
Sarkozy, le petit parrain
Nous écrivions le 29 septembre 2025 dans notre article La France n’est plus un État de droit :
Estrosi honore un voyou qui a considérablement nui à la France, qui a menti, triché en permanence(1).
Tout comme son mentor, il bafoue les règles fondamentales de droit, au profit de la sauvegarde de ses amis. La règle qui prévaut, c’est l’appartenance au clan.
Autrement dit : le système mafieux
C’est vieux comme le monde. Deux visions s’affrontent à travers les âges :
• la protection par une entité abstraite, l’État, qui doit être juste et impartial,
• la protection de son clan : famille de sang (mafia au sens propre), religieuse, géographique, etc.
La République prônait un État de droit lorsqu’elle voulait renverser la royauté :
Mais très vite cette règle fut transgressée, car l’État de droit est une situation subtile et fragile qu’il faut sans cesse préserver.
La démonstration en fut faite en long, en large et en travers tous ces jours-ci, jusqu’à l’incarcération effective du délinquant Sarkozy, nous offrant le spectacle pathétique de l’agonie de notre régime politique.
La retransmission de l’incarcération de Sarkozy par nos médias, qui ressemblait à un couronnement princier, montre que nous sommes définitivement devenu un pays de gros débiles.
— AuBonTouiteFrançais 🍾🍾🍾 (@VictorSinclair3) October 22, 2025
Avec des gens et des médias pareils, tu peux faire absolument tout ce que tu veux. Ça passera crème … pic.twitter.com/gtLLwJAtRu
Nous vous proposons ci-dessous un florilège des personnalités qui ont publiquement exprimé leur soutien au délinquant :
| Personnalité | Rôle | Déclaration clé | Source |
|---|---|---|---|
| Rachida Dati | Ministre de la Culture, ex-garde des Sceaux sous Sarkozy | Soutien ferme et public, positionnée « aux côtés de celui qui l’avait nommée ministre ». | Web |
| François Baroin |
Ex-ministre, proche de LR |
A rendu visite à Sarkozy avant l’incarcération pour exprimer son soutien. | Web |
| David Lisnard | Maire de Cannes, président de Régions de France (LR) | Visite de soutien avant l’incarcération. | Web |
| François-Xavier Bellamy | Député européen LR | Soutien exprimé lors d’une visite récente. | Web |
| Nadine Morano | Députée européenne LR | Présente au rassemblement de soutien le 21 octobre devant le domicile de Sarkozy. | Web |
| Philippe Tabarot | Ministre des Transports | « Mes pensées vont à Nicolas Sarkozy et à ses proches qui l’accompagnent avec courage et dignité dans cette épreuve. Je lui redis tout mon respect pour l’engagement et le dévouement dont il a fait preuve pour notre pays. » (21 octobre 2025) | Post X [post:66] |
| Vincent Jeanbrun | Ministre délégué à la Ville et au Logement | « Pensées sincères et affectueuses pour Nicolas Sarkozy et sa famille. Dans l’épreuve, je veux simplement dire mon attachement à l’homme, à son courage, à sa force dans l’adversité, à son parcours et à ce qu’il a représenté pour tant de Français. » (21 octobre 2025) | Post X [post:70] |
| Éric Ciotti |
Président de l’Union des droites pour la République (UDR, allié RN) | « Condamnation extrêmement sévère […] Les preuves de corruption ou de financement illégal de campagne n’ont pas été établies. Une pensée amicale à l’ancien Président. » (25 septembre 2025) | Web |
| Gérald Darmanin | Ministre de l’Intérieur | « Je l’irais voir en prison » ; exprime son « inquiétude quant aux conditions de sécurité » et sa « tristesse pour le président Sarkozy ». (Proche collaborateur de Sarkozy par le passé.) | Web |
| Emmanuel Macron | Président de la République | Geste « fort » lors d’une rencontre privée d’une heure à l’Élysée le 17 octobre 2025, témoignant d’une « relation particulière malgré leurs différences politiques ». | Web |
