L’Ukraine, berceau et tombeau des Européens ?

La fin d’une civi­li­sa­tion est iden­tique à celle d’un être vivant ; elle met juste un peu plus de temps à dis­pa­raître comme elle a mis un peu plus de temps à vivre ; il peut arri­ver aus­si qu’elle meure sur les lieux-mêmes où elle est née, tout comme un être humain, celui qui est atta­ché à sa terre. C’est une loi du temps cyclique qui fait qu’une révo­lu­tion – une vie – part d’un point pour arri­ver, au bout de sa course, à son point de départ pour recom­men­cer un autre cycle.

A. LE BERCEAU

Le berceau des Indo-Européens

La civi­li­sa­tion indo-euro­péenne(1) est née de celle des kour­ganes datée du Ve au IIIe mil­lé­naire avant notre ère, donc au début du der­nier des quatre âges, l’Âge de fer ou Kali-Yuga ou Âge sombre(2).
Un kour­gane est un tertre, un tumu­lus, recou­vrant une sépul­ture sou­vent col­lec­tive ; ces kour­ganes se répar­tissent dans l’est de l’Ukraine (Don, Dniepr) et dans le sud-ouest de la Russie (Volga). Mais la civi­li­sa­tion des kour­ganes est loin de ne se can­ton­ner qu’à cette région ; en fait, elle s’étend jusqu’à l’ouest de la Sibérie et on peut dès lors consi­dé­rer que c’est qua­si­ment l’ensemble de la Russie, avec son exten­sion asia­tique, qui est le ber­ceau des Indo-Européens. Sa par­tie plus spé­ci­fi­que­ment euro­péenne est consti­tuée des peuples alba­nais, armé­niens, baltes, celtes, ger­mains, grecs, ita­liques, et, bien sûr, slaves.

Les pro­jec­teurs ont été évi­dem­ment bra­qués ces der­nières années sur l’Ukraine qui compte, à elle seule, envi­ron 100 000 tumu­li qui, d’après Le Courrier inter­na­tio­nal du 4 mars 2011, ne sont nul­le­ment pro­té­gés ; et la guerre actuelle n’arrange vrai­sem­bla­ble­ment pas les choses : « Mais, aux yeux des spé­cia­listes, c’est l’indifférence abso­lue de la popu­la­tion ukrai­nienne elle-même qui repré­sente la plus grande menace. Les “archéo­logues au noir”, ceux qui fouillent clan­des­ti­ne­ment les sites en quête d’objets pré­cieux à revendre, sont com­pa­ra­ti­ve­ment moins dan­ge­reux que les res­pon­sables offi­ciels qui, dans leur igno­rance, refusent car­ré­ment de pro­té­ger les ruines de villes antiques et les tumu­li, quand ils ne com­mettent pas déli­bé­ré­ment des crimes en auto­ri­sant par exemple l’ouverture de chan­tiers de construc­tion sur des sites réper­to­riés. »

En guise de bou­tade, nous aurions espé­ré que l’une des tâches pri­mor­diales de l’Union euro­péenne soit de pré­ser­ver et de res­tau­rer ce patri­moine com­mun ; mais non, l’U.E a mieux à faire : elle s’active à for­cer la popu­la­tion euro­péenne à se nour­rir de cafards et de pou­lets amé­ri­cains aux hor­mones ; nous savons désor­mais que l’U.E. ne consti­tue que l’un des rouages qui per­mettent à l’Amérique de gar­der sa pré­do­mi­nance sur le monde, au même titre que d’autres orga­nismes inter­na­tio­naux créés par les Àtats-Unis, comme l’OTAN, le FMI, l’ONU, l’OMS, etc. avec l’aide de l’exécuteur de ses basses œuvres, la CIA, qui a fomen­té toutes les pseu­do-« révo­lu­tions de cou­leur » dans le monde, y com­pris celle de l’Ukraine.

