Présidentielle 2022, c’est parti !
Nous y sommes. Les politicards de tous bords ne songent plus qu’à l’élection présidentielle de 2022.
Chez Les Républicains, la guerre des égos a commencé depuis plusieurs mois comme chez nos (pseudo) écolos. Qui, dans chaque camp, va décrocher le Mickey et affronter les autres prétendants ? Emmanuel Macron, lui, dès cet été, a lancé officiellement la campagne depuis Brégençon… sur Tik Tok ! Quant à Marine Le Pen, plus du tout certaine d’être présente au deuxième tour, elle cherche désespérément des chevaux de bataille « dédiabolisés ». Et puis, il y a l’épouvantail d’une candidature d’Éric Zemmour qui secoue tout ce Landerneau politicien. Pour parvenir à éclairer les Français, les analystes vont donc devoir sortir des schémas dessinés par les sondeurs et les appareils politiques.
En attendant, ce petit monde se travestit en Père Noël. Macron veut faire oublier le passe sanitaire et distribue les milliards à la volée. Ça a commencé à Marseille et cela va continuer tout au long de son tour de France. Les cadeaux pleuvent dans une totale insouciance budgétaire. Aux quartiers perdus de la République de la cité phocéenne, il fait miroiter 1,5 milliards d’euros. Aux agriculteurs il promet 600 millions d’euros par an pour l’assurance récolte. Aux femmes, il offre d’ores et déjà la contraception gratuite pour toutes jusqu’à 25 ans… Et demain que va-t-il encore annoncer d’insensé ou d’irresponsable ?
Mais, à bien y regarder, Emmanuel Macron a‑t-il nécessairement besoin de redorer son blason, de manière aussi démagogique, pour être réélu ? Les contingences lui ont offert un tremplin encore inespéré en ce début d’année. En générant et entretenant dans le pays une peur disproportionnée face à une mauvaise grippe, il a réussi à détourner l’ire des Français. Désormais, la colère d’une très grande partie de l’opinion s’est reportée sur les non vaccinés. L’«antivax » d’aujourd’hui a remplacé le « fasciste » d’hier. Le Front Républicain pour faire barrage à l’extrême droite s’est ainsi déplacé dans une direction inattendue et la manœuvre opportuniste du locataire de l’Élysée pourrait bien être couronnée de succès à l’arrivée.
Voilà qui n’est pas pour faciliter la tâche de la présidente du Rassemblement National qui, ayant stupidement délaissé le combat contre l’immigration, l’islamisation et l’insécurité pour ripoliner toujours plus son image, va devoir reconstituer un électorat à partir de cette nouvelle donne. Marine Le Pen se trouve donc sur une « ligne de crête » comme disent les journalistes : elle ne peut pas faire les yeux doux aux antivax, puisqu’elle est elle-même vaccinée contre le Covid, mais ne peut peut pas non plus ignorer leur colère et leurs inquiétudes puisqu’ils représentent une frange importante de son électorat. Elle s’oppose donc très mollement à la vaccination obligatoire et au pass sanitaire en évitant soigneusement les outrances : en abordant le sujet par le biais des libertés publiques, du droit des salariés et de la jeunesse. Une attitude timorée qui pourrait lui coûter cher car, si Florian Philippot (et Éric Zemmour) arrive(nt) à se présenter, elle perdra de gros bataillons. En éloignant d’elle son public contestataire, elle est probablement en train de perdre définitivement ses chances.
On imagine qu’elle en prend conscience car on la voit maintenant qui tente des coups de poker. Dans un entretien au Figaro du 9 septembre dernier, elle dévoile deux propositions qu’elle imagine fortes et rassembleuses :
• la nationalisation des autoroutes et
• la privatisation de l’audiovisuel public.
Concernant la première mesure, Marine Le Pen s’appuie sur la « véritable spoliation des Français » du fait de la hausse des péages, qui aurait augmenté plus fortement que les autres prix alors que les dividendes attribués aux actionnaires ont été estimés à 27 milliards d’euros depuis 2006. Un positionnement qui semble habile pour la candidate du RN mais le sujet est-il vraiment au cœur des préoccupation des Français ? Même question concernant la privatisation de l’audiovisuel public que Marine Le Pen réclame au nom de « la restitution de 2,8 milliards de redevance aux Français ». La mesure pourrait plaire à un certain électorat de droite mais on peut douter que cela soit une priorité et une urgence pour l’ensemble de la population.
Alors, Marine Le Pen a‑t-elle perdu toute chance de gagner l’élection présidentielle ? L’abstention aux élections régionales qui a particulièrement concerné l’électorat du Rassemblement National reste un bon indicateur de ce qui pourrait se passer à la présidentielle. D’autant que cette attitude consistant au grapillage de voix sur des thèmes secondaires n’atteste pas d’une volonté très combattive. D’ailleurs, certains élus n’entrevoient pas un bel avenir pour leur candidate en 2022 : « Pas sûr que Marine Le Pen passe le 1er tour », observait un élu RN, cité par RTL le 24 août dernier. Et au sein-même de l’entourage de la candidate, la rage de vaincre semble faire désormais défaut : « Si on gagne, on gagne, si on perd, on perd », aurait aussi confié un proche lieutenant de la présidente.
Alors, Macron dans un fauteuil ?Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
« VIRUS » : le pire est encore à venir : le « Variant » des élections présidentielles, encore plus virulent en raison de son interaction avec le suffrage universel direct.
Après Giscard fossoyeur de la France dès 1973, Tonton « Macchiavel », Chirac « supermenteur », Sarkozy « l’amerloque », Hollande « l’ennemi de la Finance », Macron « l’ami de la Finance », who’s next… Zemmour ?
Peuple abruti, écoute bien les sondages, ils t’orienteront toujours vers plus de démocratie, ce système qui t’asservit mais que tu redemandes… Jusqu’à quand ?
Rappelons qu’après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire. Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
La France, les USA et leurs alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres.
Aussi, dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France, qui n’ont aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, sont en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda mondialiste, et relaient avec zèle, voire même anticipent, cet agenda dont l’objectif consiste à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques, qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États.
NB : Toute élévation du type humain demande un régime aristocratique. La démocratie avilit en abaissant les bons, c’est une tyrannie qui s’exerce par un mouvement de traction morale, de bas en haut ; elle fait descendre, elle empêche les meilleurs de s’élever, elle abat les têtes qui dépassent le niveau des médiocres, empêchant ainsi l’éclosion des types supérieurs. C’est pourquoi la théorie « égalitaire » si chère à nos élites qui nous méprisent est intimement liée à la démocratie.
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
Anne Hidalgo vient d’entrer, elle aussi, dans la danse. Dans sa hotte, elle apporte un doublement des salaires des enseignants ! La pêche aux voix autorise toutes les démagogies.
Tous les acteurs cyniques de cette poubelle républicaine font partie du scénario. Aucun d’eux ne veut donner le Pouvoir au Peuple. Au Peuple de prendre le contrôle de son pays !
Et virons ces étrangers, soit sur la lune, dans une cave ou en prison !