| Édouard Philippe | Ex-Premier ministre, président d’Horizons | Visite de soutien avant l’incarcération. | Web |
| Christian Estrosi | Maire de Nice, Horizons | « Je tiens à apporter mon total soutien à mon ami NicolasSarkozy dans l’épreuve qu’il vit aujourd’hui. […] Sa hauteur de vue et son leadership nous manquent. » (Décembre 2024, réitéré en 2025) |
Post X [post:67] |
| Marine Le Pen | Présidente du Rassemblement National | Soutien public à la condamnation du jugement, alignée sur une rhétorique de « persécution judiciaire ». | Web , [post:71] |
| Jordan Bardella | Président du groupe RN à l’Assemblée | Soutien exprimé lors d’une visite récente. | Web |
| Philippe de Villiers |
a rendu visite à Nicolas Sarkozy à son domicile parisien, aux côtés d’autres fidèles comme François Fillon, François Baroin et Édouard Philippe. |
Web | |
| Carla Bruni | Épouse | Soutien indéfectible : « Injustice totale » (septembre 2025) ; l’a accompagné main dans la main jusqu’au départ pour la prison, marquée par l’émotion. | |
| Louis Sarkozy | Fils | Appel au rassemblement de soutien le 21 octobre : « Soyons nombreux à venir exprimer notre soutien à Nicolas Sarkozy […] un geste de soutien, un témoignage silencieux et digne. » | Web |
| Pierre Sarkozy | Fils | Co-organisateur du rassemblement avec Louis. | Web |
| Cécilia Attias | Ex-épouse | Message poignant : « Nicolas Sarkozy bientôt en prison : ce message de Cécilia Attias qui en dit long » (soutien implicite). | Web |
| Bernadette Chirac | Ex-Première dame | Manifestation d’amitié envers Sarkozy, malgré les tensions passées entre familles politiques. | Web |
| Claude Chirac | Fille de Bernadette, ex-conseillère de Jacques Chirac | Soutien conjoint avec sa mère. | Web |
| Laurent Wauquiez | Président des Républicains (LR), député | « Nicolas Sarkozy a toujours servi la France avec passion et engagement. Je veux redire mon soutien et ma reconnaissance envers l’homme d’État qui a tant donné à notre pays et mon amitié pour l’homme. » (25 septembre 2025) |
Post X [post:76] ; Web |
| Karine Le Marchand | Animatrice TV | Soutien public exprimé sur Instagram | Web |
| Christine Bravo | Animatrice | Insurrection publique contre la condamnation lors d’une émission sur W9 | Web |
| Isabelle Balkany | Ex-maire de Levallois-Perret, (condamnée pour fraude) | « Cœur et tendresse » à la famille Sarkozy | Post X [post:72] |
| Sympathisants anonymes | Rassemblement de 100 à 300 personnes le 21 octobre devant son domicile, avec cris de « Libérez Sarkozy ! » et drapeaux tricolores | Web | |
| Hauts fonctionnaires et anciens collaborateurs | Plus d’une centaine (dont le secrétaire général de l’Élysée et ex-patrons de police) ont applaudi Sarkozy lors d’une réunion le 9 octobre 2025 | Post X [post:78] |
Et bien entendu, toute la presse subventionnée.
Retenez ces noms, tous bafouent les valeurs qui fondent l’État de droit et toute civilisation.
Toutes ces personnes ont fait le choix de l’obédience clanique au détriment de l’État de droit
Elles ne peuvent ignorer que « l’État de droit est une des conditions de notre démocratie et de notre vivre ensemble » [source : Conseil d’État].
C’est très grave eu égard aux responsabilités qu’elles exercent, ou ont exercées.
Ces personnes sont des mafiosi qui font allégeance au clan qui les protège et qu’elles se doivent de protéger

Le clan a mis en place Nicolas Sarkozy au plus haut niveau de l’État. Devenu le parrain du clan, il se doit d’être reconnaissant, comme le dit très ouvertement Rachida Dati, actuelle ministre sous Macron, comme elle le fut sous Sarkozy (2007−2010) « qui l’avait nommée ministre ».
