Les quatre paliers de l’Apocalypse (deuxième partie)

par | 4 sep­tembre 2024 | 2 Commentaires 

Voici donc, comme nous vous l’an­non­cions le 31 août 2024, la deuxième par­tie de l’é­tude de Pierre-Émile Blairon qui porte sur Les quatre paliers de l’Apocalypse.

Fin de cycle ? Fin du monde ? Apocalypse ?

En ce qui concerne l’apparition hypo­thé­tique de ce « Sauveur », que les tra­di­tions reli­gieuses appellent aus­si faux Messie ou Antichrist, ou Antéchrist, qui reste, quelle que soit sa déno­mi­na­tion, un impos­teur, il s’agit d’une éven­tua­li­té qui n’est évi­dem­ment pas une inven­tion de mon cer­veau exal­té ; je ne vais pas jouer au pro­phète ins­pi­ré, comme Macron, qui connaît, semble-t-il, tous les détails du plan éla­bo­ré par l’Organisation qui l’a mis à la place qu’il occupe.

L’apparition de ce per­son­nage faus­se­ment pro­vi­den­tiel est attes­tée dans les livres sacrés des reli­gions mono­théistes lorsque vien­dra la fin des temps, ou l’Apocalypse, chez les chré­tiens, dans la plu­part des tra­di­tions anciennes, mais aus­si dans les témoi­gnages et les pré­dic­tions de nombre de visionnaires.

Nous allons faire un rapide survol des éléments dont nous avons connaissance

L’apparition du mono­théisme juif, sui­vi du chris­tia­nisme et de l’islam, a entraî­né une concep­tion du temps dif­fé­rente de celle des antiques civi­li­sa­tions ; pour entrer dans la logique d’un dieu révé­lé qui aurait élu le peuple juif, il fal­lait qu’il y eût un début et une fin (de pré­fé­rence heu­reuse) à cette élec­tion réci­pro­que­ment par­ta­gée. Il fal­lait donc adop­ter le concept d’un temps linéaire, concept arti­fi­ciel qui amène celui d’évolution et de pro­grès (du pire au meilleur).

Pour les tra­di­tions anciennes qui se réfé­raient à la nature et à son fonc­tion­ne­ment, le temps est logi­que­ment cyclique (les astres, les sai­sons, les jours, les arbres et leurs feuilles.

Toutes les mani­fes­ta­tions natu­relles naissent, meurent et reviennent en per­ma­nence et leur dérou­le­ment est invo­lu­tif (du meilleur au pire).
Les choses de la vie natu­relle sur Terre vont tou­jours en se dégra­dant jusqu’à la mort et non pas en s’améliorant (on ne naît pas vieux décré­pi pour finir jeune et beau en par­faite forme).

C’est ain­si que les Indo-euro­péens (Grecs, Italiques, Iraniens, Indiens, Celtes, Nordiques, Slaves, Arméniens) ont éta­bli des mesures de ce cycle divi­sé en quatre périodes appe­lées âges, donc du meilleur au pire :

Âges d’or, d’argent, de bronze, de fer

Le cycle auquel nous appar­te­nons aurait duré 64 800 ans et nous nous situons à la fin de la fin du der­nier âge, l’Âge de fer, connu éga­le­ment sous sa déno­mi­na­tion indienne : Kali-yuga, ou nor­dique : Ragnarök.

Comment savons-nous que nous sommes exactement à la fin de notre cycle ?

Tout sim­ple­ment d’une part parce que les livres sacrés des anciennes civi­li­sa­tions ont décrit la façon dont se ter­minent tous les cycles et cette façon est peu ou prou iden­tique à chaque fin de cycle. Et d’autre part parce-que les reli­gions du Livre ont repris cer­tains élé­ments de ces anciennes traditions.

