La minute de silence, c’est le silence des agneaux qu’on égorge… Et ça continue
Nous reprenons mot pour mot le titre de notre article du 4 novembre 2020 : La minute de silence, c’est le silence des agneaux qu’on égorge. Rien n’a changé depuis. Bis repetita placent(1).
Nouvel égorgé, nouvelle minute de silence. La routine, quoi…
On remarquera « victime d’un attentat terroriste ». Quel terrorisme ? Pourquoi ne pas le désigner alors que l’assassinat a été revendiqué ?
Les politiciens sont en dessous de tout
Surtout ne pas froisser la « communauté musulmane » qui — dans le fond — n’approuve pas ces actes odieux mais qui se terre de crainte de représailles de ladite communauté.
Nous n’attendons pas de nos politiciens poltrons de nous réunir pour nous taire, on leur demande d’agir !
Après Cornara décapité, Paty décapité(2), maintenant c’est au tour de Bernard et pour seule réponse politique : l’appel au « silence » des agneaux qu’on égorge.
Devrons nous, une nouvelle fois, republier cet article lors de la prochaine « minute de silence » orchestrée par nos politiciens impotents ?
Abraham Lincoln, grand sage, disait : « Le silence devient un péché lorsqu’il prend la place qui revient à la protestation et, d’un homme, il fait alors un lâche. »
Les articles du même auteur
Locution latine signifiant « Les choses répétées plaisent ».
Lire dans nos colonnes Le sourire kabyle du 2 novembre 2020
Je gausserais en disant qu’il faut faire une minute de silence le jour de l’Aïd pour les millions d’agneaux égorgés à vif par cette communauté bien archaïque