Les turpitudes de Nicolas Sarkozy ont principalement profité aux États-Unis, comme nous le dénonçons dans notre article : HAUTE TRAHISON : Sarkozy l’Américain du 21 janvier 2025.

La mafia est un système clanique très hiérarchisé. Nicolas Sarkozy est le parrain pour la France, comme Obama est le parrain pour les États-Unis, qui lui aussi a été mis en place pour répondre aux ordres de la Pieuvre.
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Les innombrables malversations, d’une extrême gravité de Nicolas Sarkozy, doivent être rappelées à tous ceux qui seraient prompts à se laisser influencer par la propagande de CNews (Bolloré) ou de TF1 (Bouygues), outils de désinformation aux ordres de la bourgeoisie dont sont issus tous nos dirigeans politique.
Politique Intérieure :
• Le Traité de Lisbonne : Refusé par référendum en 2005, le traité constitutionnel européen a été ressuscité sous forme de traité de Lisbonne, ratifié par voie parlementaire en 2008 sans consultation populaire. Sarkozy, alors président, a justifié cette manœuvre comme une “simplification institutionnelle”.
• Ruine d’EDF avec la loi NOME : Adoptée en 2010 sous l’impulsion de François Fillon et Nicolas Sarkozy, la loi sur la Nouvelle Organisation du Marché de l’Électricité (NOME) a imposé à EDF de vendre son électricité nucléaire à bas prix à ses concurrents via l’Arenh (Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique). Ce mécanisme, censé ouvrir le marché à la concurrence européenne, a été critiqué comme une “vente à perte” qui a endetté EDF de milliards d’euros et fragilisé la filière nucléaire française. Des experts estiment que cette loi a coûté à l’État des dizaines de milliards en subventions cachées.
• Immigration choisie : Sous Sarkozy, l’immigration légale a atteint un pic de 250 000 titres de séjour annuels, malgré sa rhétorique de fermeté. Sa loi de 2006 sur “l’immigration choisie” a été un échec, avec seulement 14 % d’immigration professionnelle contre un objectif de 50 %.
• Discrimination positive : Plus provocateur, son discours de 2008 sur le “défi du métissage” – “Ce n’est pas un choix, c’est une obligation” – a annoncé la politique de quotas d’immigrés non-européens dans toutes les sphères de l’État et de la société, expression du multiculturalisme anglo-américain qu’il a voulu imposer en France.
• Mayotte départementalisée : En 2009, Sarkozy a impulsé la départementalisation de Mayotte, effective en 2011, malgré les avertissements sur l’immigration clandestine massive. Résultat : une explosion démographique et des tensions sociales, avec des critiques qualifiant cela d””erreur historique” qui a alourdi les finances publiques sans résoudre les problèmes structurels.
• Théorie du genre à l’Éducation Nationale : En 2011, sous son mandat, des manuels scolaires de SVT ont intégré des chapitres sur le genre, expliquant que l’identité sexuelle est socio-culturelle autant que biologique.
• Fin de la double peine et politique du chiffre à la police : La réforme de 2003, impulsée par Sarkozy comme ministre de l’Intérieur, a limité les expulsions automatiques d’étrangers délinquants, vue comme un laxisme pénal. Parallèlement, sa “politique du chiffre” a poussé les forces de l’ordre à privilégier les statistiques (PV, interpellations) au détriment de la prévention, générant des dysfonctionnements persistants.
• Saccage de l’Hôpital public : Les réformes hospitalières de 2009 (loi HPST) ont renforcé les pouvoirs des directeurs et favorisé les partenariats public-privé, au détriment des soignants. Budgets rognés et fermetures de lits ont été dénoncés comme un “démantèlement” du service public, aggravé par la crise Covid.
• Saisie individuelle du Conseil constitutionnel : Membre de droit du Conseil depuis 2012, Sarkozy a été accusé d’instrumentaliser l’institution pour ses recours personnels, comme en 2013 pour ses comptes de campagne, soulevant des questions d’impartialité.
