Philippe Guillemant, l’éclaireur

par | 29 octobre 2022 | 7 Commentaires 

Ce n’est pas un hasard si Philippe Guillemant a déclen­ché l’ire de la Bien Pensance (voir notre article du 26 octobre 2022 : Nice Matin sait ce qui doit être pro­fes­sé à l’université). Rappelons que Philippe Guillemant est ingé­nieur phy­si­cien fran­çais diplô­mé de l’École Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Il est éga­le­ment Docteur en Physique du Rayonnement et habi­li­té à diri­ger des recherches. Il exerce son acti­vi­té au CNRS où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe. Tout irait bien si mon­sieur Guillemant s’en tenait à ses recherches pure­ment tech­niques. Il agace la Bien Pensance car il englobe ses tra­vaux dans des recherches beau­coup plus glo­bales, et tou­jours très rigou­reuses, qui touchent à la conscience ou à l’in­tui­tion. Philippe Guillemant ouvre les portes de la science, en réin­ven­tant l’a­dage de Rabelais « Science sans conscience, n’est que ruine de l’âme ». Mais pour l’Académie — et Nice Matin — c’est un hérétique.

Philippe Guillemant - Grand virage humanité

Avouons aus­si que les tra­vaux de notre éclai­reur exigent un niveau éle­vé d’ou­ver­ture d’es­prit et de réflexion pour les appré­hen­der. Voilà pour­quoi nous avions publié le 14 décembre 2021 Et si le Covid était un « bon » virus ? qui se vou­lait une recen­sion de son livre Le grand virage de l’hu­ma­ni­té. Philippe Guillemant « en remet une couche » avec un édi­to­rial qu’il publie à l’oc­ca­sion d’une réédi­tion de ce livre (Guy Trédaniel Éditeur) et paru le 20 octobre dans anthro­po-logiques qu’il inti­tule : « Je suis encore plus opti­miste qu’a­vant ! » Lisez ce texte de Philippe Guillemant à défaut de lire son ou ses livres. C’est peut-être un peu long, mais lisez quand même, en plu­sieurs fois s’il le faut. C’est lumi­neux.

Ce livre (Le grand virage de l’hu­ma­ni­té – De la déroute du trans­hu­ma­nisme à l’é­veil de la conscience col­lec­tive) ose une inter­pré­ta­tion posi­tive et même opti­miste – pour ne pas dire joyeuse – de la crise de la covid et de sa suite éner­gé­tique. Écrit en 2020 pen­dant l’é­tat d’ur­gence sani­taire, « le grand virage de l’hu­ma­ni­té » annon­çait déjà que la socié­té de contrôle numé­rique, qua­li­fiée de « fou­tur », vers laquelle ces mesures sem­blaient nous conduire, était en train de dis­pa­raître au pro­fit d’un nou­veau futur qua­li­fié de « futé lumi­neux », sur la base de l’ob­ser­va­tion de « traces du futur » dans les évè­ne­ments ayant pré­cé­dé la crise.

Dans ce der­nier futé lumi­neux, l’homme s’é­veille enfin à la véri­table nature de sa réa­li­té et apprend à se relier à plus grand que lui, non pas dans une démarche reli­gieuse mais plu­tôt spi­ri­tuelle et laïque, par une connexion retrou­vée avec son âme et son esprit. Cela se pro­duit d’au­tant plus vite que la vraie science finit par admettre les fon­de­ments ration­nels de ces deux der­niers concepts spi­ri­tuels, comme l’ex­plique ce livre en seconde partie.

Où en est-on aujourd’hui ?

Il s’a­vère qu’en seule­ment deux ans, ce que je nomme par opti­misme la « sainte vague de la covid » aura bel et bien fait son œuvre en modi­fiant en pro­fon­deur la tra­jec­toire du « navire huma­ni­té » dans le bon sens, et c’est de ce constat posi­tif dont il est ques­tion dans cet avant-pro­pos. Après avoir noté dans un pre­mier temps que rien n’é­tait à chan­ger dans ce livre qui aurait pu mal vieillir durant ces deux années d’é­vè­ne­ments mar­quants, j’ai déci­dé d’ex­pli­quer pour­quoi les dits évè­ne­ments en confirment à contra­rio le pro­pos posi­tif et la per­ti­nence, tout en lui don­nant un nou­vel éclai­rage rassurant.

Bien enten­du, quelques années de chaos ou de tra­ver­sée du désert attendent encore une majo­ri­té d’entre nous avant qu’un nou­veau futur enthou­sias­mant soit pal­pable de façon glo­bale, mais il se des­sine déjà ça et là, loca­le­ment, au gré d’i­ni­tia­tives rési­lientes et soli­daires qui ont été for­te­ment boos­tées par l’ap­pa­ri­tion de col­lec­tifs résis­tants, et encore plus récem­ment par la crise énergétique.

On ne conquiert un monde deve­nu suf­fi­sam­ment conscient ni par la force, ni par la peur ni par la trom­pe­rie. Voilà la grande leçon de la crise covidienne.