Le berceau de la Russie

L’Ukraine est aus­si le ber­ceau de l’actuelle Russie. Lorsque les Slaves orien­taux s’installent au VIIe siècle dans ce qui est l’actuelle Ukraine, ils trouvent des peu­plades fin­noises, baltes et kha­zars et com­mencent à éri­ger sur ce ter­ri­toire des fermes for­ti­fiées. C’est au IXe siècle que des Vikings sué­dois, appe­lés Varègues ou Rus, com­mer­çants, pillards et guer­riers, à la recherche de routes vers Byzance, sous la conduite d’Askold, s’emparent de la prin­ci­pau­té de Kiev fon­dée par les Slaves orien­taux. Un autre Varègue, Oleg, fait tuer Askold et s’installe à Kiev et fonde le pre­mier État russe (la Rus de Kiev) en vas­sa­li­sant les autres prin­ci­pau­tés voi­sines russes et slaves. La Rus de Kiev s’étendra jusqu’à deve­nir le plus grand État d’Europe. Vladimir 1er (980−1015) incar­ne­ra l’apogée de cet État. Et Russes et Slaves fini­ront par deve­nir le même peuple, com­pre­nant la Russie, l’Ukraine et la Biélorussie.

B. LE TOMBEAU

Machinations américaines

Pour nous en tenir à notre sujet, l’Europe, nous ne remon­te­rons que jusqu’à la Deuxième Guerre mon­diale pour évo­quer briè­ve­ment le rôle des États-Unis dans la poli­tique inter­na­tio­nale, mais les agis­se­ments amé­ri­cains des­ti­nés à impo­ser à la pla­nète leur vue-du-monde mer­can­tile (dégui­sée en une croi­sade mes­sia­nique « démo­cra­tique » basée sur les croyances pué­riles et dog­ma­tiques des pre­miers « pil­grims »), datent (au moins) de la Première Guerre mondiale.

En effet, selon les moti­va­tions exclu­si­ve­ment éco­no­miques et inté­res­sées qui dictent les prises de posi­tion amé­ri­caines, l’Amérique est pré­sente sur toutes les scènes de conflit, avant et après la seconde guerre mon­diale : Hitler n’a pu accé­der au Pouvoir que grâce au finan­ce­ment de cer­taines banques et entre­prises amé­ri­caines telles que Morgan, Chase Manhattan (Rockfeller), Ford, General Motors, Standard Oil, etc.

Antony Sutton - Wall Street Ascension HItler Historia - Hitler financé Argent américain

Cette Amérique sera tout aus­si pré­sente après la guerre pour créer un orga­nisme à sa botte qui s’appellera l’Union Européenne. L’un des fon­da­teurs de cette struc­ture sera Jean Monnet, agent de la CIA selon Marie-France Garaud(3), Philippe de Villiers, François Asselineau et bien d’autres, tan­dis que d’autres fon­da­teurs de cette ins­ti­tu­tion comme Robert Schuman et le belge Paul-Henri Spaak tien­dront le rôle de simples exé­cu­tants au ser­vice des États-Unis.Recyclage nazis

Puis le plan Marshall (1948) achè­ve­ra la mise en place du dis­po­si­tif de sujé­tion de l’Europe aux États-Unis. Ce prêt accor­dé à une Europe en ruines n’était évi­dem­ment pas à voca­tion phi­lan­thro­pique et seule l’Union sovié­tique l’a refu­sé pour ne pas être dépen­dante des EU(4).

« Les États-Unis ont mis en place une entre­prise de colo­nia­lisme, l’aide est un cadeau empoi­son­né », dénon­ce­ra Staline. « Les pays qui l’acceptent per­dront leur sou­ve­rai­ne­té natio­nale et leur indé­pen­dance éco­no­mique. » Et L’Obs(5) explique ce mar­ché de dupes : « Une pre­mière tranche de 5 mil­liards de dol­lars (52 mil­liards de dol­lars aujourd’hui) est allouée aux pays signa­taires. L’ECA (Administration de Coopération Économique) se charge de contrô­ler et de gérer les fonds. Les dol­lars repartent aux États-Unis : ils sou­tiennent l’économie et épongent les excé­dents. L’Amérique de Truman fait de l’Europe son mar­ché, puisque tout ce qui y est ache­té est amé­ri­cain. Derrière le plan Marshall se cache donc une redou­table machine de pro­pa­gande pour valo­ri­ser l’American way of life et pro­mou­voir le pays. En 1953, George Marshall rece­vra le prix Nobel de la paix pour le « sau­ve­tage » du Vieux Continent. »