• Vente de 20 % des réserves d’or : Une Perte de 40 Milliards : En 2004, comme ministre, Sarkozy a vendu 589 tonnes d’or de la Banque de France pour 4,67 milliards d’euros. Avec la flambée du cours de l’or, cette opération a coûté à l’État environ 40 milliards d’euros en valeur actuelle.
• Ouverture à gauche : Sitôt élu sur une ligne de droite dure, Sarközy a ouvert son gouvernement à des figures historique de gauche (le (..) néo-conservateur Bernard Kouchner aux Affaires étrangères, le socialiste libanais Éric Besson à la Prospective) et à des personnalités non blanches ou d’origine immigrée, comme Rachida Dati (Justice), Fadela Amara (politique de subventions des quartiers ethnique), ou Ramatoulaye Wade. Il s’agit d’accélérer le multiculturalisme et la discrimination positive.
• Suppression du crime de haute trahison : La révision constitutionnelle de 2007, sous son impulsion, a remplacé la “haute trahison” par un vague “manquement aux devoirs”, supprimant une protection contre les abus présidentiels et protégeant potentiellement Sarkozy lui-même.
• Maintien des 35 heures et retraite à 60 ans : Malgré ses promesses de “rupture”, Sarkozy n’a pas abrogé les 35 heures (seulement assouplies) ni repoussé immédiatement la retraite à 60 ans (reportée à 62 en 2010, mais maintenue pour les carrières longues), décevant la droite libérale.
• Maintien des Accords d’Évian : Sarkozy a préservé les facilités d’immigration issues des accords de 1962, malgré les appels à leur renégociation, favorisant selon les détracteurs un flux migratoire incontrôlé.
• Enterrement du rapport sur le financement des syndicats de gauche : En novembre 2011, sous son mandat, un rapport parlementaire explosif sur les financements opaques des syndicats (plus de 5 milliards d’euros annuels, avec des abus via les comités d’entreprise et des publicités suspectes) a été rejeté et “enterré” par l’Assemblée, malgré six mois de travail et 45 auditions. Cette décision, prise à la veille des élections présidentielles de 2012, visait à se concilier la gauche syndicale en vue de la réélection de Sarközy.
• Déclarations de Carla Bruni sur le “sang pourri” des Français : En 2010, Carla Bruni, épouse de Sarkozy, évoque “le vieux sang pourri” qui coule dans les veines des Français, en référence à leur supposée frilosité face à l’immigration et à la diversité raciale.
• Constructions de mosquées : En 2006, le rapport Machelon, commandé par Sarkozy, ministre de l’intérieur, a autorisé les subventions communales aux lieux de culte, contournant la loi de 1905. Cela a accéléré la construction de mosquées (près de 2 500 en 2012), souvent financées par des fonds qataris, via des baux emphytéotiques à 1 euro/an.
• Débat truqué sur l’identité nationale : Lancé en novembre 2009 par Éric Besson, ministre de l’Immigration, le “grand débat sur l’identité nationale” visait à répondre aux préoccupations des électeurs de droite sur l’immigration. Présenté comme une réflexion ouverte, il a rapidement été repris en mains par le pouvoir. Les 150 réunions publiques, souvent encadrées par des préfets, ont éludé les questions sensibles comme l’immigration massive ou l’influence de l’islam, se concentrant sur des thèmes abstraits comme la “République” ou la “laïcité”. En février 2010, le débat s’est conclu par une célébration irénique des valeurs de la gauche républicaine, avec des propositions vagues (hymne national à l’école, drapeau tricolore).