En 2022, cette crise a ces­sé d’en mas­quer une autre bien plus impor­tante, s’a­gis­sant de l’ef­fon­dre­ment atten­du de l’empire occi­den­tal et plus pré­ci­sé­ment de sa mon­naie, ain­si que de sa vision mon­dia­liste uni­po­laire à visée trans­hu­ma­niste. Aujourd’hui, le pro­jet de sau­ve­tage glo­ba­liste du forum éco­no­mique mon­dial de Davos*, qui ras­semble les acteurs de cette vision maté­ria­liste de l’hu­main, a du plomb dans l’aile. Une vision à contra­rio mul­ti­po­laire du monde, por­tée par une nou­velle alliance finan­cière orien­tale, voire anti-occi­den­tale, semble en effet doré­na­vant s’im­po­ser comme puis­sant contre-pouvoir.

Une scis­sion s’est en effet ins­tal­lée au sein de l’empire glo­ba­liste et le navire huma­ni­té s’est scin­dé en deux par­ties. L’humanité est ain­si embar­quée aujourd’­hui sur deux navires dif­fé­rents (à ne pas confondre avec les deux futurs déjà cités). Comme pour mas­quer les échecs répé­tés du plan mon­dia­liste de Davos, inca­pable d’en­di­guer l’ef­fon­dre­ment finan­cier iné­luc­table qui est la véri­table cause de cette scis­sion, un simu­lacre de guerre entre l’est et l’ouest est appa­ru comme pré­texte (fausse cause) et je n’au­rais jamais cru, lorsque j’ai fait ce jeu de mots à pro­pos de la vac­ci­na­tion dans la pre­mière édi­tion, qu’il s’a­vè­re­rait aus­si pertinent :

Avec la vac­ci­na­tion contre le coro­na­vi­rus, expo­sions-nous notre corps au navire russe, ou expo­sions-nous notre corps au navire US ?

Quoi qu’il en soit, écri­vais-je déjà à l’é­poque, on nous a bel et bien menés en bateau, via une trom­pe­rie liée à l’ins­tru­men­ta­li­sa­tion mon­dia­liste de la covid en vue d’une grande réini­tia­li­sa­tion finan­cière, fon­dée sur l’i­den­ti­té numé­rique mobile. Mais la cen­sure géné­ra­li­sée qui a vou­lu éteindre le feu allu­mé par les sus­pi­cions (qu’entre autres, le pass sani­taire en était un pré­lude) n’a fait que dévoi­ler une grande fai­blesse par cette manœuvre ! Nous étions cen­sés accep­ter l’i­dée que les plus grandes puis­sances finan­cières de la pla­nète, alliées entre elles ain­si qu’a­vec les médias domi­nants, pou­vaient pani­quer devant une intel­li­gence col­lec­tive du niveau des théo­ri­ciens de la terre plate, au point de prendre contre elle des mesures de cen­sure anticonstitutionnelles !

Et comme nou­velle preuve de leur fai­blesse, une sainte vague a pré­ci­pi­té une scis­sion de l’hu­ma­ni­té en bou­le­ver­sant sa tra­jec­toire selon deux navires distincts.

Une sainte vague ? Mais de quoi s’agit-il ?

On com­pren­dra mieux en la nom­mant « vague sainte ». Ou plu­tôt, si l’on revient à son ori­gine mas­cu­line, il s’a­git du « vague saint », qui a subi le même sort que « le covid » après sa fémi­ni­sa­tion en « la covid ». Comme s’il fal­lait appa­rem­ment fémi­ni­ser tout ce qui rate, une habi­tude très fran­çaise, je parle donc moi aus­si de « vague sainte » plu­tôt que de vac­cin, mais vous allez voir que c’est pour la bonne cause.

Car s’il por­tait bien sa déno­mi­na­tion de « vague saint », c’est parce que le vac­cin a été por­té en odeur de sain­te­té comme seul moyen de sau­ver l’hu­ma­ni­té. Même le Pape s’en est fait le porte-parole et pour­tant, comme son nom l’in­dique, il s’a­gis­sait d’un saint trop vague pour être un vrai saint, ne mani­fes­tant en réa­li­té qu’un sub­ter­fuge de sainteté.

Il en va exac­te­ment de même pour le vac­cin ARNm contre la covid, très dif­fé­rent d’un véri­table vac­cin. S’agissant d’une injec­tion expé­ri­men­tale à effets secon­daires impor­tants, son lien avec une sainte vac­ci­na­tion est encore plus vague que le rap­port entre du Canada dry et une bois­son alcoolisée.

Revenons en main­te­nant au sens inverse caché du « vague saint » qui s’ex­prime dans la « sainte vague » dont j’ai par­lé. Notez que dans cette inver­sion le mot « vague » a lui aus­si com­plè­te­ment chan­gé de sens. Il ne s’a­git plus de quelque chose de vague au sens de trouble, mais d’une vraie vague qui inverse lit­té­ra­le­ment le conte­nu du « vague saint ».