Les Américains n’ont déci­dé­ment pas d’imagination : ce plan Marshall a été une telle réus­site pour leurs affaires qu’ils n’hésiteront pas à pro­vo­quer des conflits (tout béné­fice pour le com­plexe mili­ta­ro-indus­triel) pour recons­truire des pays qu’ils auront rui­nés aupa­ra­vant ou pour piller leurs res­sources. La liste est inter­mi­nable (les der­niers en date : Irak, Syrie, Libye, Serbie, Afghanistan). L’Ukraine vient d’entrer en lice et là, les USA font très fort : ils demandent à un petit pays, l’Ukraine, d’entrer en guerre contre un grand pays qui refuse leur domi­na­tion (la Russie) ; l’Ukraine envoie sa popu­la­tion se faire mas­sa­crer, les armes sont four­nies par les Européens et ce sont les entre­prises amé­ri­caines (sous la hou­lette de Blackrock) qui recons­trui­ront l’Ukraine dévas­tée, aux frais des mêmes Européens.Complexe militaro-industriel _ Ukraine

Il est bien évident que ces menées res­semblent fort à des méthodes de voyous et ne sont pas dignes d’un État, et encore moins de celui qui est encore le plus puis­sant du monde. Mais c’est un colosse aux pieds d’argile.

Une secte maléfique

Ce n’est pas tout. Nous en sommes res­tés jusqu’ici à une ana­lyse his­to­rique des évé­ne­ments, poli­tique, super­fi­cielle et bas­se­ment maté­rielle qui n’affecte que très peu les véri­tables enjeux de la marche du monde. Car der­rière les nations, et notam­ment der­rière les USA, se tiennent les véri­tables maîtres de la pla­nète qui tirent les ficelles des marion­nettes que sont ces chefs d’État qui n’ont qu’un pou­voir extrê­me­ment réduit.

Avec l’apparition récente, inat­ten­due et bru­tale de cette caste mon­dia­liste pédo-sata­niste et toute puis­sante, nous sommes entrés dans un autre monde que les hommes de Tradition ne croyaient pas pos­sible. La dési­gna­tion scien­tiste de cette engeance s’appelle le trans­hu­ma­nisme, et je la défi­nis plus pro­saï­que­ment comme étant la mani­fes­ta­tion du titanisme.

Les esprits avi­sés et curieux (regrou­pés sous le terme géné­rique de « com­plo­tistes ») savaient cepen­dant que cette oli­gar­chie allait révé­ler son exis­tence en pleine lumière, si j’ose dire, lorsqu’elle aurait ache­vé la mise en place de ses funestes des­seins concoc­tés patiem­ment depuis des cen­taines, voire des mil­liers d’années, car son héri­tage pro­vient du plus obs­cur des âges et des plus malé­fiques origines.

Je ne revien­drai pas sur les moti­va­tions de cette secte dia­bo­lique déjà évo­quées dans plu­sieurs de mes articles sur ce même site(6). Même les plus ration­nels des com­men­ta­teurs ne trouvent pas d’autre mot pour dési­gner le grand marion­net­tiste qui dirige les mani­gances de ces gens per­sua­dés d’être les maîtres du monde ; ils l’appellent le Prince de ce monde ou, tout sim­ple­ment comme l’économiste Charles Gave : le Diable(7).

La caste agit par­tout, sur toute la pla­nète, avec des méthodes très diverses, dans des domaines tout aus­si variés, avec pour prin­ci­pal objec­tif d’éradiquer le monde « ancien », qui est, pour les gens sen­sés, un monde qui vit, depuis sa créa­tion, selon des pré­ceptes natu­rels, tels que Dieu a conçu le monde.
J’ai ici sélec­tion­né trois niveaux d’intervention de la Secte dans cette pano­plie à usage infini.

