rap­porte gros. N’est-ce pas ?

    Répondre
  5. Mais il est clair que ce méde­cin cor­rom­pu est là pour pro­té­ger D’ABORD les inté­rêts des labos.
    Il est là pour siphon­ner la Sécu au pro­fit de ses vrais patrons : les labos.
    Les effets secon­daires — y com­pris la mort — de la potion Pfizer ou du Lévothyrox, il n’en a rien à cirer. La preuve : il est tou­jours là, et après des dizaines de mil­liers d’ef­fets secon­daires cala­mi­teux, la Sécu conti­nue de pres­crire le Lévothyrox nou­velle for­mule et conti­nue de recom­man­der l’in­jec­tion de la mort.
    C’est dif­fi­cile à l’ad­mettre, mais la véri­té est là : tous nos diri­geants sont mis en place par des puis­sances d’argent plus ou moins affi­chées pour qu’elles conti­nuent à s’en­ri­chir encore plus.
    Macron lui même n’est là que pour pro­té­ger la banque mon­dia­li­sée qui l’a para­chu­té à l’Élysée. Et Macron le dit lui-même : il est en guerre CONTRE le Peuple.

    Répondre

Envoyer le commentaire

Votre adresse e‑mail ne sera pas publiée. Les champs obli­ga­toires sont indi­qués avec *

Je sou­haite être notifié(e) par mes­sa­ge­rie des nou­veaux com­men­taires publiés sur cet article.