Les jeux de mots prêchent ain­si en faveur d’un effet inverse de l’i­no­cu­la­tion, sus­cep­tible de dévoi­ler le sub­ter­fuge de l’ins­tru­men­ta­li­sa­tion du vac­cin par nos zélites mon­dia­listes, en se retour­nant contre elles tel un boo­me­rang. Et effec­ti­ve­ment, même le citoyen ordi­naire a fini par com­prendre, vu l’i­nu­ti­li­té du pass vac­ci­nal en matière de pro­tec­tion sani­taire, que ces zélites étaient beau­coup plus atta­chées à les iden­ti­fier et tra­cer numé­ri­que­ment qu’à les protéger.

Personne ne devrait donc pou­voir échap­per à la néces­si­té de tra­ver­ser l’a­bîme d’illu­sions et de men­songes qu’elles auront ain­si ouvert.

Comme toute épreuve ayant impo­sé une tra­ver­sée du désert ou du fond d’un abîme pour rejoindre l’autre ver­sant, cette vague risque de nous faire cha­vi­rer, mais pas tout le monde. Ceux qui la négo­cie­ront en conscience sau­ront évo­luer vers l’autre ver­sant, celui d’où l’on se réjouit en pre­nant du recul sur la crise pour en dis­cer­ner le plus mer­veilleux des aspects, que nous abor­de­rons plus loin.

Voyons entre temps les choses de façon plus réa­liste. Qu’il s’a­gisse d’un sau­veur pour les uns ou d’un épou­van­tail pour les autres, on peut dire que le vac­cin a joué un [sain] rôle phy­sique pour les pre­miers et qu’il a pro­vo­qué un [saint] cas de conscience pour ceux qui l’ont rejeté.

S’agissant de se posi­tion­ner au choix, sur le « sain » plan phy­sique du corps ou sur le « saint » plan spi­ri­tuel de l’âme, les deux étant mal­heu­reu­se­ment ren­dus incom­pa­tibles par le sub­ter­fuge, il se réa­lise ain­si une pre­mière scis­sion entre deux par­ties de l’hu­ma­ni­té, non sans lien avec la scis­sion géo­po­li­tique mais j’y revien­drai. Cette scis­sion a divi­sé les familles, elle a cas­sé des couples, elle a exclu des dizaines de mil­liers de soi­gnants, décou­ra­gé des cen­taines de mil­liers d’en­sei­gnants, fabri­qué des col­lec­tifs entiers de nou­veaux amis, de per­sonnes qui cherchent à vivre autre­ment. La perte de sens étant géné­rale, ce sont au final des mil­lions de fran­çais insou­mis qui ont refu­sé le vac­cin et aspirent aujourd’­hui à chan­ger de vie, effa­rés par le sort qui leur a été réservé.

La poli­tique visant à se débar­ras­ser du consen­te­ment éclai­ré pour impo­ser par la contrainte une obli­ga­tion vac­ci­nale juri­di­que­ment illé­gale a été exé­crable. Mais elle a mis en évi­dence une situa­tion où jouer le tout pour le tout était mani­fes­te­ment le seul choix qui res­tait pour ses com­man­di­taires. C’était donc de leur part un pari qui tra­his­sait qu’une situa­tion de panique devait plus ou moins régner chez eux. Or il semble bien que c’est tou­jours le cas aujourd’­hui, compte tenu du fait que les mesures exer­cées contre la Russie ont eu là encore un effet boo­me­rang, plon­geant le citoyen ordi­naire devant le constat qu’il aura froid cet hiver à cause de l’in­co­hé­rence des choix de ses dirigeants.

Autrement dit, il semble bien qu’une panique auto­des­truc­trice ait enva­hi ceux qui tirent les ficelles du monde occi­den­tal. Y‑aurait-il encore un capi­taine dans son navire ? J’en doute fort, car aucune agence employant les moyens les plus puis­sants du monde n’est en mesure de pré­voir l’is­sue du chaos social résul­tant d’un pro­ces­sus de démo­li­tion, fut-il contrô­lé comme on pour­rait le pen­ser des mesures contre la Russie, dont les consé­quences éner­gé­tiques étaient pré­vi­sibles. Mais je pré­fère lais­ser l’i­dée que cette auto­des­truc­tion était entiè­re­ment pro­gram­mée d’a­vance (et non par­tiel­le­ment comme je le pense) à cet esprit de para­noïa qui imprègne à juste titre les milieux pré­ten­dus com­plo­tistes, qui ne font après tout que recher­cher les causes de cette folie des­truc­trice(1).

Je n’aime cepen­dant pas faire de la poli­tique et lors­qu’on me demande en confé­rence quelles sont mes opi­nions à ce sujet je concède la réponse sui­vante : « Les marion­nettes accu­mulent les très mau­vaises déci­sions parce que les marion­net­tistes sont en panique ».

Mais pour­quoi exis­te­rait-il des marion­nettes et des marion­net­tistes ? Parce que l’être humain n’a pas encore com­pris le sens de sa vie sur terre et qu’il demande à être assis­té par un autre « plus grand que lui-même » que celui qu’il pos­sède déjà en soi. Il délègue ain­si son libre arbitre à quan­ti­té d’ins­tances qui ne sont pour­tant pas en mesure de le satis­faire indi­vi­duel­le­ment, sauf à faire appel à des intel­li­gences artificielles.