Détruire les racines du monde ancien

J’ai par­lé d’analyse super­fi­cielle des évé­ne­ments en évo­quant les exac­tions de l’Amérique du Nord en tant qu’État. C’est sans doute pour cette rai­son qu’on appelle, à l’inverse, « État pro­fond » les membres du gou­ver­ne­ment amé­ri­cain qui dirigent, plus ou moins secrè­te­ment, le pays, c’est-à-dire ceux qui reçoivent leurs direc­tives de la Secte.

Les moti­va­tions pro­fondes de la Secte sont de détruire inexo­ra­ble­ment tout ce qui, sur Terre, a un lien avec la Tradition et les ori­gines de cette Tradition, en gros, toutes les socié­tés et les cultures qui ont gar­dé un carac­tère tra­di­tion­nel ou quelques bribes de ce caractère.

C’est ain­si que les États-Unis, qui se sont eux-mêmes cou­pés déli­bé­ré­ment de leurs racines euro­péennes, et qui, donc, n’en ont aucune, dans leur obses­sion hégé­mo­nique de frac­tu­rer l’Europe de l’Est et de l’Ouest afin de ne pas se trou­ver face à une alliance de l’ancienne Europe et de la Russie, portent le fer, le feu et les bombes (avec la com­pli­ci­té de l’Union euro­péenne) une pre­mière fois sur la Serbie. Le but est de lui sous­traire son ber­ceau ini­tial qu’est la région du Kossovo et créer ain­si un État isla­mique et cor­rom­pu au sein de l’Europe.

Le pro­ces­sus de des­truc­tion de l’Ukraine consti­tue la deuxième ten­ta­tive de l’Amérique de por­ter atteinte, défi­ni­ti­ve­ment, croit-elle, aux ori­gines à la fois de l’Europe et de la Russie.

On se sou­vien­dra encore que les États-Unis ont détruit, quel­que­fois sous faux dra­peau isla­miste, les sites sacrés anciens de l’Irak et de la Syrie du temps où c’était la Mésopotamie. Il fal­lait, pour que ces agres­sions réus­sissent, que les opi­nions soient pré­pa­rées à les consi­dé­rer comme des bienfaits.

Il s’agit peut-être d’un hasard mais voi­ci encore une infor­ma­tion qui ten­drait à prou­ver que notre enne­mi sans nom, s’il n’a aucun scru­pule, n’est pas tout à fait inculte : le sym­bole visuel sans doute le plus uni­for­mé­ment répan­du sur l’ensemble de la pla­nète dans toutes les civi­li­sa­tions anciennes est le svas­ti­ka. Il appa­raît en Europe à la même époque au sein de dif­fé­rentes cultures est-euro­péennes contem­po­raines de la civi­li­sa­tion des kour­ganes : la culture de Vinca en Serbie et la culture de Cucuteni-Tripolia, qui s’é­ten­dait des Carpates au Dniepr, de la Roumanie à l’Ukraine. Serbie et Ukraine, quelle coïn­ci­dence ! Le svas­ti­ka est un sym­bole solaire qui sym­bo­lise le cycle du soleil et donc l’éternité, les anciens sup­po­sant que le Soleil était éter­nel. Chez les Indous, c’est aus­si un signe de bien­ve­nue et de sou­hait de bonne santé.

Pour la Tradition pri­mor­diale, c’est un sym­bole certes solaire par son mou­ve­ment cir­cu­laire sup­po­sé mais aus­si polaire si l’on envi­sage l’axe cen­tral, immuable et trans­cen­dant, de la roue.

Inverser les valeurs traditionnelles et les symboles

La Tradition pri­mor­diale consi­dère qu’à la fin d’un cycle, toutes les valeurs tra­di­tion­nelles sont inver­sées ou tour­nées en déri­sion. C’est ce que l’on appelle une paro­die, qui trou­ve­ra son apo­gée avec l’ap­pa­ri­tion du clown Zelensky. Ce fut aus­si le cas lorsque les nazis s’emparèrent du svas­ti­ka et qu’il devint plus com­mu­né­ment appe­lé la croix gammée.Svastika - Crète minoeenne

C’est cette même croix gam­mée qui a été reprise comme emblème par une par­tie impor­tante de l’armée ukrai­nienne, notam­ment par le bataillon Azov qui se réclame de Bandera, qui était le chef de l’Organisation des natio­na­listes ukrai­niens col­la­bo­rant avec l’Allemagne nazie en créant la Légion ukrai­nienne sous com­man­de­ment de l’armée allemande.