Un exemple ? La fin des Assours

Alain Daniélou

Alain Daniélou

L’indianiste Alain Daniélou(1) nous rap­porte un extrait des Puranas, livres sacrés indous où il est ques­tion d’une guerre entre les dieux Vishnu et Shiva ; Vishnu, pour détruire le peuple des Assours, a l’idée de créer un per­son­nage per­vers appe­lé Arihat qui sera un impos­teur : « Le faux sage s’approcha du dieu et lui deman­da : quel est mon nom ? Que dois-je faire ? Vishnu dit : ton nom sera Arihat (des­truc­teur de gens pieux). Tu dois com­po­ser un pseu­do-livre saint de 1600 ver­sets en lan­gage popu­laire condam­nant les castes et les devoirs des divers âges de la vie. Tu seras doué du pou­voir de faire quelques miracles. La base de ton ensei­gne­ment sera : le ciel et l’enfer n’existent que dans cette vie et tu ensei­gne­ras cette doc­trine aux Assours de façon qu’ils puissent être détruits. »
On ne peut s’empêcher de pen­ser à une approxi­ma­tive figure du Christ, ou du Bouddha, repré­sen­tée par cet Arihat l’imposteur. Arihat, prô­nant l’égalitarisme et la non-vio­lence, par­vint à ses fins : le déclin des Assours.
Ce déclin se mani­feste de dif­fé­rentes façons ; c’est dans le détail de ce curieux inven­taire que l’on va retrou­ver quelques aspects de notre vie de tous les jours :
• le nombre des princes et des agri­cul­teurs décline gra­duel­le­ment.
• Les classes ouvrières veulent s’attribuer le pou­voir royal et par­ta­ger le savoir, les repas et les lits des anciens princes.
• La plu­part des nou­veaux chefs est d’origine ouvrière. Ils pour­chassent les prêtres et les tenants du savoir.
• On tue­ra les fœtus dans le ventre de leur mère et on assas­si­ne­ra les héros.
• .Des voleurs devien­dront des rois, les rois seront des voleurs.
• Les diri­geants confis­que­ront la pro­prié­té et en feront un mau­vais usage.
• Ils ces­se­ront de pro­té­ger le peuple.
• De la nour­ri­ture déjà cuite sera mise en vente.
• Le nombre des vaches dimi­nue­ra.
• Des groupes de ban­dits s’organiseront dans les villes et les cam­pagnes.
• Les com­mer­çants feront des opé­ra­tions mal­hon­nêtes.
• Ils seront entou­rés de faux phi­lo­sophes pré­ten­tieux.
• Tout le monde emploie­ra des mots durs et gros­siers
• On ne pour­ra se fier à per­sonne.
• Les gens du Kali-Yuga pré­ten­dront igno­rer les dif­fé­rences de race et le carac­tère sacré du mariage, la rela­tion de maître à élève, l’importance des rites.
• Les agri­cul­teurs aban­don­ne­ront leurs tra­vaux de labours et de mois­son pour deve­nir des ouvriers non-spé­cia­li­sés et pren­dront les mœurs des hors-castes.
• L’eau man­que­ra et les fruits seront peu abon­dants.
• Beaucoup seront vêtus de haillons, sans tra­vail, dor­mant par terre, vivant comme des misé­reux.
• Les gens croi­ront en des théo­ries illu­soires.
Le dieu Shiva, voyant cette déca­dence, « lan­ça contre elle son arme la plus ter­rible, une arme de feu qui, en un ins­tant, brû­lait tout, détrui­sait toute vie […] Seuls furent sau­vés quelques fidèles de Shiva qui s’étaient échap­pés dans la région où vivent les Gana (les com­pa­gnons de Shiva), c’est-à-dire le monde Mahar ou monde extra-pla­né­taire. Ce sont ces res­ca­pés qui ont pré­ser­vé en secret cer­tains élé­ments du savoir des Assours pour les huma­ni­tés futures ».

Où l’on voit, avec ces dernières lignes, que les cycles se terminent tous de la même façon

Une mino­ri­té lucide et volon­taire sub­siste après le cata­clysme ; elle a pris soin de ras­sem­bler les élé­ments posi­tifs qui consti­tuent le meilleur de leur Humanité et tra­verse, avec son bagage sur le dos, le gué qui la mène vers l’inconnu.

Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué

C’est grâce à eux, à ces hommes et ces femmes de savoir, ces êtres éveillés, que le nou­veau cycle peut démar­rer sur les bases de l’ancien. Les racines étant pré­ser­vées, un nou­vel arbre peut dès lors s’épanouir et fleu­rir. Nous remar­que­rons que ces sur­vi­vants sont ame­nés à se réfu­gier sur une autre pla­nète, chez les Gana.
L’un de ces textes sacrés, le Lingä Purânä, com­porte des pré­dic­tions qui se rap­portent non plus à l’Humanité dans laquelle vivaient les Assours il y a plus de soixante mille ans, mais à la nôtre ; nous allons alors retrou­ver la thèse déve­lop­pée par Nostradamus, celle d’un Grand Justicier, le Grand Monarque, qui vient faire une guerre totale aux « méchants ». Dans ce cas, la catas­trophe finale n’est plus seule­ment d’ordre cata­clys­mique mais se rap­porte direc­te­ment à l’attitude des hommes qui pro­voquent cette catas­trophe. Il s’y ajoute alors une rai­son d’ordre moral qui fait que la catas­trophe devient une opé­ra­tion de puri­fi­ca­tion. « Durant la période de cré­pus­cule qui ter­mine le Yugä, le jus­ti­cier vien­dra et tue­ra les méchants. Il sera né de la dynas­tie de la Lune. Son nom est Guerre (Samiti). Il erre­ra sur toute la terre avec une vaste armée. Il détrui­ra les Mlécchä (les Barbares de l’Occident) par mil­liers. Il détrui­ra les gens de basse caste qui se sont sai­sis du pou­voir royal et exter­mi­ne­ra les faux phi­lo­sophes, les cri­mi­nels et les gens de sang mêlé. Il com­men­ce­ra sa cam­pagne dans sa trente-deuxième année et conti­nue­ra pen­dant vingt ans. »

Il y a dans ce texte, que j’ai fait paraître dans mon pre­mier livre il y a 18 ans, l’intégralité de ce qui se passe actuel­le­ment et de ce qui pour­rait arri­ver :

Pierre-Émile Blairon - Dame signe blanc

• Arihat est le faux mes­sie, l’antéchrist ou l’antichrist de la Bible ; celui-là même que la secte mon­dia­liste a l’intention de nous pro­po­ser comme « guide suprême ».
• Le détail de toutes les ava­nies que cette même secte nous fait subir ; si vous trans­po­sez le lan­gage ancien décri­vant l’Inde de cette période loin­taine dans notre période actuelle, vous consta­te­rez que nous sommes en train de vivre presque toutes ces mésa­ven­tures, avec – petit retour en arrière – plu­sieurs réfé­rences à ce qui s’est pas­sé pen­dant la Révolution qui est à l’origine de ce désastre.
• Une guerre ato­mique éclate ensuite qui détruit la presque tota­li­té de l’espèce humaine ne lais­sant en vie que quelques per­sonnes, ces « êtres dif­fé­ren­ciés » debout au milieu des ruines chers à Julius Evola, qui vont pou­voir redé­mar­rer le nou­veau cycle.

Julius Evola

Julius Evola

Donc, voi­là, tout y est ; il n’y a rien de nou­veau sous le soleil, le monde est en per­pé­tuel recommencement.

Nous pou­vons remar­quer que nous sommes un peu plus concer­nés par ce qui s’est pas­sé à la fin du cycle pré­cé­dent, il y a 64 800 ans, que par les pré­dic­tions concer­nant celui que nous vivons, à savoir l’apparition d’un jus­ti­cier (la parou­sie, le retour du Christ, le Grand Monarque ?) qui anéan­ti­ra les sata­nistes, pour simplifier.

Jean Phaure, primordialiste chrétien, (1928−2002) annonçait en 1974 la fin des temps pour… 2030 !