Nous y voilà.

Un indi­vi­du non relié à soi est essen­tiel­le­ment contrô­lable, car incons­cient de son « libre arbitre » au sens de sa sou­ve­rai­ne­té inté­rieure. La sou­mis­sion des peuples aux mesures sani­taires est clai­re­ment due à cette absence de sou­ve­rai­ne­té, absence incul­quée dès notre édu­ca­tion maté­ria­liste. N’y voyons là rien de fomen­té par une quel­conque volon­té exté­rieure, car c’est bien plus à nous qu’il incombe de nous éveiller, plu­tôt qu’à d’é­ven­tuels inté­rêts de nous endor­mir. C’est plu­tôt le fait de nous voir endor­mis qui peut don­ner l’i­dée de pro­fi­ter de la situa­tion, alors n’in­ver­sons pas les rôles.

De la même façon, la sou­mis­sion des états aux ins­tances mon­dia­listes (OMS et autres agences diverses et variées etc.) est éga­le­ment due à notre absence de sou­ve­rai­ne­té natio­nale moné­taire éta­blie de longue date(2). C’est fina­le­ment ce qui explique la grande scis­sion qui a dupli­qué le navire huma­ni­té en deux ver­sions diver­gentes, sou­ve­rai­niste et mon­dia­liste, l’é­tat domi­nant à l’o­ri­gine du pro­jet glo­ba­liste ayant non seule­ment per­du sa capa­ci­té de mon­dia­li­sa­tion, mais sur­tout toute sa cré­di­bi­li­té, compte tenu de l’é­chec reten­tis­sant de sa poli­tique anti-covid, qui n’a eu de cesse que de cher­cher à pro­fi­ter de l’é­pi­dé­mie pour nous conduire vers une grande réini­tia­li­sa­tion finan­cière fon­dée sur la numé­ri­sa­tion de l’être humain. Et ce n’est pas le pass car­bone qui réus­si­ra à prendre le relais d’un pass vac­ci­nal déjà discrédité.

Avant de remon­ter du coté lumi­neux de l’a­bîme pour se réjouir, il est main­te­nant temps de des­cendre tout au fond, par le coté obs­cur, en fai­sant le constat du pire que nous avons déjà tra­ver­sé, issu des prin­ci­pales erreurs ayant mis en lumière le pro­jet dia­bo­lique de nos « zélites », par­mi les­quelles :
• Invention d’une soi-disant pan­dé­mie jus­ti­fiant des confi­ne­ments par sur­es­ti­ma­tion du nombre de morts pré­vu (10 à 100 fois) puis mise en scène de satu­ra­tions des hôpi­taux.
• Censure de l’exis­tence de trai­te­ments (iver­mec­tine, hydroxy­chlo­ro­quine ) sus­cep­tibles de résoudre à eux seuls ladite pan­dé­mie, à l’aide de publi­ca­tions frau­du­leuses et de médias deve­nus des relais d’une pen­sée unique gou­ver­ne­men­tale et mon­dia­liste.
• Religion du tout vac­ci­nal tota­le­ment infon­dée scien­ti­fi­que­ment et repo­sant sur une injec­tion pure­ment expé­ri­men­tale d’un vac­cin qui n’en est pas un et sur lequel on a aucun recul.
• Imposition d’un pass vac­ci­nal ou sani­taire alors que le vac­cin est recon­nu comme inca­pable d’empêcher la trans­mis­sion d’un virus qu’il aurait même au contraire ten­dance à favo­ri­ser.
• Risque beau­coup plus éle­vé que pour un vac­cin clas­sique de déve­lop­per des effets indé­si­rables graves et de détruire le sys­tème immu­ni­taire naturel.

C’est le refus de croire dans cette accu­mu­la­tion de faits véri­diques mais insup­por­tables pour le citoyen ordi­naire, qui pense que l’é­tat ne peut lui vou­loir que du bien, qui empêche encore la majo­ri­té de la popu­la­tion occi­den­tale de des­cendre au fond de l’a­bîme. Évidemment, la cen­sure géné­ra­li­sée a ten­té de lui mas­quer toutes ces réa­li­tés en fai­sant pas­ser pour des com­plo­tistes les scien­ti­fiques qui les met­taient en évi­dence. Mais la véri­té finit tou­jours par remon­ter avec le temps.

Pour réa­li­ser cette prouesse d’ac­cu­mu­ler autant de trom­pe­ries, il a fal­lu un grand ren­fort de pro­pa­ga­teurs de men­songes. On a par exemple don­né aux médiocres la pos­si­bi­li­té de jouer le rôle de super­ma­rios. On a pro­mu des pro­fes­sion­nels sans inté­gri­té. On a dis­qua­li­fié, ostra­ci­sé, cen­su­ré des méde­cins com­pé­tents. On a pro­mu des gens sou­mis, sans éthique ni déon­to­lo­gie ni inté­gri­té(3). On a pro­mu les émo­tions les plus basses de l’être humain, dont l’en­vie et la déla­tion. On a engen­dré l’heure de gloire des médiocres en sur­va­lo­ri­sant des pseu­do-experts. On a sus­pen­du le droit en légi­ti­mant l’é­tat d’ex­cep­tion, ce à quoi nous avions déjà été habi­tués avec le ter­ro­risme depuis 2001.