Quiconque a vu une pho­to de ces néo-nazis ukrai­niens est pris de stu­peur, ou empor­té par un grand éclat de rire, en voyant les corps de ces colosses tatoués de la tête aux pieds de croix gam­mées, de por­traits d’Hitler ou de Bandera et por­tant au cou et aux bras des coli­fi­chets de tout aus­si mau­vais goût. Nous sommes bien loin de la signi­fi­ca­tion bien­veillante du svas­ti­ka des Indous.

Des clowns ter­ri­fiants : c’est sans doute l’effet recher­ché par les pro­mo­teurs de cette guerre ; à la tête de ces néo-nazis, un « humo­riste » plus ridi­cule qu’effrayant : leur pré­sident Zelinsky, lui, clown de métier, se pro­dui­sant dans des shows télé­vi­sés, qui « jouait du pia­no debout »… avec son sexe. C’est le « héros » qu’ont mis en place les Occidentaux (Américains et Européens) pour incar­ner la résis­tance contre « l’envahisseur » russe.

Des néo-nazis dirigés par un clown juif corrompu monté sur talons aiguille ? Mais quelle est encore cette folie ?

Zelinsky - Drag QueenEt nos braves petits démo­crates fran­çais bien endoc­tri­nés, qui hurlent à la mort dès qu’il voient l’ombre d’un élec­teur de Zemmour en le trai­tant de nazi (l’insulte la plus infa­mante qui soit en France), sont prêts à se jeter dans les bras de ces pan­tins stu­pides mais déco­rés comme des sapins de Noël en les cou­vrant de câlins. Un psy­chiatre est-il capable d’expliquer un tel degré de schi­zo­phré­nie ? Nous vivons dans un hôpi­tal psy­chia­trique à ciel ouvert où seules sont enfer­mées les per­sonnes qui ont conser­vé un peu de bon sens.

Mais ce n’est là que l’un des aspects de la déca­dence vou­lue et orga­ni­sée par le « Prince de ce monde. » D’autres lois, mesures, règle­ments, sont pris à une cadence effré­née pour anni­hi­ler toute trace de bon sens et tout reste de culture. Ces mesures s’appliquent essen­tiel­le­ment au monde blanc et par­ti­cu­liè­re­ment au monde euro­péen tra­di­tion­nel qui sert de labo­ra­toire à toutes ces expé­riences immondes concoc­tées par les dingues qui nous dirigent.

Nous ne cite­rons en exemple que deux de ces dis­po­si­tions prises récem­ment par des pays occi­den­taux et une pro­po­si­tion qui a des chances d’aboutir :
1. Désormais, la gas­tro­no­mie fran­çaise et euro­péenne n’a qu’a bien se tenir et nos chefs toqués le deve­nir encore plus (toqués) : ils seront obli­gés de cui­si­ner des cafards et autres blattes ; pour l’instant, vers de farine et « grillons domes­tiques » (domes­ti­qués par qui?) en poudre selon l’autorisation déli­vrée par la Commission euro­péenne le 3 jan­vier 2023. On connaît le pro­ces­sus de gri­gno­tage (c’est le cas de le dire) de toutes ces déci­sions anti­dé­mo­cra­tiques qui nous font en per­ma­nence ava­ler… des cou­leuvres.
2. La rédac­tion des lois dans les pays occi­den­taux a ceci de bien pour leurs rédac­teurs qu’elle per­met de dire exac­te­ment le contraire de ce que, in fine, les lois vont impo­ser ; par le tru­che­ment des excep­tions et autres déro­ga­tions, elles vous font pas­ser faci­le­ment des ves­sies pour des lan­ternes. Ainsi en est-il de la loi adop­tée le 16 février 2023 par le par­le­ment (de gauche) espa­gnol concer­nant « le bien-être ani­mal » qui pré­voit des sanc­tions pour ceux qui « par tout moyen ou pro­cé­dé, y com­pris les actes de nature sexuelle, causent une bles­sure à un ani­mal ver­té­bré néces­si­tant un trai­te­ment vété­ri­naire pour réta­blir sa san­té », ce qui donc revient, d’une façon détour­née, à bana­li­ser la zoo­phi­lie, tant que les « amou­reux » des ani­maux ne leur font pas subir de « lésions ».
3. Dans une étude publiée le 18 novembre 2022, une uni­ver­si­taire nor­vé­gienne, Anna Smadjor, pro­pose d’utiliser les femmes en état de mort céré­brale comme mères por­teuses pour, dit-elle, « offrir un autre moyen de ges­ta­tion aux futurs parents qui sou­haitent avoir des enfants, mais qui ne peuvent pas ou pré­fèrent ne pas les por­ter ». Ce n’est pour l’instant qu’une pro­po­si­tion ; mais, forts de l’expérience PMA et GPA, tout laisse à pen­ser que cette sug­ges­tion sera bien­tôt une réa­li­té. Ceci s’apparente à de la nécro­phi­lie.