• Collusion pour un demi milliard d’euros avec Bernard Tapie : En 2007, alors président, Sarkozy a influencé la décision de recourir à un arbitrage privé plutôt qu’à une procédure judiciaire classique pour régler le différend entre Tapie et le Consortium de Réalisation (CDR), entité publique gérant les dettes du Crédit Lyonnais. Cette décision a été prise par la ministre de l’Économie, la (..) Christine Lagarde, sous son mandat. En 2015, la cour d’appel de Paris a annulé l’arbitrage, jugeant qu’il était entaché de fraude. Tapie a été condamné à rembourser les 403 millions d’euros. Sarközy, bien que non directement condamné dans cette affaire, a été mis en cause pour son influence. Christine Lagarde, jugée pour “négligence”, a été reconnue coupable en 2016 mais dispensée de peine.
Politique Étrangère :
• Néoconservatisme et Soumission à l’OTAN : Sarkozy s’est distingué par un atlantisme fanatique, rompant avec la tradition d’indépendance française.
• Destruction de la Libye : Après avoir permis à Mouammar Kadhafi de poser sa tente à l’Élysée, Sarkozy, en 2011, a initié l’intervention de l’OTAN en Libye pour abattre un État jugé hostile à “Israël”. Soutenu par BHL, il a contribué à la chute de Kadhafi grâce à des milices djihadistes, laissant un chaos de grande ampleur s’installer, ouvrant un corridor migratoire béant qui n’a toujours pas été refermé. Cette guerre a entraîné la percée djihadiste dans le Sahel, notamment au Mali, qui a culminé avec le retrait en catastrophe des troupes françaises de toute l’Afrique de l’Ouest.
• Revirements en Syrie : Après avoir réhabilité Bachar al-Assad en 2008 (invité au 14 juillet), Sarkozy a pivoté en 2011, appelant à une intervention militaire en 2012, sans aval de l’ONU.
• Alignement sur “Israël” : Son discours à la Knesset en 2008 et ses condamnations de l’Iran ont marqué un soutien inconditionnel à l’entité sioniste, rompant avec l’équilibre traditionnel français au Proche-Orient.
• Réintégration dans l’OTAN : En 2009, Sarkozy a ramené la France dans le commandement intégré de l’OTAN, abandonnant 43 ans d’exception gaulliste, le mouvement politique dont il provient. Pro-guerre et pro-OTAN, il a aligné Paris sur Washington, au détriment d’une défense française et européenne autonome.
• Corruption qatarie : Sarkozy a favorisé l’influence islamo-qatarie en France via des investissements (PSG, Rafale) et une convention fiscale de 2008 exonérant les capitaux qataris. En contrepartie, le Qatar a financé son divorce avec la (..) Cécilia Cziganer Albeniz, mère de Louis Cziganer Albeniz Sarközy (3 millions d’euros via une sur-rançon pour les infirmières bulgares en 2007). Les enquêtes sur le Mondial 2022, attribué au Qatar, pointent un “pacte de corruption” lors d’un déjeuner élyséen en 2010, impliquant Sarkozy, Platini et l’émir du Qatar. Cette collusion culmine avec la guerre en Syrie, le Qatar voulant renverser Bachar Al Assad pour installer un pouvoir islamiste à Damas et faire transiter son gaz par le territoire syrien conquis avec l’aide de l’OTAN et de la France.

Article absolument réaliste ! Il manque juste une étoile jaune de… « shérif », sur le poitrail de la tentaculaire … J’ajoute, que comme pour le Diable, la subtilité étant de faire croire à une grosse majorité « covidienne », que cela n’existe pas… Mais contrairement au « Diable », cette toxicité sociétale là : Existe bel et bien ! La justice et les divers services gouvernementaux, étant leurs bras armés. Les DZ TAFIOLE, n’étant que des mercenaires importé(e)s pour accentuer l’imbroglio. C’est ce monde que l’électorat à 50 %, plébiscite (par kastorinage) plus ou moins consciemment, depuis 1980 au moins !… PERSONNE aujourd’hui ne peut dire : je ne savais pas ! Mais bien : Je vous ai compris !… À part les gosses (et encore : voir GRETA MACHINE & consort)…
MADAGASCAR : RÉVÉLATIONS SUR LA FUITE DU PRÉSIDENT RAJOELINA
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Sarkozy et Macron complices