Aujourd’hui, le plus grand mal est peut-être pas­sé, espé­rons-le, mais il aura encore moults consé­quences cruelles dans les années à venir, car cha­cun doit à son rythme des­cendre dans l’a­bîme du men­songe puis en remon­ter. Franchir tout d’a­bord cet abîme là est la clé de l’ac­qui­si­tion de la luci­di­té néces­saire au retour de l’op­ti­misme et à la remon­tée vers le futé lumi­neux. Car c’est au fond une excel­lente nou­velle que de voir s’ef­fon­drer un ancien monde orga­ni­sé autour d’er­reurs fon­da­men­tales concer­nant la nature de la réa­li­té et de l’être humain. Il est d’ailleurs logique que la fin de ce monde déploie un abîme de men­songes lors de son jubi­lé ou de son bou­quet final.

Malheureusement, la grande majo­ri­té des intel­lec­tuels ne voient pas les choses ain­si car ils se sont voi­lé la face à ce sujet, pour avoir gobé le nar­ra­tif per­vers qui nous a été impo­sé par les médias. Ceux-là n’a­van­ce­ront pas et ne pour­ront pas remon­ter sur l’autre ver­sant avant des lustres, res­tant ain­si atta­chés à un monde d’a­vant, au risque d’y perdre toute leur cré­di­bi­li­té. Pour ceux-là, la croyance dans une situa­tion de guerre leur offri­ra ce dont ils ont besoin, en l’oc­cur­rence la pos­si­bi­li­té de pro­je­ter à l’ex­té­rieur d’eux-mêmes leur mal-être intérieur.

Cher lec­teur, n’est-il pas temps main­te­nant de remon­ter ? Mais avant cela, c’est peut-être le moment pour vous de faire une pause, pour vivre et résor­ber une émo­tion de grande tris­tesse, au cas où vous n’au­riez pas déjà eu connais­sance de l’exis­tence de cet abîme, avant de conti­nuer la lecture…

Je sup­pose main­te­nant que vous avez fait cette pause, vous per­met­tant de sup­por­ter le contraste de la remon­tée pour ain­si mieux pro­fi­ter de son éner­gie rayonnante.

J’ai com­men­cé à remon­ter moi-même l’a­bîme début 2021, après une longue phase de sidé­ra­tion qui a duré presque un an, dont j’ai cana­li­sé l’éner­gie réac­tive dans l’é­cri­ture de ce livre (pre­mière édi­tion). Je me suis impli­qué dans le sou­tien à des col­lec­tifs résis­tants, dans un pre­mier temps en Haute Provence où j’ai intro­duit loca­le­ment l’u­ti­li­sa­tion de la mon­naie libre. Puis lorsque le pass vac­ci­nal nous a été impo­sé, j’ai été for­te­ment sol­li­ci­té pour don­ner moult confé­rences dans des col­lec­tifs (anti-pass) du sud de la France qui sou­hai­taient entendre mon dis­cours ras­su­rant sur la crise. Cette forte demande pro­ve­nait du suc­cès de la pre­mière édi­tion de ce livre, en par­tie due au fait que mon inter­pré­ta­tion de la crise, en termes de réini­tia­li­sa­tion moné­taire au moyen de l’i­den­ti­té numé­rique mobile, s’é­tait avé­rée jus­ti­fiée par la néces­si­té de com­prendre pour­quoi on nous impo­sait ce pass, alors même que son inuti­li­té sani­taire était recon­nue publiquement.

J’ai ain­si don­né plu­sieurs confé­rences inti­tu­lées « Le virus de la mon­naie » durant les­quelles, après une pre­mière par­tie où j’ex­pli­quai les fon­de­ments scien­ti­fiques de l’exis­tence de l’âme humaine, pour jus­ti­fier notre sou­ve­rai­ne­té inté­rieure, j’a­bor­dai la ques­tion de notre sou­ve­rai­ne­té exté­rieure, fon­dée sur la mon­naie, pour expli­quer le lien entre cette der­nière et la crise sanitaire.

Ma posi­tion à ce sujet, je la résume, en l’oc­cur­rence que le port du masque était un pré­lude à l’ac­cep­ta­tion d’une vac­ci­na­tion ren­due obli­ga­toire, que le pass per­met­tant d’y par­ve­nir était un pré­lude au port d’une iden­ti­té numé­rique ren­due obli­ga­toire, laquelle devant être un pré­lude à son uti­li­sa­tion comme moyen de paie­ment ren­du obli­ga­toire, met ain­si en avant que le covid a été ins­tru­men­ta­li­sé en vue de réini­tia­li­ser notre sys­tème moné­taire. Il fal­lait en effet y contraindre presque toute la popu­la­tion de manière à mar­gi­na­li­ser tout autre moyen de paie­ment. Pour avoir répan­du cette pen­sée qui aujourd’­hui n’est pas loin d’être lar­ge­ment admise, ou à tout le moins cré­dible, j’ai reçu mon diplôme de com­plo­tiste, qui est pro­ba­ble­ment celui dont je suis le plus fier.