Jean Phaure

Jean Phaure

Jean Phaure (2) écri­vait ces mots bou­le­ver­sants en 1973 : « Douloureux hon­neur que d’appartenir à une Humanité finis­sante qui ne sait pas sa fin pro­chaine, qui ne veut pas le savoir, — et de le dire pour­tant, car il faut qu’en cette époque cer­taines choses soient dites, aus­si incon­for­tables soient —elles. Dans le demi-siècle à venir, les évé­ne­ments les plus bru­taux, les plus incon­ce­vables , à la fois malé­fiques et béné­fiques, vont écla­ter, et ce n’est qu’alors que la plu­part s’apercevront que cer­tains les avaient pré­vus. Car cette Humanité est sourde et aveugle, et son réveil sera san­glant(3)… »
Selon la tra­di­tion shi­vaïte, notre grand cycle d’Humanité, que les Hindous appellent Manvantara est le sep­tième sur Terre ; la pre­mière Humanité est née il y a plus de 400 000 ans.
Notre Manvantara, dont nous pour­rions voir la fin rapi­de­ment, s’est éten­du sur 64800 ans, nombre qui cor­res­pond à : 2,5 cycles pré­ces­sion­nels de 25 920 ans, 5 « grandes années » de 12960 ans, 30 « Ères » zodia­cales de 2 160 ans(4) .

Avant d’entrer dans l’Ère du Verseau, nous sor­tons de l’Ère des Poissons, carac­té­ri­sée par la pré­do­mi­nance du chris­tia­nisme suite à la des­cente de l’avatar Christ. Dans la tra­di­tion hin­douiste, un ava­tar est la des­cente d’un dieu ou d’un repré­sen­tant de Dieu qui s’incarne pour réta­blir l’ordre et sau­ver le monde à chaque ère zodiacale.

Notre Humanité a donc connu au moins 30 ava­tars, mais sûre­ment plus, car il peut y avoir appa­ri­tion de plu­sieurs ava­tars pour chaque début d’ère zodia­cale, qui ont à peu près tous le même pro­fil : fils de Dieu, ou d’un dieu, et d’une mor­telle vierge, venus com­battre le démon, ou les démons, gué­ris­seurs et ini­tia­teurs, péris­sant en sacri­fice avant de remon­ter vers le Père (voir, par exemple, la figure d’Héraklès ou celle de Mithra, ou celle d’Horus). Pour Jean Phaure, le Christ a ceci de dif­fé­rent, et de spi­ri­tuel­le­ment supé­rieur, d’avec ses pré­dé­ces­seurs, c’est qu’il arrive à la fin du grand cycle, du Manvantara, pour le clô­tu­rer dans l’Apocalypse, la gloire de la Révélation et la parou­sie qui est le second avè­ne­ment du Christ (p.248).
Cette fin apo­ca­lyp­tique pour­rait sur­ve­nir dans un délai très court à l’heure où nous écri­vons car Jean Phaure, repre­nant un texte sacré hin­dou, pré­cise qu’elle pour­rait se situer en… 2030.

« C’est donc la grande Tribulation de l’Antéchrist qui repré­sente le terme de la cyclo­lo­gie ada­mique, le ren­ver­se­ment total de l’âge d’Or pri­mor­dial, et la fin du Cycle pro­pre­ment dit. Une tra­di­tion hin­doue situe cette “fin” (fin du Kali-Yuga) en 2030. Nicolas de Cuse (1401−1464) “tombe” sur la même date ! […] Quelle que soit l’importance des tra­di­tions que nous venons d’évoquer, ce n’est évi­dem­ment qu’à titre d’hypothèse de tra­vail que nous fai­sons état de cette data­tion (2030), qui nous semble cepen­dant prê­ter à l’échelonnement des évé­ne­ments de la Fin un cadre chro­no­lo­gique de grande vrai­sem­blance. »

Comment être du bon côté du manche

Je vou­drais ter­mi­ner sur une note opti­miste (si c’est pos­sible dans ce contexte), à savoir que je lis ce matin même, 20 août 2024, sur le site cana­dien nou­veau monde.ca(5), que « Selon un décret signé par le pré­sident Vladimir Poutine, Moscou four­ni­ra une assis­tance à tous les étran­gers qui sou­haitent échap­per aux idéaux néo­li­bé­raux mis en avant dans leur pays et s’installer en Russie, où les valeurs tra­di­tion­nelles règnent en maître.
En ver­tu de ce docu­ment, ces res­sor­tis­sants étran­gers auront le droit de deman­der une rési­dence tem­po­raire en Russie “en dehors du quo­ta approu­vé par le gou­ver­ne­ment russe et sans four­nir de docu­ments confir­mant leur connais­sance de la langue russe, de l’histoire russe et des lois fon­da­men­tales”.
Les demandes peuvent être fon­dées sur le rejet des poli­tiques de leurs pays “visant à impo­ser aux gens des idéaux néo­li­bé­raux des­truc­teurs, qui vont à l’encontre des valeurs spi­ri­tuelles et morales tra­di­tion­nelles de la Russie”».

