La minute de silence, c’est le silence des agneaux qu’on égorge… Et ça continue

par | 17 octobre 2023 | 1 com­men­taire

Nous repre­nons mot pour mot le titre de notre article du 4 novembre 2020 : La minute de silence, c’est le silence des agneaux qu’on égorge. Rien n’a chan­gé depuis. Bis repe­ti­ta placent(1).

Nouvel égor­gé, nou­velle minute de silence. La rou­tine, quoi…

Mairie Cagnes-sur-Mer - Minute silence

On remar­que­ra « vic­time d’un atten­tat ter­ro­riste ». Quel ter­ro­risme ? Pourquoi ne pas le dési­gner alors que l’as­sas­si­nat a été revendiqué ?

Les politiciens sont en dessous de tout

Surtout ne pas frois­ser la « com­mu­nau­té musul­mane » qui — dans le fond — n’ap­prouve pas ces actes odieux mais qui se terre de crainte de repré­sailles de ladite communauté.

Nous n’at­ten­dons pas de nos poli­ti­ciens pol­trons de nous réunir pour nous taire, on leur demande d’agir !

Après Cornara déca­pi­té, Paty déca­pi­té(2), main­te­nant c’est au tour de Bernard et pour seule réponse poli­tique : l’ap­pel au « silence » des agneaux qu’on égorge.

Devrons nous, une nou­velle fois, repu­blier cet article lors de la pro­chaine « minute de silence » orches­trée par nos poli­ti­ciens impotents ?

Abraham Lincoln, grand sage, disait : « Le silence devient un péché lorsqu’il prend la place qui revient à la pro­tes­ta­tion et, d’un homme, il fait alors un lâche. »

Les articles du même auteur

Michel Lebon

Locution latine signi­fiant « Les choses répé­tées plaisent ».

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Lire dans nos colonnes Le sou­rire kabyle du 2 novembre 2020

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