Auparavant, j’é­tais pour­tant un citoyen presque ordi­naire, qui croyait qu’un état ne pou­vait pas trom­per ses citoyens. Mais peut-on encore par­ler d’un état Français ?

Le fait de com­prendre le véri­table sens d’une crise est la meilleure façon de se débar­ras­ser de son impact sur le plan per­son­nel. Il n’y avait pas à avoir peur d’un virus, pas plus qu’il n’y a aujourd’­hui à avoir peur d’une guerre. Il y a au contraire toutes les rai­sons de se réjouir de ce qui se passe dans le monde occi­den­tal, car l’ef­fon­dre­ment finan­cier, pré­vi­sible depuis 2008 et ren­du iné­luc­table de par les poli­tiques d’in­jec­tion mas­sive de fausse mon­naie, se passe fina­le­ment dans de bonnes condi­tions, sans avoir jusque-là entrai­né de guerre civile. Mais la bonne nou­velle est que notre sys­tème finan­cier, qui est un sys­tème pré­da­teur (argent dette auto­ri­sant une spé­cu­la­tion effré­née et les planches à billets, trois énormes sources d’in­jus­tice), ne va pas réus­sir à se refaire par une réini­tia­li­sa­tion for­cée, ce qui devrait per­mettre à un nou­veau sys­tème moné­taire éthique de s’im­po­ser peu à peu. Ce nou­veau sys­tème éthique sera exi­gé par la popu­la­tion lors­qu’une majo­ri­té aura com­pris la manœuvre dia­bo­lique qui a été déployée pour main­te­nir l’an­cien sys­tème via une réini­tia­li­sa­tion qui n’au­rait rien chan­gé à son carac­tère prédateur.

Mais il y a une bien meilleure nou­velle, que je ne peux pas entiè­re­ment dévoi­ler dans cet avant-pro­pos parce qu’elle fait jus­te­ment l’ob­jet de ce livre. Je peux tou­te­fois dire que cela concerne l’as­pect spi­ri­tuel de cet effon­dre­ment, qui n’est pas seule­ment moné­taire, éco­no­mique, sani­taire, géo­po­li­tique, éco­lo­gique et que sais-je encore. Il s’a­git d’un effon­dre­ment encore plus impor­tant, que des per­sonnes hau­te­ment intel­li­gentes et spi­ri­tuelles, telles que par exemple Annick de Souzenelle, peuvent plei­ne­ment com­prendre au point de s’en réjouir. Si je cite Annick, c’est parce que nous avons entre­te­nu une cor­res­pon­dance sur ce sujet. Mais de quel effon­dre­ment s’agit-il ?

Je l’ai appe­lé « effon­dre­ment du parc de la pen­sée », illus­tré dans ce livre. Plus pré­ci­sé­ment, il s’a­git de l’ef­fon­dre­ment du men­tal humain (faus­se­ment ratio­na­liste), dont la prise de conscience de ses dogmes erro­nés va nous conduire à trans­for­mer en pro­fon­deur notre façon de pen­ser, notre vision du monde, de la réa­li­té, de notre situa­tion dans l’u­ni­vers, de la nature de l’hu­main, et fina­le­ment notre socié­té, dont l’or­ga­ni­sa­tion ne pou­vait pas dura­ble­ment être fon­dée sur une façon obso­lète de pen­ser le monde.

Pour qu’une telle trans­for­ma­tion soit pos­sible, il nous fal­lait pour cela vivre une situa­tion dra­ma­tique qui soit à la hau­teur du saut à effec­tuer pour par­ve­nir à cette remise en ques­tion, or c’est très pro­ba­ble­ment à mon sens celle que nous vivons depuis l’ap­pa­ri­tion du covid, que j’ai pour cette rai­son qua­li­fié de « gen­til virus ».Covid gentil virus

Cet effon­dre­ment du men­tal aurait pu résul­ter néga­ti­ve­ment, car bien trop tard, des dégâts qui auraient été pro­duits sur l’es­pèce humaine par l’u­ti­li­sa­tion tota­li­taire de l’in­tel­li­gence arti­fi­cielle dans l’in­gé­nie­rie sociale, et notam­ment dans la ges­tion du pou­voir moné­taire indi­vi­duel, via le port obli­gé d’une iden­ti­té numé­rique mobile. Cela n’au­ra pas lieu et fort heu­reu­se­ment, nous n’au­rons pas à apprendre la leçon par l’in­ter­mé­diaire de ce désastre. Il a d’ailleurs peut-être déjà été vécu dans un ancien futur, si l’on en croit les aver­tis­se­ments de l’a­po­ca­lypse de Saint-Jean rela­tifs à la marque de la bête.