Entomophagie, zoo­phi­lie, nécro­phi­lie, pédo­phi­lie, sans comp­ter toutes les déviances LGBTQIA+, la pro­mo­tion des chan­ge­ments de sexe dans les écoles, les « hommes » enceints, etc. voi­ci donc où nous en sommes en ce début d’année 2023. Quel pro­grès ! Un grand pas pour l’Humanité ! Merci, mon Prince !

Soumettre et réduire la population planétaire

La Secte maî­trise par­fai­te­ment les tech­niques de pro­pa­gande, qu’on appelle « ingé­nie­rie sociale ». Des cen­taines de mil­lions d’individus de par le monde ont été sub­ju­gués au début des années 2020 par les consignes radi­cales qu’elle a impo­sées et se sont pliés sans rechi­gner à toutes les direc­tives, même les plus stu­pides. La lobo­to­mi­sa­tion des indi­vi­dus, y com­pris dans les milieux culti­vés, sinon plus, a par­fai­te­ment réus­si. C’était, pour nos diri­geants, le but prin­ci­pal à atteindre, la pseu­do­pan­dé­mie sui­vie des pseu­do­vac­cins a per­mis de véri­fier le degré de sou­mis­sion des popu­la­tions. Le deuxième volet de cette opé­ra­tion a été moins concluant et n’a pas per­mis une réduc­tion dras­tique des popu­la­tions même si la mor­ta­li­té a consi­dé­ra­ble­ment aug­men­té dans les pays occi­den­taux suite à la vac­ci­na­tion et même si on peut s’attendre encore à de nom­breuses consé­quences létales dans les années qui viennent.
Cependant, du fait de ce lavage de cer­veau qui a tou­ché la majeure par­tie des popu­la­tions, on ne doit pas s’attendre à leur réveil et encore moins à quelque révolte que ce soit.

En ce qui concerne l’affaire ukrai­nienne, la même pro­pa­gande qui a si bien mar­ché s’est exer­cée sur les Français avec le même suc­cès. Combien de maires ont his­sé sur le fron­ton de leur mai­rie (et conti­nuent de le faire) le dra­peau ukrai­nien(8) !

Cette iner­tie et, il faut bien le dire, cette lâche­té de la popu­la­tion, ne pré­sage rien de bon. L’affrontement est inévi­table si, en France, le Président Macron conti­nue ses pro­vo­ca­tions à l’égard de la Russie comme s’il s’agissait de la Principauté d’Andorre.

Désormais, deux blocs s’affrontent :

Celui des mon­dia­listes qui prônent la dis­pa­ri­tion pure et simple de toutes les anciennes struc­tures notam­ment euro­péennes (et éven­tuel­le­ment des peuples qui les ont bâties)
• Et celui des tra­di­tio­na­listes de toutes les grandes civi­li­sa­tions qui n’ont pas renon­cé à se cou­per de leurs racines, qui repré­sentent au moins les deux-tiers des popu­la­tions de la planète.

