Les mondialistes aveuglés par leur outrecuidance
Nous revenons ici sur les propos inouïs de Jacques Attali sur BFMTV ce jeudi 7 novembre que nous avons repris le lendemain : Jacques Attali : œuvre de tant de jours en un jour effacée :
« On ne s’est pas préparé du tout à cette hypothèse(1) ».
La tête d’œuf Jacques Attali, major de promotion de l’École polytechnique (1965), troisième de l’ENA (1970), conseiller stratège de tous les présidents de la république dont il assure la promotion(2), comment a‑t-il pu ne pas voir venir la vague Trump ? Et continuer comme s’il n’allait rien se passer aux États-Unis le 5 novembre !
On peut imaginer qu’il ment pour ne pas sombrer dans le ridicule et anéantir son image de grand gourou porté par son ton péremptoire, voire arrogant. Mais le contenu et la forme de l’entretien sur BFMTV indiquent qu’il est effectivement hébété. De plus Attali ne parle pas en son nom propre. Il aurait pu dire :
« Je ne me suis pas préparé du tout à cette hypothèse ». Non, il dit :
« On ne s’est pas préparé du tout à cette hypothèse ».
Ce qui démontre bien, s’il en était besoin, que Jacques Attali appartient à une entité dont il est le « sherpa » (lire à ce propos Attali se fout bien de la démocratie du 5 septembre 2024). Cette entité œuvre de longue date à la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial dont le siège serait à Jérusalem, nous l’avons suffisamment montré dans nos colonnes. Cette entité, comploteuse, est tellement puissante qu’elle déclenche des guerres ou des pandémies mondiales, met en place les dirigeants de tous les pays occidentaux, renverse les régimes qui ne lui conviennent pas, en bref fait la pluie et le beau temps depuis des décennies, voire plus. Elle s’est sentie omnipotente, au dessus du Peuple — des Peuples — qu’elle manipule avec efficacité.
Et cette entité globaliste, que l’on nommera « État profond », n’a pas vu la montée en puissance de Trump ?
Avec les moyens puissants et sophistiqués de contrôle et de manipulation de l’opinion, l’État profond n’a pas vu la victoire sans appel de Trump, et ne veut pas la voir, ne peut pas la voir.
Raz de marée électoral en faveur de Trump dans tous les États américains
Tout le monde savait — à tout le moins : toutes les personnes curieuses dotées d’un peu d’esprit critique — tout le monde pressentait que Trump allait l’emporter, même… Nice Provence Info qui annonçait la veille du scrutin la victoire attendue du candidat républicain. Mais l’État profond, sûr de lui et dominateur, ne l’a pas vu venir car il « ne s’était pas préparé du tout à cette hypothèse ».
Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre
L’État profond est tellement penché sur son programme qu’il n’a pas tiré les leçons de l’échec de l’injection mondiale, dite Covid 19. Il n’a pas tiré les leçons de l’échec militaire de l’Otan en Ukraine. Il n’a rien compris à la montée en puissance des BRICS. Il n’a rien compris à l’élection de Trump.
Avec une toute autre approche, notre grand savant français, le physicien Philippe Guillemant, nous l’annonce depuis des années. Il répète : « Nous avons déjà gagné dans le futur ! »
Les comploteurs ont déjà perdu, mais ils ont du mal à le voir, et c’est tant mieux ! Laissons Attali et ses compères à leurs chimères, le monde de demain, le « Futur lumineux » de Philippe Guillemant, se met en place sans eux, pire : contre eux ! Tenons bon ! Encore un peu de patience.
Le « Foutur » s’éloigne tandis que se perçoit le « Futur lumineux »
« O mes frères, suis-je donc si cruel ? Mais je vous dis : ce qui tombe, il faut encore le pousser ! Tout ce qui est aujourd’hui – tombe et se décompose : qui donc voudrait le retenir ? Mais moi – moi je veux encore le pousser ! » Friedrich Nietzsche (1844 – 1900) in Ainsi parlait Zarathoustra – Des vieilles et des nouvelles tables §20.
Ensemble poussons ce qui s’écroule !
Postface du 15 novembre 2024 : Ce qu’Attali et ses amis n’ont pas voulu voir, un Français l’a bien vu :
Un Français a gagné plus de 85 millions de dollars en pariant sur la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine du 5 novembre. C’est ce que rapporte le Wall Street Journal.
Le parieur, sous le pseudonyme de Théo, a ouvert plusieurs comptes sur la plateforme en ligne Polymarkett. Pendant la campagne et le jour du scrutin, il a réussi à faire des mises pour un montant total de plus de 70 millions de dollars sur l’ensemble de ses comptes.
« Je suis unique en mon genre. Je suis [déjà] assez riche et j’étais confiant dans mon analyse », a‑t-il déclaré au journal. Il a révélé avoir commencé à parier sur Trump au cours de l’été parce qu’il avait étudié les données des sondages américains et conclu que le républicain avait de fortes chances de l’emporter.
[source Agence Tass]
Les articles du même auteur
« cette hypothèse » : comprendre la victoire de Donald Trump.
Lire dans nos colonnes : Attal, Bardella, Branco : l’heur(e) des blancs becs du 4 novembre 2024
Oui, on sentait venir la victoire de Trump encore plus fort que 2016. Alors, si ces « super zélites » n’ont rien vu venir.….….….… ?
Victoire prévisible du Donald. C’était dans l’air ! Mais cette victoire n’aura été possible que parce qu’une partie du « Deep State » l’a bien voulu. Cet « état profond » a toujours plusieurs fers au feu. Pile je gagne, face tu perds ! 😉 Nous verrons sans doute (?) des changements (?) sur le wokisme, LGBTisme, hystérie climatique ! mais… gardons-nous de trop d’optimisme sur la suite, sans oublier que les USA ne sont pas nos amis, alors MAGA ? Oui, Make America Go Away ! Otan go home ! et bye-bye UE ! Indépendance nationale d’abord ! Avec la trahison de notre sous-classe politique (Accord Mercosur), nous ne sommes pas libérés de nos chaînes !
Vous auriez pu choisir pour cette occasion de nous montrer la carte de l’Amérique à l’endroit, c’est-à-dire en réalité à l’envers.
Il y a aussi une autre alternative : Faut laisser le temps au Temps ! Bien sûr, faut JAMAIS tourner le dos, sauf au mur, et encore moins, baisser la garde, mais tourner le dos à ces engeances névrosé(e)s, c’est comme ignorer 1e sale gosse ou une dinde, dans une cour de récréation ! Au bout d’un moment, ils ou elles se calment d’eux mêmes si personne ne cautionne leurs délires individuels et/ou sociétaux ! Ils et elles ne sont pas toujours conscient(e)s, qu’ils sont malades (névrosés) !