L’effondrement posi­tif du men­tal que nous allons vivre est celui d’une prise de conscience salu­taire de ce dan­ger, asso­ciée à une com­pré­hen­sion de ce qui a cruel­le­ment man­qué à nos « zélites » durant les mesures sani­taires, en l’oc­cur­rence l’in­tel­li­gence émo­tion­nelle encore appe­lée « le bon sens ». Cette intel­li­gence émo­tion­nelle est la véri­table source de l’in­tel­li­gence humaine, et notam­ment de l’in­tui­tion, à coté de laquelle l’in­tel­li­gence arti­fi­cielle devrait faire figure de bêtise labo­rieuse. La science aca­dé­mique s’est d’ailleurs trom­pée sur le cer­veau (et son intel­li­gence) en lui attri­buant sans argu­ments valables bien plus de fonc­tion­na­li­tés qu’il n’en a, mais nous ver­rons cela dans la seconde partie.

Nous y ver­rons éga­le­ment que la science aca­dé­mique s’est sur­tout trom­pée sur la conscience elle- même, qu’elle consi­dère comme pro­duite par le cer­veau, ce qui est com­plè­te­ment faux, l’é­tude de la phy­sique moderne avan­cée per­met­tant de le com­prendre, à condi­tion de relier tous les points dont nous dis­po­sons, et notam­ment les théo­ries phy­siques de grande uni­fi­ca­tion avec dif­fé­rentes obser­va­tions avé­rées d’ex­pé­riences extraordinaires.

J’ai per­son­nel­le­ment vécu ce qui empêche des phy­si­ciens que j’ai côtoyés et que je nomme « aca­dé­miques » (pour les dif­fé­ren­cier de ma pos­ture d’in­gé­nieur phy­si­cien inter­dis­ci­pli­naire) de faire ce tra­vail, en l’oc­cur­rence cer­tains de mes col­lègues y com­pris d’autres labo­ra­toires. Il ne se sentent pas en mesure d’al­ler au-delà des fron­tières de la phy­sique, voire d’in­ves­ti­guer ces phé­no­mènes étranges que la phy­sique me per­met pour­tant per­son­nel­le­ment de mieux appré­hen­der. Je les res­sens géné­ra­le­ment comme blo­qués par une cer­taine pos­ture du men­tal, issue d’un for­ma­tage, d’un cloi­son­ne­ment ou d’un com­mu­nau­ta­risme propre à leur dis­ci­pline qui les contraint, au mieux à ne pas prendre posi­tion, au pire à reje­ter sys­té­ma­ti­que­ment sans exa­men toute pos­si­bi­li­té que par exemple, la phy­sique puisse s’ou­vrir au phé­no­mène de la conscience, ou plus géné­ra­le­ment à la psy­cho­lo­gie, voire aux phé­no­mènes dits para­nor­maux, qui bien qu’ils soient riches en ano­ma­lies(4) sus­cep­tibles de faire pro­gres­ser la science, sont encore trop sou­vent exclus du champ d’é­tudes scientifiques.

Physique conscience - Philippe GuillemantC’est pour­tant le sillon que j’ai moi-même creu­sé en écri­vant La phy­sique de la conscience en 2014 (réédi­té en ver­sion illus­trée en 2021), ou beau­coup plus récem­ment en col­la­bo­rant avec Lucie Mandeville, ancienne pro­fes­seur de psy­cho­lo­gie à l’u­ni­ver­si­té de Sherbrooke et prin­ci­pale réfé­rence de la psy­cho­lo­gie posi­tive au Québec. Nous avons com­men­cé à réa­li­ser des vidéos de vul­ga­ri­sa­tion(5) du nou­veau para­digme dont il est ques­tion en seconde par­tie de ce livre, qui reva­lo­risent l’in­tel­li­gence émo­tion­nelle, autre­ment dit le pou­voir de la « vibra­tion du cœur », c’est à dire son influence sélec­tive sur le futur. Nous avons été mis en contact parce que nous par­ta­geons ces idées et avons tous les deux un dis­cours public posi­tif et ras­su­rant sur la crise, qui nous a conduit à mener dif­fé­rentes actions de mise en liens aspi­rant au déve­lop­pe­ment de rela­tions plus humaines, visant à refon­der à terme la socié­té au sein de ce nou­veau paradigme.

De mon côté, ces actions de mise en liens se sont tra­duites par un inves­tis­se­ment en faveur de l’u­ti­li­sa­tion de la mon­naie libre, le seul sys­tème d’é­changes moné­taires véri­ta­ble­ment éthique que je connaisse, ain­si que par la concep­tion d’un outil infor­ma­tique de mise en liens entre per­sonnes sou­hai­tant échan­ger entre elles au niveau local. Dans cet outil aisé­ment acces­sible sur le net à l’a­dresse www.6naps.net et déve­lop­pé par un pay­san très éclai­ré de la Haute Provence, est pro­po­sée à chaque membre la pos­si­bi­li­té de connaître et ren­con­trer des per­sonnes de sa loca­li­té qui par­tagent les mêmes valeurs d’en­traide (voir sa charte) en vue de déve­lop­per des échanges de biens et ser­vices, qui ne sont d’ailleurs pas néces­sai­re­ment fon­dés sur la mon­naie libre bien que toutes les faci­li­tés en soient offertes.