La Russie, forte de ses ori­gines indo-euro­péennes et des ori­gines des répu­bliques qui la com­posent, mène la bataille ; c’est un peuple dont le riche pas­sé a été en quelque sorte conge­lé pen­dant les 70 années qu’a duré la période sovié­tique ; il se réveille, pur et intact, avec le dyna­misme de la jeu­nesse, et d’autant plus proche de ses racines qu’elles réap­pa­raissent avec toute la puis­sance de leur renaissance.

L’issue de la guerre que la Russie et ses alliés pour­raient mener face à ce trou­peau de zom­bies qu’est deve­nu l’Occident, ne fait aucun doute.

Pierre-Émile Blairon

(1) La doxa pro­gres­siste en cour chez les lin­guistes, his­to­riens, archéo­logues et autres cher­cheurs pré­tend qu’il n’existe pas de peuples indo-euro­péens mais seule­ment une langue com­mune.
(2) Je parle ici des quatre âges cos­miques de la Tradition pri­mor­diale (Âges d’or, d’argent, de bronze, de fer) selon la cyclo­lo­gie des anciennes tra­di­tions indienne, ira­nienne, grec­qus… et non pas des périodes archéo­lo­giques maté­rielles : âge de la pierre, du bronze, du fer qui ne sont en aucune façon ana­lo­giques avec les connais­sances tra­di­tion­nelles.
(3) Marie-France Garaud : Jean Monnet, un agent de la CIA
(4) C’est ain­si qu’est née l’indépendance de la Russie à l’égard des USA qui se voyaient déjà maîtres du monde.
(5) L’Obs du 9 décembre 2019, Nebia Bendjebbour : « Le Plan Marshall a sau­vé l’Amérique », cha­ri­té bien ordon­née…
(6) Par exemple : Mais quelle est cette secte qui dirige le monde ? du 6 février 2021
(7) Charles Gave : Qui sont ces gens qui nous gou­vernent ?
(8) Votre mai­rie est-elle « collabo » ?


Pierre-Émile Blairon est l’au­teur d’un cer­tain nombre de livres liés à l’Histoire, notam­ment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle :

Pierre-Émile Blairon - Iceberg

Pierre-Émile Blairon - Chronique fin cycle - Enfers parodisiaques

Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué

Pierre-Émile Blairon - Le messager des dieux

Pierre-Émile Blairon - Livre Tradition primordiale

Les articles du même auteur

Pierre-Émile Blairon

3 Commentaires 

  1. C’est un bel exer­cice de révi­sion dont nous avons (nous ce sont les boo­meurs) bien besoin par­fois, et qui remet les aiguilles de la bous­sole dans la bonne direction !

    Répondre
  2. Il faut rap­pe­ler éga­le­ment que la haute finance amé­ri­caine a aidé les bol­che­viques. D’où le mot bien connu de tout le monde de Lénine : « Les capi­ta­listes sont tel­le­ment bêtes qu’ils ven­dront la corde qui les pen­dra ».
    Et il y a de fortes chances pour que le maître de l’Allemagne ait pen­sé la même chose des capi­ta­listes amé­ri­cains, d’au­tant que le régime qu’il met­tait en place était l’an­ti-thèse abso­lue de « l’a­me­ri­can way of life ».
    Quant à l’ac­tuelle Russie, elle retourne au com­mu­nisme puis­qu’on réins­talle par­tout des sta­tues du « glo­rieux petit père des peuples »…
    Au fait com­bien de dizaines de mil­lions de morts sans oublier les 7 mil­lions de morts en Ukraine de 1932–33 ?

    Répondre
  3. Les gens bien pen­sants n’ont pas remar­qué le nom don­né en 1944 au débar­que­ment amé­ri­cain en Europe pour la « sau­ver » :
    « Overlord » ! Cela signi­fie suze­rain.
    Les Américians n’ont pas débar­qué pour « aider » l’Europe, mais pour y ins­tal­ler leur souveraineté.

    Répondre

Envoyer le commentaire

Votre adresse e‑mail ne sera pas publiée. Les champs obli­ga­toires sont indi­qués avec *

Je sou­haite être notifié(e) par mes­sa­ge­rie des nou­veaux com­men­taires publiés sur cet article.