On est trop nombreux, urbi et orbi : l’habitat
Ainsi que nous l’annoncions dans notre article On est trop nombreux, urbi et orbi : l’automobile du 26 septembre 2021, voici aujourd’hui notre Home, sweet home : l’habitat.
Son père les a fait entrer, sa fille devra les loger
C’est la ministre délégué chargé du Logement Emmanuelle Wargon qui s’y colle, dans une déclaration fracassante : « Il faut soit empiler, soit étaler ». Pour elle, la maison individuelle est un non-sens écologique, économique et social. Pour cette bourgeoise qui habite une villa cossue à Saint-Mandé, le modèle du pavillon avec jardin n’est plus soutenable car il relève d’un fonctionnement dépendant de plus en plus de la voiture individuelle. L’habitat, l’auto, la boucle est bouclée : on est trop nombreux. La France compte aujourd’hui 70 millions d’habitants alors que nous n’étions que 50 millions du temps de son papa Lionel Stoléru, ancien conseiller de Valéry Giscard d’Estaing et secrétaire d’État chargé de la condition des travailleurs manuels et immigrés (gouvernements Barre). L’INSEE prévoit que la France comptera 75 millions de commensaux(1) en 2060. Comment loger cette fourmilière ?
Elle n’a pas tort, malheureusement
Dans un autre article intitulé Confinement, vers l’humanité en batterie, nous faisions les « vertus » du confinement comme une alternative à la surpopulation mondiale.
La société s’organise : enseignement à domicile, télétravail. On nous invite à ne plus sortir… C’est clair, à près de huit milliards d’êtres humains, bientôt dix, quinze, on ne pourra plus se balader, voyager, vivre, sans mettre en péril les écosystèmes, la couche d’ozone et j’en passe.
Voilà la société qui se dessine :
« Pour amener les hommes à vivre entièrement en public, on ne se contente pas de les rassembler en masse à toute occasion et sous n’importe quel prétexte ; on veut encore les loger, non pas seulement dans des ruches comme nous le disions précédemment, mais littéralement dans des ruches de verre, disposées d’ailleurs de telle façon qu’il ne leur sera possible d’y prendre leurs repas qu’en commun ; les hommes qui sont capables de se soumettre à une telle existence sont vraiment tombés à un niveau infrahumain, au niveau, si l’on veut, d’insectes tels que les abeilles et les fourmis ; et on s’efforce du reste, par tous les moyens, de les dresser à n’être pas plus différents entre eux que ne le sont les individus de ces espèces animales, si ce n’est même moins encore. » (René Guénon – Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps – 1945)
En Marche vers la modernité
Faute de pouvoir étaler nos maisonnettes, il nous faudra les empiler. Et si notre logement-container bénéficiera encore d’un accès vitré sur l’extérieur, luxe suprême, on pourra encore faire pousser du persil et un plant de tomates sur le balcon pour faire plaisir aux Verts.
Il y aurait bien une solution : distribuer des capotes et virer cette engeance d’énarques au Pouvoir(2).
Prochain épisode de « On est trop nombreux » : la nourriture.
Michel Lebon
(1) Commensal-aux : animal ou végétal vivant associé à un autre d’une espèce différente et profitant de ses aliments sans lui porter préjudice.
(2) Emmanuelle Wargon est l’archétype même de la caste dirigeante grand-bourgeoise et technocratique. Jugez du peu :
Emmanuelle Wargon, représentante d’intérêts et femme politique française, née Stoléru, le 24 février 1971 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), d’origine juive, elle est l’enfant unique de Lionel Stoléru (1937−2016), secrétaire d’État de 1976 à 1981 sous la présidence Giscard d’Estaing puis de 1988 à 1991 sous la seconde présidence de François Mitterrand, et de son épouse Francine Wolff, énarque et administratrice de la ville de Parisest une haute fonctionnaire.
Elle est diplômée de l’École des Hautes Études Commerciales de Paris (HEC), de l’Institut d’Études Politiques de Paris (Sciences-Po) et de l’École Nationale d’Administration (ENA).
