Sondage IPSOS Européennes 2024 : ça pue la manipulation !
Si l’on en croit l’IPSOS, en 2024, à peine 1 % (0,5 % Patriotes + 0,5 % UPR) des électeurs voudraient donc quitter l’Union européenne, l’euro, l’OTAN et la CEDH…
1 %, c’était, il y a 10 ou 15 ans, les intentions de vote pour l’UPR (à l’époque où c’était le seul parti à prôner la sortie de la France du piège européiste et transatlantique) et c’était donc les intentions de vote pour la sortie de l’UE.
Or depuis, il a coulé vraiment beaucoup d’eau sous les ponts et de nombreux Français (mais toujours minoritaires) ont fini par comprendre, forcés et contraints par la réalité qu’ils subissent, que l’Union européenne n’est pas un beau projet au service des peuples d’Europe, mais au contraire une entreprise d’asservissement des peuples et de destruction des nations européennes, et ce, au bénéfice de la communauté financière et mondialiste, prédatrice, cynique, perverse et même sadique qui contrôle la City et Wall Street et par conséquent Londres et Washington.
De nombreux Français ont (enfin…) vu et compris que :
• l’Union Européenne, ça n’est ni le plein emploi, ni la prospérité, ni la solidarité, mais au contraire, c’est les délocalisations, la concurrence sans entrave avec des pays dont les salaires (entre autres) sont 4 ou 5 fois plus bas, c’est le chômage, l’appauvrissement et c’est les retraites à 65 ans… en attendant 67 ans et même 70 ans.
• l’Union européenne, c’est un levier, d’abord idéologique, puis réglementaire (dans l’ordre) pour amener et forcer la population à accepter les privatisations (= le pillage de la richesse nationale), le démantèlement des services publics et les pires escroqueries comme, par exemple, le prix « européen » de l’électricité, l’escroquerie des prétendues subventions « européennes » ou de la PAC (Politique Agricole Commune).
• l’Union européenne, ça n’est ni la démocratie, ni la transparence, ni une protection contre la corruption puisque c’est l’exact inverse comme l’ont montré les récentes règles liberticides « européennes » et les nombreux scandales de corruption liés à la Commission de Bruxelles ou au parlement européen (« Qatargate », etc), et notamment le plus retentissant, celui des dizaines de milliards d’euros de prétendus « vaccins », Pfizer et autres, commandés par texto et dans le dos de la population par une présidente de la Commission européenne non élue et sans aucun droit de le faire.
• l’Union européenne, ça n’a jamais été fait pour être un contrepoids face aux États-Unis, mais au contraire, ça a été pensé et construit pour aliéner les pays européens (à commencer par la France) dans un ensemble totalement hétéroclite et disparate où chaque pays abandonne sa souveraineté et obéit à des règles et des directives qui sont élaborées à Washington et Londres et qui nuisent à ses intérêts les plus fondamentaux (surtout la France, encore une fois…).
• l’Union européenne, ça n’est pas la paix, puisque c’est aussi obligatoirement (par les traités) l’OTAN, et c’est donc la guerre contre à peu près tout le monde sur terre… qui n’accepte pas d’être une colonie américaine ou anglo-saxonne.
Toutes ces évidences, de plus en plus de Français ont fini par les intégrer, des ouvriers des usines délocalisées devenus chômeurs aux agriculteurs, en passant par les employés des services publics en cours de démantèlement, les bientôt futurs retraités, les simples consommateurs qui paient leur facture d’électricité, etc.
Et on voudrait nous faire croire que malgré ça, en 2024, il n’y aurait toujours que 1 % des électeurs qui envisagent de voter pour une liste prônant le Frexit et la sortie de l’OTAN ?
C’est impossible.
Mais du coup, on peut se poser la question de savoir pourquoi les instituts de sondages (appartenant tous à des représentants de la mafia européiste et mondialiste) prendraient le risque de minorer à ce point les intentions de vote en faveur du Frexit alors que le verdict des urnes finira bien par tomber au soir des élections en les contredisant de façon cinglante (et en les faisant apparaître pour les manipulateurs qu’ils sont).