Ça peut tou­jours ser­vir, à défaut de pou­voir vous réfu­gier sur une autre pla­nète comme l’ont fait les der­niers sur­vi­vants des Assours…

Pierre-Émile Blairon

Le Destin du monde selon la tra­di­tion shi­vaïte, pre­mière par­tie : La théo­rie des cycles, p. 21 à 40. Albin Michel, 1985

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Primordialiste, ou tra­di­tio­na­liste : qui se réclame de la Tradition pri­mor­diale, laquelle peut se défi­nir par quelques carac­té­ris­tiques fon­da­men­tales, à savoir : la cyclo­lo­gie : le temps se déroule par cycles (il n’est pas linéaire), en invo­lu­tion (il n’est pas évo­lu­tion­niste, ou pro­gres­siste), la fin d’un cycle est mar­qué par l’inversion des vraies valeurs qui fondent les civi­li­sa­tions, la Tradition pri­mor­diale implique que toutes les reli­gions, civi­li­sa­tions ou spi­ri­tua­li­tés pro­viennent d’une source unique, une civi­li­sa­tion pri­mor­diale de carac­tère à la fois solaire (Apollon) et polaire (Hyperborée), qui a ensuite répan­du sa connais­sance à tra­vers le monde ; pour l’ésotérisme chré­tien, le Christ est d’essence apollinienne.

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Le Cycle de l’Humanité ada­mique, Introduction à l’étude de la cyclo­lo­gie tra­di­tion­nelle et de la fin des temps, p. 503, Dervy, 1973

Q

Ibid. p. 240 et 509

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La Russie offre un refuge aux per­sonnes qui tentent d’échapper aux idéaux libé­raux occi­den­taux [Nouveau Monde]

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Les articles du même auteur

Pierre-Émile Blairon

Pierre-Émile Blairon est l’au­teur d’un cer­tain nombre de livres liés à l’Histoire, notam­ment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle :

Pierre-Émile Blairon - Empire mensonge

Pierre-Émile Blairon - Iceberg

Guillaume Faye

Pierre-Émile Blairon - Chronique fin cycle - Enfers parodisiaques

Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué

Pierre-Émile Blairon - Le messager des dieux

Pierre-Émile Blairon - Livre Tradition primordiale

Les articles du même auteur

Pierre-Émile Blairon

2 Commentaires 

  1. Le temps n’ap­par­tient qu’à Dieu. Dieu nous a envoyé son Fils unique annon­cé par les Prophètes de l’Ancien Testament, et atten­du par tous. Il a accom­pli les Écritures et a dési­gné Pierre, et lui seul, pour bâtir SON Église, qui dure depuis 2.000 ans mal­gré sa dimen­sion humaine impar­faite. Rien jus­qu’a­lors n’a duré plus de 1.000 ans sinon la royau­té fran­çaise reine des Nations et fille aînée de l’Église,
    Deux véri­tés sont deux men­songes. La Vérité, est comme son Créateur, Une, Universelle et Intemporelle. Et le Christ est seul VÉRITÉ, CHEMIN ET VIE. Il a chan­gé le temps depuis pour nous sor­tir des cycles infer­naux aux­quels nous sommes trop sou­vent ten­tés de reve­nir pour un temps linéaire pro­gres­sif et conti­nu, et le monde entier compte le temps depuis qu’il est né même si la Terreur Républikhaine a ten­té un nou­veau calen­drier païen.
    En dehors de la Sainte Église Catholique point de Salut.
    Méfions nous des faux pro­phètes et des loups dégui­sés en bergers.

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  2. La pré­dic­tion est un art périlleux, par­ti­cu­liè­re­ment en ce qui concerne l’avenir

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