Une ten­dance natu­relle très cou­rante serait de pen­ser que ces actions sont de trop petite ampleur, qu’elles touchent trop peu de per­sonnes trop peu influentes pour avoir une chance de nous conduire réel­le­ment vers un ave­nir meilleur. Il s’a­git là tout d’a­bord d’un rai­son­ne­ment pau­vre­ment linéaire qui fait peu de cas du pou­voir trans­for­ma­teur d’ac­tions sym­bo­liques qui touchent le cœur, telles que ce pro­ces­sus de mise en liens, et qui oublie au pas­sage que c’est avec de petits ruis­seaux que se font les grandes rivières.

Mais là où la puis­sance d’im­pact de telles actions est la plus éle­vée, c’est lors­qu’elles remontent le niveau vibra­toire émo­tion­nel de chaque per­sonne inves­tie en lui redon­nant la confiance et la foi dans l’a­ve­nir, ain­si que la joie de par­ta­ger des pro­jets col­lec­tifs ou sim­ple­ment d’en­traide, même s’ils sont com­pa­rables à des gouttes d’eau dans un océan. Car c’est ain­si que se construit réel­le­ment le futur, sur lequel une inten­tion indi­vi­duelle, ou par­ta­gée par très peu de per­sonnes, peut avoir beau­coup plus d’im­pact qu’une inten­tion col­lec­tive accep­tée par une masse énorme de per­sonnes au men­tal condi­tion­né. Car ce n’est pas l’am­pli­tude de l’in­ten­tion qui compte, mais son authen­ti­ci­té au sens de la sou­ve­rai­ne­té inté­rieure, ain­si que son niveau vibra­toire, qui est d’au­tant plus sus­cep­tible d’ou­vrir le champ des pos­sibles qu’il est plus éle­vé en termes de joie ou d’a­mour inves­tis. Ceci pour­rait être qua­li­fié de plus grand secret de l’u­ni­vers, que cha­cun doit décou­vrir par lui-même.

Mais nous vivrons peut-être le temps où la phy­sique sera en mesure de libé­rer peu à peu cette pen­sée dans l’a­ve­nir, lors­qu’elle se sera affran­chie de ses limi­ta­tions maté­ria­listes et dogmatiques.

Philippe Guillemant

Notes :
(1) Exemple d’in­ter­pré­ta­tion dite com­plo­tiste : l’é­chec de la vac­ci­na­tion ne per­met­tant plus d’im­po­ser l’i­den­ti­fi­ca­tion numé­rique néces­saire au « Great Reset » de la haute finance, cette der­nière serait contrainte de recou­rir à une forte infla­tion pour endi­guer un effon­dre­ment deve­nu inévi­table, d’où les mesures anti­russes contre­pro­duc­tives.
(2) Loi 1973 de Pompidou-Giscard pré­pa­rant le trai­té de Maastricht de 1994 qui inter­dit à l’é­tat de se finan­cer auprès de la banque de France, au pro­fit des banques pri­vées.
(3) Voir le livre des cher­cheurs Ariane Bilheran et Vincent Pavan : Le débat inter­dit, lan­gage, covid et tota­li­ta­risme, ain­si que leur inter­view par le média Kairos.
(4) Le phi­lo­sophe Jean-Marc Ferry me cite dans Qu’est-ce que le réel ? pour sou­te­nir cette affir­ma­tion : « Un scien­ti­fique qui ne s’empare pas des ano­ma­lies pour ten­ter de com­prendre la réa­li­té n’est pas un vrai scien­ti­fique ».
(5) Vidéos de la chaine YouTube Philucie.

Bonus :Philippe Guillemant

7 Commentaires 

  1. Comme tou­jours… mer­veilleuses et lumi­neuses réflexions de Philippe.
    Un vrai régal !!!

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  2. Merci infi­ni­ment M. Guillemant ! Votre lumi­neuse pré­face n’en finit pas de tra­ver­ser magis­tra­le­ment les fis­sures de l’an­cien monde !
    En totale cohé­rence avec votre sou­rire.
    Je vais moi aus­si vous lire abon­dam­ment avec la plus grande joie, à com­men­cer par votre site inter­net !
    Marie-Claudine

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    • Merci pour cet article lumineux.

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  3. Ravi de vous avoir décou­vert, Monsieur, je vais vous lire plus abondamment.

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  4. La cita­tion « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » est de Rabelais.
    Rendons lui sa pen­sée, lui qui ne crai­gnait pas un regard dis­tant et amou­reux sur les per­sonnes et les savoirs.

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  5. Wow ! Mais où pla­cez vous la spi­ri­tua­li­té qui s’a­dresse à et croit en un être trans­cen­dant ? Comme moi qui crois en Jésus-Christ et aus­si aux pro­phètes qui nous ont annon­cé ce temps, sur­tout Marie, et qui annoncent une puri­fi­ca­tion de cette huma­ni­té sans Dieu. Puis un temps de paix en Dieu. Je ne suis pas tel­le­ment atti­rée par le sys­tème des vibra­tions, met­tons. Alors que je peux me connec­ter par l’o­rai­son et la prière.
    Mais votre texte est lumineux.

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  6. Merci infi­ni­ment
    Julia

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