À moins, évidemment, que les dirigeants de ces instituts de sondages sachent à l’avance et avec l’absolue certitude que les résultats publiés au soir de ces élections européennes ne viendront jamais contredire leurs prévisions…
Éric Boizet
Lire dans Médiapart du 10 mars 2024 : Les encombrants cadeaux du « sculpteur des stars » à Estrosi et Hidalgo
Lire dans Orange Actualités de mai 2023 : Les nombreux cadeaux du sculpteur Orlinski à l’Élysée interrogent
Les UPRistes ou abstentionnistes du 2éme tour… Les hyper actif du JESÈTOU…
Autrement dit, l’entre-soi vous rassure, c’est bien…
Au fait, abstentionnistes = tièdes ou collabos passifs du système en cours !
J’espère que les Français vont enfin se réveiller mais j’en doute car ils ne sont pas encore assez dans la merde.
Bonjour, on ne va pas se voiler la face, ils vont frauder ces élections.
Tant qu’il n’y aura pas de « gardes fous » à surveiller les comptages de votes dans les préfectures, au ministère de l’Intérieur et au ministère des Affaires Étrangères, les résultats des votes seront conformes aux sondages.
Avant, lorsque la société était encore structurée sur des valeurs et une morale (ce mot effrayant les parlementaires qui ont à légiférer aujourd’hui sur des questions modernes comme la réglementation des influenceurs), on confiait aux huissiers, titulaires d’un ministère public le soin d’entretenir la confiance dans la population. Las, que ce soit en matière de loteries et casinos, ou d’encadrement de jeux télévisuels, le caractère fondateur de leur mission a cédé la place aux petits arrangements entre amis moyennant émoluments.
Est venu avec la Macronie le rôle toujours appointé d’expert ou de garant parce qu’expert, dont celui du grand débat, qui une fois l’esbroufe passée, s’est empressé de courir les plateaux télé pour trahir gentiment la main qui l’avait nourri.
Tant de dévoiements ne pouvaient mener qu’à l’apothéose en matière de démocratie participative, celle de la fraude électorale en tant que pilier d’un régime politique et dont les médias, et par voie de conséquence les sondages, sont un des moyens préférés. De nombreuses protestations, des actions juridiques même ont été faites pour empêcher la manipulation par ces instituts de sondage autoproclamés sans autre succès que de nous doter d’organes de contrôle publics aussi peu utilisés que connus du grand public et qui ont servi d’abord de fromage à quelques batraciens à récompenser.
Le pire à mon sens est que toutes les personnalités politiques de quelque bord qu’elles soient, ne cessent de les conspuer sauf bien sûr lorsqu’ils leur confèrent une légitimité existante ou mieux, croissante. Si on ajoute que ces instituts rémunèrent maintenant les membres de leurs populations tests, et donc savent à l’avance qui sélectionner pour « finir le travail », soit fignoler des résultats aux petits oignons à faire reprendre en boucle par les médias souvent commanditaires, nous avons un aperçu de cette boussole statistique à géométrie variable mais sûrement pas aléatoire.
Bonjour,
Je l’espère, mais je doute encore sur les intentions de vote des Français complètement anesthésiés par la propagande en boucle des médias, depuis la période COVID.
Est-ce que les Français auront enfin le courage de se faire entendre par leurs élus, ce que ces derniers leur avaient promis auparavant.
Il faut en tout cas, DESTITUER en premier lieu la kaiserin Ursula van der Lahyene, espérer une dissolution de l’AN, voire une DESTITUTION de MACRON par la suite.
Français…le destin est entre vos mains…
Tout à fait d’accord avec vous !
Bravo ! Vous m’ôtez les mots de la bouche.
Depuis l’épidémie, les « sondeurs » procèdent uniquement par le net, ce qui élimine d’office toute une portion de la population votante et rend les strates illisibles, sans compter le parti abstentionniste. J’ai une maîtrise en stats et si j’avais fait ça, je n’aurais pas eu de clients !