Selon l’OMS, c’est une « épidémie » fulgurante
Mais de quoi parle l’OMS ? Du Coronavirus ? Perdu ! L’organisation parle ainsi de l’OBÉSITÉ, figurez-vous, tant sa progression à l’échelle mondiale est rapide et invasive(1).
La folie vaccinatrice qui s’est emparée de notre gouvernement l’a plongé dans l’hystérie totale. « Vaticiner, vaticiner, vaticiner ! » raillait mon confrère Michel Lebon dans un récent article.
Il faut à tout prix sauver des vies ! Ah, bon, mais lesquelles ?
Avec le recul, on sait désormais que l’épidémie de Covid-19, à l’instar des habituelles grippes saisonnières, n’a frappé mortellement que les gens très âgés et ceux gens atteints de comorbidités parmi lesquels une forte proportion d’obèses. Ces derniers ont représenté près de 54 % des admissions en réanimation. Au lieu de piquouzer de force la population dans sa totalité, les autorités sanitaires auraient dû se préoccuper de ce problème en amont et intervenir à bon escient. On aurait beaucoup plus sûrement sauvé des vies !
C’est un fait, en France, 17 % de la population adulte est obèse, ce qui représente plus de 8 millions de personnes [source]. Même proportion chez les 6–17 ans. L’américanisation des mœurs de notre société n’y est pas étrangère (sédentarité, malbouffe,…). Pourtant, l’obésité reste difficile à cerner car non encore reconnue comme maladie chronique. À ce titre elle n’apparaît donc pas dans les données de l’Assurance-maladie. Pour évaluer sa prévalence, il faut se tourner vers des enquêtes épidémiologiques. Cette « maladie », réellement chronique et évolutive, allant de l’obésité simple à l’obésité sévère, est un facteur de risque majeur pour les pathologies les plus fréquentes (maladies cardio-vasculaires, diabète de type 2, apnée du sommeil, etc.) Et, bien évidemment, elle s’est avérée un facteur de comorbidité important à l’occasion de la crise sanitaire que nous traversons. Aux États-Unis, les obèses ont payé un lourd tribu à l’épidémie de Covid-19.
Il faut dire que là-bas, la proportion de personnes obèses est passée de 14 % à 40 % de la population en 40 ans avec une augmentation de poids moyenne de 15 kilos par individu ! Au fil des années, l’obésité est devenue non seulement une maladie chronique mais aussi un défi national. Si l’explication de son origine est à rechercher, bien sûr, dans les comportements individuels (voiture, télé, ordinateur, aggravant la sédentarisation), l’obésité est avant tout culturelle aux États-Unis : surconsommation de graisse, de sucre, de sel, habitude d’engouffrer n’importe quoi à toute vitesse n’importe où et n’importe quand, font partie des mœurs et de l’inconscient collectif. Le fast-food y est un style de vie, une manière d’être.
Hélas, ces mœurs nocives s’importent bien chez nous – la France est le pays d’Europe qui compte le plus de fast-food à l’enseigne rouge et jaune –, avec leurs conséquences sur l’économie sociale. Car le coût de l’obésité est astronomique. Outre Atlantique, il se chiffre à 147 milliards de dollars par an ! Non seulement les obèses fournissent le plus gros contingent de patients dans les hôpitaux, mais ils occupent la majorité des lits dans les cliniques psychiatriques :
la dépression débouchant sur l’obésité et l’obésité provoquant la dépression.
Un cercle vicieux. Ceux qui tentent de s’en sortir dépensent des fortunes car les compagnies d’assurances, dans leurs cyniques calculs, se gardent bien de couvrir les cures, régimes et autres remèdes amaigrissants. En France, l’augmentation du recours à la chirurgie de l’obésité a augmenté d’un facteur 4,5 en 10 ans (68 000 personnes opérées en 2017) ! Mais ce n’est pas tout de maigrir. Ensuite, il faut reconstruire le corps en éliminant le surplus de peau devenu encombrant. À nouveau la chirurgie. À nouveau un coût pour la société. D’ailleurs, chez l’Oncle Sam, l’obésité est devenue un business comme un autre. Tout y est pensé ou adapté XXL : portes de bus, ascenseurs, fauteuils, lits, y compris les services d’urgences des hôpitaux et cliniques… Car l’obèse en est le plus important et le plus fidèle « consommateur » vu qu’il est la cible privilégiée de tous les virus et microbes de la création.
Les obèses représentent 90 % des patients transportés aux urgences
Au passage, il faut souligner que cette situation a fait surgir un autre problème : l’impact sur les personnels de l’Emergency Medical Service chez lesquels courbatures, lumbagos, sciatiques, hernies, déplacement de vertèbres ne se comptent plus. Le coût social lié à l’obésité augmentant de fait.
Ainsi, l’Organisation Mondiale de la Santé n’hésite plus à qualifier l’obésité d’« épidémie », tant sa progression à l’échelle mondiale est fulgurante selon ses propres termes. Une épidémie qui touche essentiellement les jeunes à la différence du Coronavirus. Pourtant, en France, on se préoccupe davantage de la stigmatisation et de la discrimination dont souffriraient les personnes obèses que des effets sanitaires liés au phénomène. Pendant la crise du Covid, les hôpitaux auraient été 50 % moins engorgés si la lutte contre l’obésité avait été entreprise de longue date. Cinquante pour cent de moins : on évitait confinements et passes sanitaire ou vaccinal ! Mais les priorités de nos gouvernants sont ailleurs, c’est évident. Notamment, pour le Ministère de la santé, concerné au premier chef, pour qui c’est de mener « des actions de formation des professionnels de santé et d’engager la HALDE (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité), le CSA et les médias sur cette question ». Son souci n’est donc pas l’avenir sanitaire des personne obèses mais leur bien-être psychique. Les conséquences, on les connaît.
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
(1) Dans un rapport qui date de 2016, donc de l”«avant-Covid »
Bien vu ! L’État savait que les obèses encombraient les hôpitaux et les services de réanimation pendant la crise Covid. Il a tout fait, avec la complicité des médecins véreux, pour que ça ne se sache pas. Il a fait porter la responsabilité sur toute une population y compris les enfants. C’est honteux ! Scandaleux ! Il faudra qu’ils rendent des comptes un jour !!!
Faisons confiance à Big Pharma pour nous concocter en 3 mois un nouveau vaccin — obligatoire — contre l’obésité !