Elle pantoufle entre la haute administration et le privé (en tant que « directrice de la communication et des affaires publiques » du groupe Danone, c’est-à-dire lobbyiste) [source Wikipedia]
Wargon a bien appris sa leçon et aura un bon point… Elle applique le plan du grand reset, ça les ennuie que l’on puisse être autonome avec le potager, le poulailler, le verger, etc. Ils préfèrent nous cloîtrer comme des lapins pour mieux nous contrôler… J’ai hâte de me retrouver avec 10 migrants afghans entassés dans 30 m² pour sauver la planète…foutaises monumentales… Les zélites gardent tous les privilèges et nous les restrictions, c’est comme les privatisations uniquement pour les bénéfices par contre nationalisation pour les déficits…
Pourquoi en arrive t‑on a cette situation de surpeuplement, simplement parce que l” »homme » ne respecte tout simplement les règles qui régissent la Vie, les lois naturelles. Alors on a trouvé la « guerre » régulatrice, régulatrice de rien du tout puisque l’on favorise dans un système disons capitaliste aux couleurs sociales, le détournement des richesses aux seuls profits de la soi-disant élite… de mes fesses.
Regardez ce qui se passe lorsque qu’un peuple se trouve bien dans ses baskets, il ne se reproduit plus assez au grand dam des financiers.
Pour les peuples pauvres c’est le contraire : leur sécurité sociale et leur retraite c’est tout bonnement les enfants qui ont pu survivre, qui l’assurent, alors on en fait plus car pertes dues aux maladies, la faim, la guerre, etc…
Non si on laisse faire la Nature, il n’y a plus de problème ! Il manque à ce monde la sagesse du gagnant-gagnant… la sagesse qui régule en parfait équilibre avec les ressources qu’offre la « Taire ».
La France a fait un gros progrès en ce sens en officialisant l’homosexualité. Il ne lui reste plus qu’à l’enseigner dans les écoles, collèges et lycées et en fonction du classement scolaire et pour l’amélioration de l’espèce humaine, les plus mauvais devront prendre l’engagement d’être homosexuels. Et là, comme la France est le pays des Droits de l’Homme et du Citoyen, tous les pays suivront. Ainsi la population moniale régressera, la consommation et la pollution diminueront et tout sera pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Je n’ai pas compris pourquoi les wokes n’ont pas encore déboulonné la statue de Pasteur qui est à l’origine des vaccins et de l’hygiène corporelle qui ont permis à la population mondiale de croître à l’infini, alors qu’avant, avec les épidémies et les guerres, la population se régulait d’elle même, comme les animaux et les végétaux.
Le fond du problème, ce sont les guerres !
Il y a une place inoccupée gigantesque sur notre planète qui pourrait héberger du monde si les guerres incessantes et permanentes ne les contraignaient pas à fuir. L’Afrique est sous peuplée, la Sibérie, les USA ont des immensités non cultivées, non peuplées.
Ce n’est qu’une question de volonté d’entente globale !
Réponse à Deschamps :
Ce sujet reste bien un tabou. Vous NE VOULEZ PAS affronter CE problème.
Pourquoi ?
Toute entité vivante sur la planète régule sa population naturellement : les plantes, les rats, les fourmis, etc. et pas les hommes ?
Pourquoi serions nous INCAPABLES de dire : Stop ! Là on arrête, on commence à s’entasser. Je pense que l’on s’entasse dès lors qu’on construit un étage. Un étage, c’est déjà la surpopulation car l’homme n’est pas fait pour vivre empilé.
Et puis vous dites que l’Afrique dispose d’immensités non cultivées et non peuplées. Alors pourquoi les populations africaines viennent-elles s’entasser en France ? Ce n’est pas la guerre qui est en cause. C’est un argument fallacieux.
En fait les guerres ont joué un rôle de régulateur démographique jusqu’à présent. Mais maintenant qu’il n’y a plus de guerres, la population sature la planète.
Il faut donc le courage, oui le COURAGE, d’affronter ce problème car la survie de l’humanité tout entière est en jeu.
Ou bien on régule intelligemment, ou bien on fait des guerres.
Je préfère la première solution.
Si vous prenez toute la population mondiale elle tient dans le delta du Rhône
Arles St Marie de “à mer et fos
Le reste est vide
Ne prend-on pas le problème à l’envers ?
Les campagnes sont dépeuplées.
La population s’entasse en ville parce que tout est fait pour qu’il en soit ainsi.
En ville et en cages à lapins, quelle est la qualité de vie, quel bonheur, quel bien-être sont possibles ?
En situation de survie, les instincts prennent le dessus sur la sagesse et le bon sens.
Se questionner sur la surpopulation dans un tel contexte n’a pas vraiment de sens.
À Serge :
Donc il ne faut pas se questionner sur la surpopulation ? C’est ça ?
On fait comme Alphonse Allais qui préconisait déjà en 1860 : « Il faudrait construire les villes à la campagne, l’air y est plus sain ».
Tout va bien…