Discréditer pour détourner
La raison d’être de Nice Provence Info est l’éveil des consciences et par suite l’échec de la tentative de soumission globale orchestrée par une oligarchie financière apatride.Ainsi que nous le rappelle Michel Maffesoli(1) :
« Le soumis en s’humiliant conforte son maître »
Ne vous soumettez plus aux injonctions de la Police de la Pensée !
Exemple concret, et hélas, quotidien :
Première étape : une tribune parue dans le 1er JDD du nouveau rédacteur en chef Geoffroy Lejeune, sous le titre « Nous ne sommes pas des faits divers ».
Cette tribune dénonce la manipulation politico-médiatique qui consiste à classer par son traitement médiatique (contre-feu, minoration des actes, voire disparition d’exposition de faits, manipulation des noms et des images…), des actes criminels dans la catégorie des FAITS DIVERS.
Un fait divers est, par définition, un fait marginal, exceptionnel et isolé. En revanche, une multiplication des mêmes actes ou actions qui s’apparentent à des crimes et délits, de terrorisme ou d’attaque claire contre notre société, notre mode de vie, voire notre civilisation, ne peut plus être classée dans la rubrique « Faits divers ». Ils deviennent alors des marqueurs de société que l’on ne peut plus se permettre de minorer et de marginaliser.
Aujourd’hui les représentants du Pouvoir et leurs relais médiatiques soumis grâce aux suventions, utilisent tous les artifices à leur disposition pour se défausser de leurs responsabilités. Chacun se souvient du « Responsable mais pas coupable » de Georgina Dufoix sur TF1 en 1991, alors qu’elle était ministre de Mitterrand ou le « J’assume ! » de ces faits divers s’apparentent à des crimes et délits, de terrorisme ou d’attaque claire contre notre société, notre mode de vie, voire notre civilisation, et de Christophe Castaner(2).
La Police de la Pensée se doit de DISCRÉDITER cette rubrique du JDD
Deuxième étape : il faut discréditer cette rubrique du JDD. Ce que fait alors immédiatement le Dauphiné Libéré, qu’il conviendrait de renommer le Dauphiné enchaîné. Libération, qu’il conviendrait aussi de renommer Soumission, saute sur l’occasion et titre à la une :
Libération a pour objectif de discréditer la lettre ouverte du JDD :
Il s’agit bien sûr d’un contre-feu. Libération n’assume même pas sa dénonciation en se défaussant sur Le Dauphiné Libéré. La couleur est annoncée dès le départ : il y a polémique. Mais c’est Libération qui l’alimente !
Le contre-feu est une technique utilisant un fait pour ne pas aborder le fond d’un sujet.
Le fait annoncé par Libération est que : « La lettre ouverte… a été écrite par la rédaction [du JDD et donc non pas par les familles]».
Bien sûr ! Et alors ?
Tous les articles proposés à un média passent par l’imprimatur de la rédaction qui décide de le publier ou pas.
Pour le JDD cela a pris la forme d’une tribune.
Libération mène bien un combat idéologique à limite de la diffamation et En Même Temps le sujet de fond (les violences, la dégradation du Vivre Ensemble) est éludé !
C’est ce que l’on appelle : botter en touche (notre illustration à la une).
Cette technique calomnieuse est courante
Rappelons nous la lettre ouverte des généraux(3) !
Public Sénat titre : « Cela pose un problème, surtout pour l’image que cela renvoie des militaires ». Ah bon !
Alors que tout le monde sait qu’il ne s’agit pas des militaires en activité qui ont un devoir de réserve mais d’une association d’anciens !
Pendant ce temps là on ne parle pas du constat accablant que fait cette lettre pour laquelle un sondage dira plus tard que plus de 75% des Français sont d’accord avec ce qu’elle avance.
Public Sénat, organe dit de presse à caractère public, entièrement subventionné par nos impôts, fonctionne sur les mêmes méthodes que la presse oligarchique (du reste subventionnée également) : discréditer pour évacuer le vrai problème.
Michel Maffesoli dans Le Grand Orient – Les Lumières se sont éteintes (page 68)
Pierre Pignon
11 septembre 2023
Post scriptum :
11 septembre, anniversaire d’une des plus grosses manipulations médiatico-politiques de tous les temps
Bien sûr vivre, vivre en paix, …..en paix ! Mais qui paie le montant au « juste » « prix » du courage de l’engagement ?
Réponse à « Sans importance » :
Mais si, c’est important ! C’est LE PLUS important.
Tout le monde veut vitre en paix, heureux, en bonne santé et rassasié.
Mais la Paix se mérite. Comme tout du reste. Qui est prêt à en payer le prix ?
Si on ne sait pas pourquoi on vit, on ne sait pas pourquoi on meurt.
Lisez le ou les livres de Pierre HILLARD : nous sommes tous issus de la même source, la race humaine.
Une partie pourrie de cette race doit être bannie car elle fait se battre les personnes entre elles.
Tout le monde aspire à vivre en paix, EN PAIX !